Google va construire un quartier entier à Toronto et en faire une Smart City 23/10/2017
Sidewalk Labs, filiale de Alphabet, la maison-mère de Google, va transformer le quartier Quayside de Toronto en ville dynamique qui évolue selon les données récoltées sur ses habitants. La capitale de l’Ontario va devenir ainsi la première Smart City du Canada.
L'annonce de Sidewalk Toronto a été faite à Corus Quay sur le secteur riverain de l'Est par Will Fleissig et Dan Doctoroff , respectivement PDG de Waterfront Toronto et de Sidewalk Labs. Le premier ministre Justin Trudeau, la première ministre de l' Ontario , Kathleen Wynne, Le maire de Toronto , John Tory et Eric Schmidt , président exécutif d'Alphabet, Inc. étaient présents lors de l’annonce du projet.
Après avoir exploré des opportunités dans le monde entier, Sidewalk Labs, une société Alphabet, a répondu à une demande de propositions (RFP) émise en mars 2017 par Waterfront Toronto qui cherchait un partenaire d'innovation et de financement pour Eastern Waterfront, en commençant par créer un nouveau quartier appelé Quayside.
Google y déménagera son siège social canadien ainsi que ses quelques 300 employés qui vivront dans des logements écologiques et abordables. Le quartier Quayside situé sur les bords du lac Ontario ambitionne de devenir ainsi un point d’attraction pour les nouvelles technologies.
Le nouveau quartier est d’une superficie de près de 50 000 mètres carrés. Il inclurait des centres de recherche et développement, mais aussi des commerces, des logements abordables et un réseau de transport formé de véhicules sans chauffeur.
Quayside deviendra un lieu de vie, de travail, d'apprentissage et de divertissement pour des dizaines de milliers de personnes. Il permettra de créer et de promouvoir de nouvelles idées pour améliorer la vie en ville, des systèmes énergétiques positifs au climat pouvant offrir une nouvelle norme de durabilité. Ce quartier très innovant reflétera également la diversité culturelle et l'ouverture de Toronto et aidera à relier tous les Torontois aux plages, aux parcs et aux communautés riverains.
Dans une première phase, Sidewalk Labs prévoit d’investir 50 millions de dollars. L’ensemble du projet pourrait coûter jusqu’à 1 milliard de dollars. Parallèlement, Toronto et la province d’Ontario devraient également financer ce projet à hauteur de 1,25 milliard de dollars.
Toronto n’était pas la seule métropole en lice. Mais, l’ancrage profond de la ville canadienne dans les nouvelles technologies a indéniablement joué en la faveur de la plus grande ville canadienne aussi capitale de la province de l’Ontario.
L'annonce de Sidewalk Toronto a été faite à Corus Quay sur le secteur riverain de l'Est par Will Fleissig et Dan Doctoroff , respectivement PDG de Waterfront Toronto et de Sidewalk Labs. Le premier ministre Justin Trudeau, la première ministre de l' Ontario , Kathleen Wynne, Le maire de Toronto , John Tory et Eric Schmidt , président exécutif d'Alphabet, Inc. étaient présents lors de l’annonce du projet.
Après avoir exploré des opportunités dans le monde entier, Sidewalk Labs, une société Alphabet, a répondu à une demande de propositions (RFP) émise en mars 2017 par Waterfront Toronto qui cherchait un partenaire d'innovation et de financement pour Eastern Waterfront, en commençant par créer un nouveau quartier appelé Quayside.
Google y déménagera son siège social canadien ainsi que ses quelques 300 employés qui vivront dans des logements écologiques et abordables. Le quartier Quayside situé sur les bords du lac Ontario ambitionne de devenir ainsi un point d’attraction pour les nouvelles technologies.
Le nouveau quartier est d’une superficie de près de 50 000 mètres carrés. Il inclurait des centres de recherche et développement, mais aussi des commerces, des logements abordables et un réseau de transport formé de véhicules sans chauffeur.
