Rêvez, concevez, construisez ! », c’est en ces mots que le Sénateur-Maire d’Angers, Christophe Béchu, a lancé le 31 janvier dernier l’appel à projets « Imagine Angers », incitant les investisseurs, promoteurs, constructeurs, architectes, bureaux d’études, designers, paysagistes... mais aussi les citoyens à se pencher sur 7 sites stratégiques de la ville. Si les équipes de professionnels ont jusqu'au mois de juillet pour faire acte de candidature, les angevins ont jusqu’au 15 mai pour faire part de leurs suggestions dans le cadre d’une boite à idées .
Le 25 avril tous les acteurs concernés ou intéressés par ces projets, plus de 300 personnes, se sont rencontrés sous les voûtes et devant les tapisseries du Musée Jean Lurçat à Angers pour faire un point d’étape sur cet appel à projet.
Au cours de cette soirée, le maire a rappelé que l’idée est née lors de la visite avec ses adjoints à l’urbanisme et à la culture, Roch Brancour et Alain Fouquet, au Pavillon de l’Arsenal à Paris, d’une exposition intitulée « Réinventer Paris ». « C’est en découvrant cette exposition que nous nous sommes dit qu’il y avait peut-être quelque chose à faire à Angers, sans copier, mais comme nous savons le faire dans cette terre du végétal : acculturer », a lancé le maire en ouvrant la soirée. « Nous avons réfléchi à la façon dont nous pouvions en faire une force pour notre territoire ».
S’appuyant sur le patrimoine « exceptionnel », héritage du Roi René et autres personnages historiques qui ont contribué, au fil des siècles des siècles, à aménager la cité, le maire a souligné « qu’il manquait à la ville le petit grain de folie ou de singularité sur le plan architectural qui pourrait aussi permettre aux Angevins de se distinguer ».
Un pari audacieux mais qui permet d’activer toutes les intelligences de la ville, des architectes, promoteurs, urbanistes et paysager, jusqu'au citoyens, proches ou ayant des idées sur les sites concernés.
Les équipes qui se constituent et qui se sont renforcées lors de la soirée événement de cette fin avril, ont donc carte blanche. Pour autant le Plan local d’urbanisme et le Secteur sauvegardé se chargeront d’en fixer les règles d’usage et les contraintes qui peuvent être liées aux sites choisis.
« Nous souhaitons que les futures constructions ne soient pas uniquement des marqueurs architecturaux mais qu’elles soient innovantes dans la manière d’habiter, d’échanger, de partager l’espace public que cela soit au bénéfice d’entreprises, de start-up, d’associations, d’institutions », précise l’Adjoint Roch Brancour.
Après leur présélection au cours de l’été prochain, les équipes multidisciplinaires retenues par un jury d’experts, d’élus et d’Angevins associés à la réflexion, auront jusqu'à décembre 2017 pour remettre leurs propositions finales. Il s’agit pour le maire de faire en sorte que les dépôts de permis de construire puissent être effectués dès le premier trimestre 2018.
Pour en savoir plus : imagine.angers.fr
Le 25 avril tous les acteurs concernés ou intéressés par ces projets, plus de 300 personnes, se sont rencontrés sous les voûtes et devant les tapisseries du Musée Jean Lurçat à Angers pour faire un point d’étape sur cet appel à projet.
Au cours de cette soirée, le maire a rappelé que l’idée est née lors de la visite avec ses adjoints à l’urbanisme et à la culture, Roch Brancour et Alain Fouquet, au Pavillon de l’Arsenal à Paris, d’une exposition intitulée « Réinventer Paris ». « C’est en découvrant cette exposition que nous nous sommes dit qu’il y avait peut-être quelque chose à faire à Angers, sans copier, mais comme nous savons le faire dans cette terre du végétal : acculturer », a lancé le maire en ouvrant la soirée. « Nous avons réfléchi à la façon dont nous pouvions en faire une force pour notre territoire ».
S’appuyant sur le patrimoine « exceptionnel », héritage du Roi René et autres personnages historiques qui ont contribué, au fil des siècles des siècles, à aménager la cité, le maire a souligné « qu’il manquait à la ville le petit grain de folie ou de singularité sur le plan architectural qui pourrait aussi permettre aux Angevins de se distinguer ».
Sept sites angevins sont concernés par cet appel à projets « très original » comme le rappelle Daniel Dimicoli, conseiller délégué à l’aménagement du territoire, en charge avec l’Adjoint à l’urbanisme, Roch Brancour, de mener à bien cette initiative. « D’une manière générale les promoteurs et architectes sont contraints par un cahier des charges très serré qui ne libère pas assez la créativité et l’imagination », explique Daniel Dimicoli. « Dans le cas d’Imagine Angers, tout est ouvert et les professionnels pourront donc agir avec des idées extrêmement innovantes et nous attendons beaucoup de cette capacité à créer ».« Tout est ouvert et les professionnels pourront donc agir avec des idées extrêmement innovantes »
Un pari audacieux mais qui permet d’activer toutes les intelligences de la ville, des architectes, promoteurs, urbanistes et paysager, jusqu'au citoyens, proches ou ayant des idées sur les sites concernés.
Les équipes qui se constituent et qui se sont renforcées lors de la soirée événement de cette fin avril, ont donc carte blanche. Pour autant le Plan local d’urbanisme et le Secteur sauvegardé se chargeront d’en fixer les règles d’usage et les contraintes qui peuvent être liées aux sites choisis.
« Nous souhaitons que les futures constructions ne soient pas uniquement des marqueurs architecturaux mais qu’elles soient innovantes dans la manière d’habiter, d’échanger, de partager l’espace public que cela soit au bénéfice d’entreprises, de start-up, d’associations, d’institutions », précise l’Adjoint Roch Brancour.
Après leur présélection au cours de l’été prochain, les équipes multidisciplinaires retenues par un jury d’experts, d’élus et d’Angevins associés à la réflexion, auront jusqu'à décembre 2017 pour remettre leurs propositions finales. Il s’agit pour le maire de faire en sorte que les dépôts de permis de construire puissent être effectués dès le premier trimestre 2018.
Pour en savoir plus : imagine.angers.fr