Les français se prie de bon gré aux directives des villes, en portant le masque dans les zones piétonnes fortement chargées. Ici à Vannes (Morbihan). Mais les masques utilisés sont ils suffisamment protecteurs (Photo A l'Ouest Images)
Si le nombre d’hospitalisations et de décès à fortement diminué au cours de l’été, malgré les migrations et la promiscuité, pas toujours bien gérées et inévitables sur les sites de vacances, le dernier coronavirus (SARS-CoV-2) circule toujours. Vraisemblablement atténué par les chaleurs estivales, ce virus est aujourd’hui détecté dès sa suspicion ce qui fait repartir le nombre de personnes touchées à la hausse. Si la plupart des personnes détectées sont asymptomatiques ou peu touchées par la maladie, elles peuvent néanmoins toucher des personnes fragiles qui ne le savent pas vraiment et relancer une pandémie très meurtrière. C’est tout au moins ce que craignent les pouvoirs publics qui encouragent à redoubler de vigilance en appliquant les gestes barrières permettant d’endiguer la progression de la maladie, notamment dans les lieux fortement chargés, qu’ils soient ouverts ou clos. De nouvelles mesures vont entrer en application dès la rentrée. Celles-ci concernent principalement les entreprises.
Parmi les gestes barrières, le masque qui permet d’éviter des projections de salive et l’aspiration de ces projections par les personnes proches, est celui qui est indiqué en priorité dans toutes les directives, même si le lavage des mains (au savon ou au gel hydro alcoolique) et la distanciation physique reste également des gestes indispensables.
A compter du 1er septembre, le port du masque devient donc obligatoire dans les espaces clos et partagés des entreprises. Ces dernières devront donc se constituer des stocks suffisamment importants pour satisfaire aux besoins de leurs collaborateurs. « Mais tous les masques n’ont pas la même qualité » rappelle Charles Dubourg, Directeur Général de Cizeta Medicali, une entreprise spécialisée dans la fabrication de textile médical, laquelle a participé à la création de la norme AFNOR pour la production de masques réutilisables
Le directeur de Cizeta Medicali qui n’hésite pas à dénoncer le laxisme de l’Etat et l’aberration des masques jetables proposés au grand public, lance par l’intermédiaire d’une lettre ouverte intitulée : « la vérité démasquée à propos des masques, à l’attention de ceux qui ferment les yeux ».
Souvent confectionnés à la hâte selon des modèles non certifiés ou achetés sur des marchés asiatiques, notamment chinois, la plupart des masques utilisés n’ont que l’aspect et la couleur des masques sans garantir le niveau de protection attendu. D’autant que l’État laisse entrer sur le marché des masques à usage unique, non homologués, sur lesquels aucun contrôle de qualité n’est exigé aux importateurs. Et l’on en trouve partout : sur les étals des supermarchés ou des marchés de village, mais aussi sur internet, chacun étant bien incapable de prouver leur véritable efficacité. Des petits marchands à la sauvette ayant trouvé là un moyen de s’enrichir à bon compte.
« Pourquoi avoir fait des tests en laboratoire et demandé un fort niveau de protection aux fabricants de textiles avec une norme Afnor, logos et macarons officiels 30/50 lavages s’il n’y a aucun contrôle de qualité imposé aux importateurs de masques jetables », dénonce Charles Dubourg.
Pour ce dernier qui constate la profusion de proposition de vente de ces masques plus ou moins homologués, le seul réseau qui devrait « avoir vocation de circuit de référence pour ses garanties de sécurité et de qualité est celui des pharmacies ». Et c’est loin d’être le cas.
Pour le fabricant de textile médical, le masque, compte tenu du renforcement de son utilisation et du coût qu’il engendre doit être aussi économique et écologique. Raison suffisante pour proposer d’utiliser les masques en tissu lavable (utilisables 50 fois), dont « le coût par salarié s’élève à 6 € contre 45 € pour les masques jetables (utilisables une seule fois) », lesquels sont malheureusement, très souvent abandonnés dans la nature, en constituant une pollution supplémentaire. Selon son calcul chaque salarié n’utiliserait qu’un masque réutilisable par mois, contre 60 dans le cas des masques jetables. D’où un surcoût considérable pour des entreprises au bord de la crise économique.