Quayside deviendra un lieu de vie, de travail, d'apprentissage et de divertissement pour des dizaines de milliers de personnes. Il permettra de créer et de promouvoir de nouvelles idées pour améliorer la vie en ville, des systèmes énergétiques positifs au climat pouvant offrir une nouvelle norme de durabilité. Ce quartier très innovant reflétera également la diversité culturelle et l'ouverture de Toronto et aidera à relier tous les Torontois aux plages, aux parcs et aux communautés riverains.
Dans une première phase, Sidewalk Labs prévoit d’investir 50 millions de dollars. L’ensemble du projet pourrait coûter jusqu’à 1 milliard de dollars. Parallèlement, Toronto et la province d’Ontario devraient également financer ce projet à hauteur de 1,25 milliard de dollars.
Toronto n’était pas la seule métropole en lice. Mais, l’ancrage profond de la ville canadienne dans les nouvelles technologies a indéniablement joué en la faveur de la plus grande ville canadienne aussi capitale de la province de l’Ontario.
La Rédaction
Mounir MAHJOUBI participera au WEF, les 27 et 28 octobre prochains, à Angers 19/10/2017
Le Secrétaire d’Etat auprès du Premier Ministre, en charge du Numérique, Mounir MAHJOUBI, a confirmé sa présence, les 27 et 28 octobre prochains, à la 22e édition du World Electronics Forum qui se tiendra pour la première fois en France, à Angers (Maine-et-Loire).
« La tenue de ce forum en France est un symbole très fort puisque le WEF n’avait pas été organisé dans un pays européen depuis plus de 12 ans. Cela nous permet de rappeler que notre pays rayonne dans le domaine de l’innovation et plus particulièrement dans celui de l’industrie électronique », explique le Ministre en annonçant sa visite à Angers. « La France est au cœur de la révolution 4.0 : le développement des nouvelles technologies, la dématérialisation des services ou encore la croissance des objets connectés sont en train de transformer profondément notre société et notre mode de vie au quotidien. Il est donc essentiel d’aider dès aujourd’hui nos entreprises et nos citoyens à s’adapter en les formant aux métiers de demain et aux outils numérique».
Mounir MAHJOUBI se réjouit de l’organisation du WEF à Angers, laquelle « démontre qu’une ville de taille moyenne qui sait adapter son espace urbain et péri-urbain pour accueillir l’innovation est une ville qui réussit, en retenant ses talents et en attirer des entreprises étrangères leaders dans le domaine de l’électronique. Une initiative qui fait rayonner un pan entier de l’industrie française ».
Angers (155 000 habitants, 17e ville de France) accueille la Cité de l’objet connecté depuis 2015, date à laquelle elle a également obtenu le label French Tech. C’est aussi l’un des berceaux français de l’électronique (Bull, Thomson, Packard Bell...) qui compte toujours plus de 7 000 emplois dans cette filière.
D’autres personnalités sont également annoncées : Benjamin GRIVEAUX, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie et des Finances et Edouard PHILIPPE, le Premier ministre, le 27 octobre. S’il se murmure que le Président de la République, Emmanuel MACRON, pourrait également se rendre à Angers pendant le WEF, sa présence n’est pas confirmée.
Pour en savoir plus sur le WEF : wef-angers.com
Crédit Photo : Secrétaire d'Etat au numérique, Mounir Mahjoubi (Photo Charly Triballeau - AFP - 20 Minutes)
« La tenue de ce forum en France est un symbole très fort puisque le WEF n’avait pas été organisé dans un pays européen depuis plus de 12 ans. Cela nous permet de rappeler que notre pays rayonne dans le domaine de l’innovation et plus particulièrement dans celui de l’industrie électronique », explique le Ministre en annonçant sa visite à Angers. « La France est au cœur de la révolution 4.0 : le développement des nouvelles technologies, la dématérialisation des services ou encore la croissance des objets connectés sont en train de transformer profondément notre société et notre mode de vie au quotidien. Il est donc essentiel d’aider dès aujourd’hui nos entreprises et nos citoyens à s’adapter en les formant aux métiers de demain et aux outils numérique».
