Les communes de Cuvry, Châtel-Saint-Germain, La Maxe, Marieulles-Vezon, Saulny et Vaux se sont d'emblée portées volontaires pour tester le dispositif d'hypervision mis en oeuvre par Eurometropole en collaboration avec la société NGE Connect.
Des capteurs ont été installés dans les bâtiments et dans l'espace publique afin de collecter des données, comme la consommation d'électricité ou d'eau, ou encore le fonctionnement de l'éclairage public.
Les données collectées nous permettent de voir si nous sommes dans les normes », poursuit Claire Ancel. Les informations enregistrées amènent ainsi par exemple à régler différemment une chaudière ou à décider de la changer.
L'hyperviseur permet encore d'exploiter d'autres données, comme le niveau sonore généré parla circulation routière. Confrontée au problème de la proximité immédiate de l'AS, la commune de Marieulles-Vezon s'est montrée intéressée.
Des capteurs ont été installés dans les bâtiments et dans l'espace publique afin de collecter des données, comme la consommation d'électricité ou d'eau, ou encore le fonctionnement de l'éclairage public.
«L'Hyperviseur est personnalisé pour chaque commune. La société NGE Connect s'est adaptée à nos besoins », précise Claire Ancel, conseillère de l'Eurométropole déléguée au numérique et maire de Châtel-Saint-Germain.Ces données sont accessibles par les responsables locaux via un outil en ligne, un hyperviseur, qui permet de programmer des alertes en cas d'anomalies. Température trop élevée ou trop basse, taux de CO2 trop important dans une salle de classe, lumière restée allumée dans un bâtiment public en dehors de ses heures de fonctionnement, etc. : autant de paramètres sous contrôle.
Les données collectées nous permettent de voir si nous sommes dans les normes », poursuit Claire Ancel. Les informations enregistrées amènent ainsi par exemple à régler différemment une chaudière ou à décider de la changer.
"On parvient à faire des économies sérieuses", témoigne François Carpentier, maire de Cuvry et conseiller métropolitain délégué à l'assainissement.Et avec l'analyse du taux de CO, dans l'air ambiant, on touche à des questions de santé publique », ajoute-t-il.
L'hyperviseur permet encore d'exploiter d'autres données, comme le niveau sonore généré parla circulation routière. Confrontée au problème de la proximité immédiate de l'AS, la commune de Marieulles-Vezon s'est montrée intéressée.
« L'analyseur procure des données plus fines, c'est important de disposer de vraies mesures », constate le maire et conseiller métropolitain Pierre Muel.Le dispositif d'Hypervision n'a en outre pas fini de déployer son potentiel.
"Nous pouvons nous projeter sur des problématiques de long terme, liés à la transition écologique", assure Bertrand Duval, maire de La Maxe et vice-président de l'Eurométropole délégué à la voirie et aux espaces publics.
« L'hyperviseur est une belle initiative de l'Eurométropole au service des communes, que chacune d'elles n'aurait pu mener seule », affirme Nathalie Spormeyeur, maire de Saulny et vice-présidente de l'Eurométropole déléguée à la vie associative et aux équipements sportifs.
« Un très bon, concept », abonde Christian Favre, adjoint au maire de Vaux, et conseiller métropolitain suppléant.Pour déployer le service, l'Eurométropole s'appuie sur le réseau numérique LoRa, appartenant à la Régie de l'eau,. qui finalise pour sa part son dispositif de compteurs connectés.
“L’innovation est le moyen de créer des opportunités pour les générations futures.”