La commune nouvelle de Vire Normandie se lance dans l'autopartage avec Clem'  28/02/2018

La commune nouvelle de Vire Normandie se lance dans l'autopartage avec Clem'
8 véhicules électriques dont 4 sans permis sont mis à disposition des habitants, via la plateforme Clem', à des tarifs préférentiels pour favoriser l'accès à une mobilité écologique à moindre coût et récréer du lien social au sein du territoire.

Reconnue par le ministère de l'environnement comme Territoire à Energie Positive pour la Croissance Verte (TEPCV), la commune nouvelle de Vire Normandie (Calvados) a inauguré le 20 février dernier son service d'autopartage de véhicules électriques, baptisé Ecomobil. La ville a bénéficié d'une subvention du ministère pour offrir une solution écologique pratique, favorisant l'accès à la mobilité à moindre coût pour tous et recréer du lien social. Pour opérer ce service, elle a fait appel à Clem', opérateur spécialiste de la mobilité en territoire rural et peri-urbain.

Quatre Renault Zoé et 4 véhicules sans permis sont réservables depuis la plateforme opérée par Clem'  . Pour réserver un véhicule, il suffit de se créer un compte nominatif, opter pour l'option communauté Vire Normandie (pour les personnes qui détiennent un permis) ou communauté Vire Normandie sans permis. Il est possible de réserver un véhicule selon les créneaux disponibles ; un code permettra d'ouvrir la boîte à clés située à proximité du véhicule.
Les tarifs vont de 4,50€ la demi-journée à 9 euros la journée pour un véhicule avec permis et sont divisés par deux pour les véhicules sans permis (accessibles dès 16 ans si obtention du brevet de sécurité routière). Les véhicules sont disponibles en libre-serve 7j/7 de 5h30 à 21h30.

« Ce type d'initiative préfigure de l'avenir de l'écomobilité sur des zones à densité modérée : Ecomobil est un service idéal, en alternative à la voiture personnelle et aux transports en commun. Pas besoin d'acheter un deuxième véhicule pour aller faire ses cours ou aller chez le docteur, les 8 véhicules offrent une solution pratique à des déplacements écologiques et à moindre coût, dès 16 ans », commente Bruno Flinois, Président de Clem'.

Fondée en 2010 par des experts des nouvelles technologies et de l'environnement, Clem' compte une trentaine de collaborateurs et propose des solutions d'autopartage électrique aux entreprises, acteurs de l'habitat et collectivités auxquelles se sont agrégés le partage de trajets et la réservation de charge.
 
La Rédaction

France urbaine mobilise les collectivités pour l'agriculture urbaine et l'alimentation  05/02/2018

Agriculture urbaine - photo INRA
France urbaine a lancé une grande démarche auprès des collectivités intitulée « Villes, agriculture et alimentation : expériences françaises ». L'objectif est de valoriser et partager les bonnes pratiques en matière d'agriculture et d'alimentation sur les territoires français et d'engager des réflexions sur le futur de l'alimentation et l'agriculture urbaine.

Une publication sous forme de fiches (en français et en anglais) a été réalisée en partenariat avec la Caisse des dépôts, le réseau Vivapolis, la Délégation à l'action extérieure des collectivités territoriales (DACET) du Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (MEAE).

Les stratégies alimentaires territoriales mises en avant dans la publication « Villes, agriculture et alimentation » montrent que les collectivités ont largement commencé à prendre conscience des défis auxquelles elles sont confrontées et de la manière dont une stratégie alimentaire appropriée peut contribuer à y répondre.

France urbaine a réuni le 26 janvier dernier l'ensemble des acteurs engagés dans cette démarche, et plus largement les membres de France urbaine qui ont tous souhaité poursuivre ce travail de réflexion commun au sein d'une nouvelle instance.

Ce projet suivra quatre pistes de travail correspondant aux missions historiques de France urbaine:

1.la défense des intérêts des collectivités dans le cadre de l'élaboration des normes nationales en construisant et développant un portage politique efficace ;
2.la mise en place un cadre d'échanges et de bonnes pratiques sur des sujets identifiés collectivement : espaces tests agricoles, création de lien entre l'urbain et le rural, les agriculteurs et les consommateurs, les agriculteurs et les collectivités, création de liens gagnant / gagnant entre les bassins de consommations et les bassins de production, protection des ressources en eau, gestion, raréfaction et l'optimisation du foncier, la restauration collective, la relation des territoires aux acteurs de la grande distribution, ... ;
3.la valorisation des actions des collectivités urbaines à l'international, en s'appuyant sur le soutien du MEAE et du réseau Vivapolis ;
4.La construction d'un plaidoyer, en lien avec Régions de France, en faveur des territoires sur la scène internationale, pour la reterritorialisation et la réorganisation des systèmes alimentaires.
 