« Pourquoi utiliser un masque jetable polluant et couteux alors que le masque lavable est écologique et cinq fois moins cher », s’enflamme Charles Dubourg.
Cizeta Medical qui a obtenu la certification avec une homologation 50 lavages, propose la protection « Cizeta Mask », un des rares masques offrir le niveau de filtration maximal de 99% des particules ou supérieur à 3 µm avec un niveau de respirabilité le plus élevé, selon son concepteur. Confectionnés en France, les masques Cizeta sont réalisés en Oeko Tex, une matière gage de qualité et hypoallergénique.
Parmi les gestes barrières, le masque qui permet d’éviter des projections de salive et l’aspiration de ces projections par les personnes proches, est celui qui est indiqué en priorité dans toutes les directives, même si le lavage des mains (au savon ou au gel hydro alcoolique) et la distanciation physique reste également des gestes indispensables.
A compter du 1er septembre, le port du masque devient donc obligatoire dans les espaces clos et partagés des entreprises. Ces dernières devront donc se constituer des stocks suffisamment importants pour satisfaire aux besoins de leurs collaborateurs. « Mais tous les masques n’ont pas la même qualité » rappelle Charles Dubourg, Directeur Général de Cizeta Medicali, une entreprise spécialisée dans la fabrication de textile médical, laquelle a participé à la création de la norme AFNOR pour la production de masques réutilisables
Le directeur de Cizeta Medicali qui n’hésite pas à dénoncer le laxisme de l’Etat et l’aberration des masques jetables proposés au grand public, lance par l’intermédiaire d’une lettre ouverte intitulée : « la vérité démasquée à propos des masques, à l’attention de ceux qui ferment les yeux ».
« Pourquoi utiliser un masque jetable polluant et couteux alors que le masque lavable est écologique et cinq fois moins cher »
Souvent confectionnés à la hâte selon des modèles non certifiés ou achetés sur des marchés asiatiques, notamment chinois, la plupart des masques utilisés n’ont que l’aspect et la couleur des masques sans garantir le niveau de protection attendu. D’autant que l’État laisse entrer sur le marché des masques à usage unique, non homologués, sur lesquels aucun contrôle de qualité n’est exigé aux importateurs. Et l’on en trouve partout : sur les étals des supermarchés ou des marchés de village, mais aussi sur internet, chacun étant bien incapable de prouver leur véritable efficacité. Des petits marchands à la sauvette ayant trouvé là un moyen de s’enrichir à bon compte.
« Pourquoi avoir fait des tests en laboratoire et demandé un fort niveau de protection aux fabricants de textiles avec une norme Afnor, logos et macarons officiels 30/50 lavages s’il n’y a aucun contrôle de qualité imposé aux importateurs de masques jetables », dénonce Charles Dubourg.
Pour ce dernier qui constate la profusion de proposition de vente de ces masques plus ou moins homologués, le seul réseau qui devrait « avoir vocation de circuit de référence pour ses garanties de sécurité et de qualité est celui des pharmacies ». Et c’est loin d’être le cas.
Pour le fabricant de textile médical, le masque, compte tenu du renforcement de son utilisation et du coût qu’il engendre doit être aussi économique et écologique. Raison suffisante pour proposer d’utiliser les masques en tissu lavable (utilisables 50 fois), dont « le coût par salarié s’élève à 6 € contre 45 € pour les masques jetables (utilisables une seule fois) », lesquels sont malheureusement, très souvent abandonnés dans la nature, en constituant une pollution supplémentaire. Selon son calcul chaque salarié n’utiliserait qu’un masque réutilisable par mois, contre 60 dans le cas des masques jetables. D’où un surcoût considérable pour des entreprises au bord de la crise économique.
« Pourquoi utiliser un masque jetable polluant et couteux alors que le masque lavable est écologique et cinq fois moins cher », s’enflamme Charles Dubourg.
Cizeta Medical qui a obtenu la certification avec une homologation 50 lavages, propose la protection « Cizeta Mask », un des rares masques offrir le niveau de filtration maximal de 99% des particules ou supérieur à 3 µm avec un niveau de respirabilité le plus élevé, selon son concepteur. Confectionnés en France, les masques Cizeta sont réalisés en Oeko Tex, une matière gage de qualité et hypoallergénique.