Se glisser dans la peau d’une jeune entreprise pour imaginer un concept, un produit, un service pouvant être utile aux citoyens de leur ville, telle était l’idée lancée par l’association PAVIC, ce mardi 13 juin, à la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Angers. Près de 80 personnes, pour la plupart déjà membres de l’association, issus des milieux de l’entreprise, des institutions et des grandes écoles, ont participé à cet atelier de travail de 2 heures autour de 10 thématiques allant de l’énergie au bien vivre ensemble, en passant par le sport, la santé, la silver économie, l’habitat, la mobilité, l’alimentation, l’éducation, l’environnement et la communication.
« L’objectif c'est de faire en sorte que chaque groupe s’approprie un thème et se mette dans la peau d’un usager pour en cerner la problématique, trouver la solution, proposer une offre de service et présenter son projet devant les autres », expliquait Reynald Werquin, Directeur Opérationnel de Pavic. « Nous voterons ensuite pour le meilleur projet ».
Regroupés par affinité et selon la thématique dans laquelle ils se sentaient le plus à l’aise, les participants de ce premier « workshop », ont étudié sérieusement chaque sujet, assistés par des spécialistes technologiques, financiers ou juridiques. Malgré le temps très court, - à peine une heure pour étudier la problématique et la développer -, chaque participant a pu, même s’il n’était pas forcément rodé à l’exercice, trouver une solution cohérente et financièrement viable. « C’était d’ailleurs, toute la force de l’exercice », nous confiait Reynald Werquin.
« Pour cette première nous avons réussi à réunir des personnes du monde institutionnel, économique et académique, afin qu’elles réfléchissent ensemble à l’avenir d’Angers, à la ville de demain et au concept de Smart City », confirmait Constance Nebbula, l'élue municipale déléguée à l'économie numérique et l'innovation de la ville d'Angers. « J’ai participé à un groupe pour y apporter mes idées et recueillir les avis des uns et des autres sur leur vision d’Angers ville intelligente ».
Les créatifs et novateurs d'un jour ont apprécié l’expérience et ce petit moment de détente dans leur emploi du temps professionnel très chargé. Celui-ci à parfois laissé la place à l’humour comme le groupe qui a remporté le challenge avec sa plateforme de redistribution des légumes non consommés des jardiniers amateurs, appelée « Bla Bla Courge ». Clin d’œil à la célèbre plateforme de covoiturage
« C’était une superbe expérience. J’ai surtout apprécié cet atelier de créativité et l’opportunité qu’on nous donne de pouvoir travailler à plusieurs, en combinant les compétences de chacun », soulignait Florence Coron, Digital Marketing Manager et participante de l’un des groupes. « On ne se connaissait pas et on a réussi pendant le temps imparti à partager des idées. C’était un travail très rythmé, mais nécessaire pour être efficace ».
Du côté de l’association on se félicite également de la réussite de cette première rencontre très productive. « J’ai eu plusieurs retours très positifs, avec des demandes de renouvellement de l’expérience », rapporte aujourd’hui Reynald Werquin. « Les participants de ce premier atelier ont très vite compris qu’ils n’étaient pas là pour construire la ville, mais notre ville de demain. Des projets forts intéressants ont su émerger de l’intelligence collective, constat de votre volonté commune de se réapproprier le territoire ».
Ce premier atelier sera suivi d’autres, dans les mois à venir. C’est tout au moins ce que laisse à penser le discours des organisateurs.
A la fin de ce premier atelier, le groupe énergétique Engie , partenaire de la rencontre et organisateur de l’InnovWeek Engie , en a profité pour présenter les jeunes pousses angevines, retenues dans le cadre de l’appel à projets lancé par « Engie Axima », la branche génie climatique du groupe.
« L’objectif c'est de faire en sorte que chaque groupe s’approprie un thème et se mette dans la peau d’un usager pour en cerner la problématique, trouver la solution, proposer une offre de service et présenter son projet devant les autres », expliquait Reynald Werquin, Directeur Opérationnel de Pavic. « Nous voterons ensuite pour le meilleur projet ».
Regroupés par affinité et selon la thématique dans laquelle ils se sentaient le plus à l’aise, les participants de ce premier « workshop », ont étudié sérieusement chaque sujet, assistés par des spécialistes technologiques, financiers ou juridiques. Malgré le temps très court, - à peine une heure pour étudier la problématique et la développer -, chaque participant a pu, même s’il n’était pas forcément rodé à l’exercice, trouver une solution cohérente et financièrement viable. « C’était d’ailleurs, toute la force de l’exercice », nous confiait Reynald Werquin.
« Les participants de ce premier atelier ont très vite compris qu’ils n’étaient pas là pour construire la ville, mais notre ville de demain ».
« Pour cette première nous avons réussi à réunir des personnes du monde institutionnel, économique et académique, afin qu’elles réfléchissent ensemble à l’avenir d’Angers, à la ville de demain et au concept de Smart City », confirmait Constance Nebbula, l'élue municipale déléguée à l'économie numérique et l'innovation de la ville d'Angers. « J’ai participé à un groupe pour y apporter mes idées et recueillir les avis des uns et des autres sur leur vision d’Angers ville intelligente ».
Les créatifs et novateurs d'un jour ont apprécié l’expérience et ce petit moment de détente dans leur emploi du temps professionnel très chargé. Celui-ci à parfois laissé la place à l’humour comme le groupe qui a remporté le challenge avec sa plateforme de redistribution des légumes non consommés des jardiniers amateurs, appelée « Bla Bla Courge ». Clin d’œil à la célèbre plateforme de covoiturage
« C’était une superbe expérience. J’ai surtout apprécié cet atelier de créativité et l’opportunité qu’on nous donne de pouvoir travailler à plusieurs, en combinant les compétences de chacun », soulignait Florence Coron, Digital Marketing Manager et participante de l’un des groupes. « On ne se connaissait pas et on a réussi pendant le temps imparti à partager des idées. C’était un travail très rythmé, mais nécessaire pour être efficace ».
Du côté de l’association on se félicite également de la réussite de cette première rencontre très productive. « J’ai eu plusieurs retours très positifs, avec des demandes de renouvellement de l’expérience », rapporte aujourd’hui Reynald Werquin. « Les participants de ce premier atelier ont très vite compris qu’ils n’étaient pas là pour construire la ville, mais notre ville de demain. Des projets forts intéressants ont su émerger de l’intelligence collective, constat de votre volonté commune de se réapproprier le territoire ».
Ce premier atelier sera suivi d’autres, dans les mois à venir. C’est tout au moins ce que laisse à penser le discours des organisateurs.
A la fin de ce premier atelier, le groupe énergétique Engie , partenaire de la rencontre et organisateur de l’InnovWeek Engie , en a profité pour présenter les jeunes pousses angevines, retenues dans le cadre de l’appel à projets lancé par « Engie Axima », la branche génie climatique du groupe.