Mounir MAHJOUBI se réjouit de l’organisation du WEF à Angers, laquelle « démontre qu’une ville de taille moyenne qui sait adapter son espace urbain et péri-urbain pour accueillir l’innovation est une ville qui réussit, en retenant ses talents et en attirer des entreprises étrangères leaders dans le domaine de l’électronique. Une initiative qui fait rayonner un pan entier de l’industrie française ».
Angers (155 000 habitants, 17e ville de France) accueille la Cité de l’objet connecté depuis 2015, date à laquelle elle a également obtenu le label French Tech. C’est aussi l’un des berceaux français de l’électronique (Bull, Thomson, Packard Bell...) qui compte toujours plus de 7 000 emplois dans cette filière.
D’autres personnalités sont également annoncées : Benjamin GRIVEAUX, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie et des Finances et Edouard PHILIPPE, le Premier ministre, le 27 octobre. S’il se murmure que le Président de la République, Emmanuel MACRON, pourrait également se rendre à Angers pendant le WEF, sa présence n’est pas confirmée.
Pour en savoir plus sur le WEF : wef-angers.com
Crédit Photo : Secrétaire d'Etat au numérique, Mounir Mahjoubi (Photo Charly Triballeau - AFP - 20 Minutes)
La Rédaction
Code Week : Semaine Européenne du code informatique 13/10/2017
La Code Week est une semaine dédiée au code et à la programmation numérique, pour célébrer l’apprentissage du code, sur l’ensemble de l’Europe. La 5e édition se déroule du 7 au 22 octobre 2017.
Pourquoi apprendre à coder ? Aujourd’hui, transition numérique oblige, savoir coder c’est presque comme savoir lire… Ainsi, 74% des Français estiment que savoir coder est essentiel pour les métiers de demain. Pourtant, seulement 20% arrivent à définir clairement de quoi il s’agit…
Nous vivons aujourd’hui dans un monde en constante évolution, impacté par les rapides avancées technologiques. Notre façon de travailler, de communiquer, de consommer et même de penser, ont connu des changements sans précédent sous l’influence de ces technologies. Afin de savoir gérer ces changements rapides et de comprendre le monde qui nous entoure, il est essentiel non seulement de développer notre compréhension du fonctionnement des NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication), mais aussi de développer des compétences qui nous aideront à nous adapter à cette nouvelle ère technologique.
Apprendre à coder nous permet de comprendre comment fonctionnent les choses, d’explorer nos idées et de mener à bien nos projets, aussi bien dans un cadre professionnel que ludique. Qui plus est, le code nous aide à développer notre créativité et à travailler de façon collaborative avec des profils talentueux, près de chez nous comme à l’autre bout du monde.
Si l’apprentissage du code vous tente, vous pouvez le faire avec Coding Days, une startup qui propose des ateliers pour démystifier ce langage.
Pourquoi apprendre à coder ? Aujourd’hui, transition numérique oblige, savoir coder c’est presque comme savoir lire… Ainsi, 74% des Français estiment que savoir coder est essentiel pour les métiers de demain. Pourtant, seulement 20% arrivent à définir clairement de quoi il s’agit…
Nous vivons aujourd’hui dans un monde en constante évolution, impacté par les rapides avancées technologiques. Notre façon de travailler, de communiquer, de consommer et même de penser, ont connu des changements sans précédent sous l’influence de ces technologies. Afin de savoir gérer ces changements rapides et de comprendre le monde qui nous entoure, il est essentiel non seulement de développer notre compréhension du fonctionnement des NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication), mais aussi de développer des compétences qui nous aideront à nous adapter à cette nouvelle ère technologique.
Apprendre à coder nous permet de comprendre comment fonctionnent les choses, d’explorer nos idées et de mener à bien nos projets, aussi bien dans un cadre professionnel que ludique. Qui plus est, le code nous aide à développer notre créativité et à travailler de façon collaborative avec des profils talentueux, près de chez nous comme à l’autre bout du monde.
