Le nouveau site de Lacroix en construction à Beaupréau (49) ( Image cabinet PVA et Essor Ingénierie)
Relancer et relocaliser l’industrie française en France, ou tout au moins en Europe, en évitant d’avoir recours, tant faire se peut à la fabrication asiatique et notamment chinoise, c’est une volonté de l’entreprise nantaise LACROIX Group, que défend bec et ongles son dynamique Président Directeur Général : Vincent Bedouin.
« Nous croyons au futur d'une stratégie industrielle dans l'électronique en France et en Europe. A travers la sélection de notre projet SYMBIOSE, le gouvernement envoie un message stratégique à la filière électronique et aux filières utilisatrices : nous ne pouvons plus continuer à bâtir un futur uniquement dépendant des approvisionnements chinois », affirme Vincent Bedouin. « Au contraire, investissons ensemble dans des écosystèmes électroniques et digitaux propices à l'innovation de notre industrie ! ».
Aujourd’hui, la France comme beaucoup de pays occidentaux, est dépendante des pays d’Asie et plus particulièrement de la Chine. C’est notamment le cas de la filière électronique, domaine de prédilection de l’entreprise nantaise LACROIX, laquelle est convaincu que la crise économique que nous connaissons aujourd’hui peut constituer une véritable opportunité pour revoir les modèles économiques de l’industrie française.
« Après plusieurs décennies de désindustrialisation et une fragmentation croissante des processus de production, l'heure est à la relocalisation et à l'incitation pour les entreprises à localiser leurs futures activités sur le territoire national », confirme le groupe nantais qui fait partie des 31 entreprises lauréates, sur 6500, de l’appel à projet pour le soutien à la relocalisation, lancé par Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, et Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'Industrie.
« Cet appel à projet reflète le désir d’une industrie française de moderniser son appareil productif et d'accomplir sa transition », poursuit LACROIX Group. Un juste retour des choses dont personne ne se plaindra, étant assuré que pour un tarif légèrement supérieur, la qualité sera au rendez-vous. A cela s’ajoutera la facilité de dialogue avec les entreprises locales pour mieux cerner les projets et au final les rendre pas si couteux qu’il n’y parait.
« Nous croyons au futur d'une stratégie industrielle dans l'électronique en France et en Europe. A travers la sélection de notre projet SYMBIOSE, le gouvernement envoie un message stratégique à la filière électronique et aux filières utilisatrices : nous ne pouvons plus continuer à bâtir un futur uniquement dépendant des approvisionnements chinois », affirme Vincent Bedouin. « Au contraire, investissons ensemble dans des écosystèmes électroniques et digitaux propices à l'innovation de notre industrie ! ».
Aujourd’hui, la France comme beaucoup de pays occidentaux, est dépendante des pays d’Asie et plus particulièrement de la Chine. C’est notamment le cas de la filière électronique, domaine de prédilection de l’entreprise nantaise LACROIX, laquelle est convaincu que la crise économique que nous connaissons aujourd’hui peut constituer une véritable opportunité pour revoir les modèles économiques de l’industrie française.
« Après plusieurs décennies de désindustrialisation et une fragmentation croissante des processus de production, l'heure est à la relocalisation et à l'incitation pour les entreprises à localiser leurs futures activités sur le territoire national », confirme le groupe nantais qui fait partie des 31 entreprises lauréates, sur 6500, de l’appel à projet pour le soutien à la relocalisation, lancé par Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, et Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l'Industrie.
« Cet appel à projet reflète le désir d’une industrie française de moderniser son appareil productif et d'accomplir sa transition », poursuit LACROIX Group. Un juste retour des choses dont personne ne se plaindra, étant assuré que pour un tarif légèrement supérieur, la qualité sera au rendez-vous. A cela s’ajoutera la facilité de dialogue avec les entreprises locales pour mieux cerner les projets et au final les rendre pas si couteux qu’il n’y parait.
Symbiose, une usine à taille humaine, respectueuse de l’environnement
La subvention gouvernementale viendra soutenir la modernisation de l'usine de LACROIX Electronics, dont la construction du nouveau bâtiment est en cours à Baupréau (Maine-et-Loire)
Activité du groupe nantais à part entière, la conception et la production d'ensembles et de sous-ensembles électroniques, sera pris en charge par une usine à la pointe de la technologie, en partie automatisée, qui va s’appuyer sur la convergence entre le monde de l'industrie et du numérique. Pour cela l’entreprise s’appuie sur son bureau d'études et ses autres sites de production lesquels lui permettent « d’évoluer vers un écosystème innovant pour une industrie plus intelligente et responsable ».
« La mise en place de cette industrie 4.0 s'appuie sur l'innovation technologique, la responsabilité environnementale et l'innovation sociale, qui sont autant d'enjeux définis dans le cadre du soutien à la filière électronique », confirme le groupe, qui ne laisse rien au hasard pour démontrer que l’industrie française, peut aussi être humaine et respectueuse de son environnement. Ce qui est loin d’être le cas en Chine.
Au travers de cette nouvelle usine entièrement digitalisée, LACROIX Electronics se dote d'un outil industriel puissant, à même de relever les défis d'un marché électronique complexe, concurrentiel, international, et extrêmement évolutif. Le projet d'automatisation des systèmes de stockage soutenu par le plan d'aide à la relocalisation participe à cette dynamique.
Pour l’entreprise « la modernisation des procédés de production avec l'automatisation des systèmes de manutention et de stockage contribue indéniablement au développement pérenne d'activités de fabrication électronique sur le territoire national ».
Entreprise internationale et stratégiquement implantée en Europe à travers plusieurs sites en France, en Espagne ou encore en Pologne, LACROIX Group parie sur le développement de la « Smart Industry française » à travers son projet de construction, gage de résilience face à la transition technologique, écologique et sociale de l'industrie électronique française.
Activité du groupe nantais à part entière, la conception et la production d'ensembles et de sous-ensembles électroniques, sera pris en charge par une usine à la pointe de la technologie, en partie automatisée, qui va s’appuyer sur la convergence entre le monde de l'industrie et du numérique. Pour cela l’entreprise s’appuie sur son bureau d'études et ses autres sites de production lesquels lui permettent « d’évoluer vers un écosystème innovant pour une industrie plus intelligente et responsable ».
« La mise en place de cette industrie 4.0 s'appuie sur l'innovation technologique, la responsabilité environnementale et l'innovation sociale, qui sont autant d'enjeux définis dans le cadre du soutien à la filière électronique », confirme le groupe, qui ne laisse rien au hasard pour démontrer que l’industrie française, peut aussi être humaine et respectueuse de son environnement. Ce qui est loin d’être le cas en Chine.
Au travers de cette nouvelle usine entièrement digitalisée, LACROIX Electronics se dote d'un outil industriel puissant, à même de relever les défis d'un marché électronique complexe, concurrentiel, international, et extrêmement évolutif. Le projet d'automatisation des systèmes de stockage soutenu par le plan d'aide à la relocalisation participe à cette dynamique.
Pour l’entreprise « la modernisation des procédés de production avec l'automatisation des systèmes de manutention et de stockage contribue indéniablement au développement pérenne d'activités de fabrication électronique sur le territoire national ».
Entreprise internationale et stratégiquement implantée en Europe à travers plusieurs sites en France, en Espagne ou encore en Pologne, LACROIX Group parie sur le développement de la « Smart Industry française » à travers son projet de construction, gage de résilience face à la transition technologique, écologique et sociale de l'industrie électronique française.