Le concept d'Alliance des territoires, porté par France urbaine apparaît comme une étape clé de la transition vers un modèle alimentaire et agricole plus durable. Il fera l'objet d'une attention particulière dans la poursuite des travaux de l'association avec ses membres. Cela se traduira notamment par un renforcement des relations de travail avec Régions de France.

Les Journées Nationales de France urbaine, qui se dérouleront à Dijon les 5 et 6 avril 2018 seront une prochaine étape dans ce projet avec notamment un atelier dédié à la thématique « Alimentation et agriculture ».
La Rédaction

CES 2018 : les premiers retours sans langue de bois d'Olivier Ezratty  15/01/2018

CES 2018 : les premiers retours sans langue de bois d'Olivier Ezratty
Les tendances observées pendant un CES de Las Vegas ne sont que l’agrégat des actions d’une nuée de fournisseurs, petits et grands, qui ont émaillé les mois précédents. C’est une photo un peu arrangée de l’état du marché à un moment donné. On ne découvre pas grand-chose de véritablement nouveau pendant le salon si ce n’est quelques nouveautés anecdotiques ou confirmations de ce que l’on sait déjà. Cette cuvée 2018 du CES n’échappait pas à ces règles. Intelligence artificielle, objets connectés en tout genre, véhicules divers et/ou autonomes, smart city, VR/AR et 5G étaient au rendez-vous comme prévu et mis à toutes les sauces par les petits et les grands exposants.

Le CES 2018 a grandi en taille, passant d’une surface d’exposants de 241 000 mà 255 000 m2 et d’environ 4200 à 4500 exposants, cette croissance étant principalement due au passage de la zone startups Eureka Park de 600 à plus de 900 exposants. L’édition 2017 avait attiré 185 000 visiteurs et leur nombre sur 2018 n’a pas encore été annoncé. Certains exposants avaient l’air de trouver qu’il y en avait moins que l’année précédente. C’est possible mais attendons les chiffres pour juger. Ils seront publiés en mai 2018 dans l’audit annuel du salon. D’un point de vue pratique, si la surface du salon augmente avec un visitorat stable, ce dernier en devient mécaniquement plus dilué dans le temps et dans l’espace !

Lire la suite sur le blog d'Olivier Ezratty
La Rédaction

Le « youtuber » Amixem va installer un lieu dédié à la création numérique à Angers  30/11/2017

Le Youtuber Amixem lors du WEF à Angers
Maxime Chabroud plus connu sous le pseudonyme « Amixem » (anagramme de son prénom) est classé dans le top 10 des français les plus actifs sur le réseau social YouTube. Né à Lyon, ce « Youtubeur » de 26 ans, plutôt gamer, a fait ses études secondaires à Angers, Maine-et-Loire, ville dans laquelle il a décidé de s’installer.  Après un DUT Finances à Angers il continue ses études vers le Web Marketing à l’école supérieure Audencia SciencesCom à Nantes.
 
Ses études lui auront été profitables puisqu’il lance sa chaine YouTube en novembre 2012. Très orienté jeux vidéo au début, puis désormais voyages,  technologies et humour, il cumule désormais plus de 465 millions de vues pour 3.2 millions d’abonnés. Ce qui le classe dans les 10 meilleurs « Youtuber » français.
 
Devenu star du net au grand coeur,  Amixem qui gagne désormais beaucoup d’argent,  a participé au 4L Trophy dans le cadre de ses études, devenant même l’un des plus gros mécènes en donnant un chèque de 35 000 € pour construire une école au Maroc
 
Présenté comme un invité d’honneur, local, par le maire d’Angers, Christophe Béchu, lors du World Electronics Forum, le désormais angevin a décidé d’installer dans la ville qu’il affectionne plus particulièrement, un  lieu dédié à la création numérique. C’est ce qu’a annoncé Constance Nebbula, la conseillère municipale en charge de l’innovation et du numérique sur son mur Facebook, hier soir. Il avait d’ailleurs dit lors de son passage au WEF qu’il annoncerait prochainement une surprise. C’est donc chose faite puisqu'il a dévoilé son projet secret dans une vidéo.
 
Cet espace qui serait dédié à YouTube et qui devrait intéresser les ados, dont certains envisage d’en faire leur métier, s’appellerait  «  REDBOX ». Ce lieu indépendant, ouvert à tous, comprendrait des studios pour le tournage et le montage, les jeux, la musique et même un skate park.  Pour l’instant cet espace multifonction que l'on voit clairement dans la dernière vidéo d'Amixem a été identifiée. Elle sera installée au 9 rue Faraday à Angers. Affaire à suivre donc pour les jeunes angevins et fan de la star, plutôt attachante, et désormais fierté des élus angevins.

 
La Rédaction

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