Si l’apprentissage du code vous tente, vous pouvez le faire avec Coding Days, une startup qui propose des ateliers pour démystifier ce langage.
La Rédaction
KAROS intègre CITYMAKERS, le programme d’Open Innovation de Renault 05/10/2017
Karos, l’inventeur du court-voiturage® intemodal, intègre CityMakers, programme d’open innovation dédié à la transition vers une mobilité urbaine flexible et durable. La startup, dont l’ambition est de transformer la voiture individuelle en réseaux structurés de transport collectif, a été retenue pour travailler sur le volet « Développer des solutions pour la mobilité multimodale ».
Initié par le Groupe Renault, en partenariat avec Nissan, RCI Bank and Services, AXA et la Mairie de Paris, CityMakers est un programme d’Open Innovation opéré par NUMA. Il vise à faire collaborer grands groupes et startup pour expérimenter des solutions permettant d’accélérer le passage vers de nouvelles formes de mobilité.
Au terme d’un appel à candidatures, 9 start-ups dont Karos ont été retenues pour travailler avec les partenaires et les experts du programme afin de développer et de tester des solutions innovantes de mobilité au cœur de la ville de Paris.
AXA, Nissan, RCI Bank & Services et la Mairie de Paris ont choisi Karos, seul acteur du court-voiturage à proposer l’intermodalité, c’est-à-dire des trajets combinant les lignes de court-voiturage® Karos et celles des RER, Transilien, métro et tram. Ils réfléchiront ainsi sur la manière de simplifier l'utilisation de moyens de transport différents lors d'un déplacement en Ile-de-France.
Le caractère innovant de la solution Karos qui combine intermodalité, prédictibilité et planification des trajets, intégration du Pass Navigo, a permis à la start up de se distinguer. Fort de ces innovations, Karos s’est imposé comme un moyen de transport en commun à part entière parfaitement intégré dans la chaîne de mobilité globale. En Ile-de-France, Karos a ainsi permis :
Initié par le Groupe Renault, en partenariat avec Nissan, RCI Bank and Services, AXA et la Mairie de Paris, CityMakers est un programme d’Open Innovation opéré par NUMA. Il vise à faire collaborer grands groupes et startup pour expérimenter des solutions permettant d’accélérer le passage vers de nouvelles formes de mobilité.
Au terme d’un appel à candidatures, 9 start-ups dont Karos ont été retenues pour travailler avec les partenaires et les experts du programme afin de développer et de tester des solutions innovantes de mobilité au cœur de la ville de Paris.
AXA, Nissan, RCI Bank & Services et la Mairie de Paris ont choisi Karos, seul acteur du court-voiturage à proposer l’intermodalité, c’est-à-dire des trajets combinant les lignes de court-voiturage® Karos et celles des RER, Transilien, métro et tram. Ils réfléchiront ainsi sur la manière de simplifier l'utilisation de moyens de transport différents lors d'un déplacement en Ile-de-France.
Le caractère innovant de la solution Karos qui combine intermodalité, prédictibilité et planification des trajets, intégration du Pass Navigo, a permis à la start up de se distinguer. Fort de ces innovations, Karos s’est imposé comme un moyen de transport en commun à part entière parfaitement intégré dans la chaîne de mobilité globale. En Ile-de-France, Karos a ainsi permis :
- d’augmenter la couverture du transport collectif pour desservir quotidiennement 81 % des habitants franciliens
- de désenclaver 436 communes (représentant 1 300 000 habitants), qui n’avaient pas accès au réseau de transport structurant.
La Rédaction
13/04/2024
14:43
Lancement du nouveau Design de Ville-Intelligente -Mag
27/02/2024
09:24
Plan France Très Haut Débit : le renoncement ?
20/10/2023
18:56
Nuki Smart Lock : La serrure connectée accessible à tous
Réalisation Club de l'Arche (France)
Agrément CPPAP N° 0626 Z 93927
Agrément CPPAP N° 0626 Z 93927