Aujourd’hui, les changements organisationnels, technologiques et sociétaux des villes et métropoles actuelles sont le plus souvent induits par le souhait de réduire les budgets de fonctionnement et la volonté d’apporter une réponse au changement climatique. La ville intelligente, qui cherche à concilier les piliers sociaux, culturels et environnementaux va plus loin. A travers une gouvernance qui laisse une part plus grande aux usagers et une gestion éclairée des ressources naturelles et de l’énergie, elle met tout en œuvre pour faire face aux besoins des institutions, des entreprises et des citoyens.
Aujourd’hui cette ville qui cherche à optimiser ses ressources s’appelle smart city, ville numérique, green city, connected city, éco-cité, ville durable. Toutes ses villes qui utilisent des concepts qui font largement appel aux données numériques (datas) et à l’Internet des Objets (IoT).
« Dans le détail » écrit Matthieu Deleneuville dans le JDN « 70% des smart cities tricolores, soit 16 d'entre elles, se sont lancées dans l'open data ». Ces villes ouvrent principalement leurs données sur les transports en commun disponibles en temps réel mais aussi de mobilité ou de stationnement. « Ces informations servent à créer des services adaptés aux besoins des usagers mais aussi à mieux appréhender l'impact d'une décision politique ».
« Un concept qui fonctionne bien » poursuit le JDN, « ce sont les plateformes participatives, c'est-à-dire celles qui donnent la parole aux habitants », ou qui le sondent en direct, soit en ligne soit par des bornes connectées installées dans des lieux publics. C’est le cas à Angers, où la société Qowisio, une entreprise spécialisée dans l’IoT, a installé depuis neuf mois qui permettent aux habitants de s’exprimer sur des projets municipaux.
Les smart grids, c'est-à-dire les systèmes électriques qui intègrent de manière intelligente les actions des usagers et des producteurs afin de maintenir une fourniture d'électricité efficace, durable, économique et sécurisée (définition de la plateforme technologique européenne sur les Smart Grids), séduisent également de nombreuses villes françaises. Le JDN relève que 12 d’entre elles ont au moins un projet ou une expérimentation de réseau électrique intelligent.
Le Grand Lyon s’affirme comme le premier territoire d'expérimentation des smart grids en Europe, avec l’objectif de préserver au mieux les ressources énergétiques et piloter la consommation. Cette expérimentation se concrétise par plusieurs projets, dont l’installation du compteur Linky d’Enedis et « Transform », un projet Européen d'élaboration d'outil de planification énergétique en collaboration avec Amsterdam, Copenhague, Vienne, Gene et Hambourg.
Chartres, la plus petite ville intelligente française, « a poussé le concept le plus loin avec tout un projet basé sur l'utilisation de l'éclairage public, de la gestion du stationnement au contrôle du remplissage des poubelles en direct », relève le JDN.
Une dizaine de ville ou territoires se sont lancés dans un Wifi linéaire public, à l’exemple d’Angers, Amiens, Mulhouse, Strasbourg et Reims, avec le réseau WiFiLib d’Afone. Ces réseaux donnent l'accès à Internet à tous et dans la plupart des zones urbaines. « Ces villes sont conscientes qu'il ne peut y avoir de services connectés sans réseau de qualité » conclut le JDN.
Source Journal du Net
Aujourd’hui cette ville qui cherche à optimiser ses ressources s’appelle smart city, ville numérique, green city, connected city, éco-cité, ville durable. Toutes ses villes qui utilisent des concepts qui font largement appel aux données numériques (datas) et à l’Internet des Objets (IoT).
« Dans le détail » écrit Matthieu Deleneuville dans le JDN « 70% des smart cities tricolores, soit 16 d'entre elles, se sont lancées dans l'open data ». Ces villes ouvrent principalement leurs données sur les transports en commun disponibles en temps réel mais aussi de mobilité ou de stationnement. « Ces informations servent à créer des services adaptés aux besoins des usagers mais aussi à mieux appréhender l'impact d'une décision politique ».
« Un concept qui fonctionne bien » poursuit le JDN, « ce sont les plateformes participatives, c'est-à-dire celles qui donnent la parole aux habitants », ou qui le sondent en direct, soit en ligne soit par des bornes connectées installées dans des lieux publics. C’est le cas à Angers, où la société Qowisio, une entreprise spécialisée dans l’IoT, a installé depuis neuf mois qui permettent aux habitants de s’exprimer sur des projets municipaux.
Les smart grids, c'est-à-dire les systèmes électriques qui intègrent de manière intelligente les actions des usagers et des producteurs afin de maintenir une fourniture d'électricité efficace, durable, économique et sécurisée (définition de la plateforme technologique européenne sur les Smart Grids), séduisent également de nombreuses villes françaises. Le JDN relève que 12 d’entre elles ont au moins un projet ou une expérimentation de réseau électrique intelligent.
Le Grand Lyon s’affirme comme le premier territoire d'expérimentation des smart grids en Europe, avec l’objectif de préserver au mieux les ressources énergétiques et piloter la consommation. Cette expérimentation se concrétise par plusieurs projets, dont l’installation du compteur Linky d’Enedis et « Transform », un projet Européen d'élaboration d'outil de planification énergétique en collaboration avec Amsterdam, Copenhague, Vienne, Gene et Hambourg.
Chartres, la plus petite ville intelligente française, « a poussé le concept le plus loin avec tout un projet basé sur l'utilisation de l'éclairage public, de la gestion du stationnement au contrôle du remplissage des poubelles en direct », relève le JDN.
Une dizaine de ville ou territoires se sont lancés dans un Wifi linéaire public, à l’exemple d’Angers, Amiens, Mulhouse, Strasbourg et Reims, avec le réseau WiFiLib d’Afone. Ces réseaux donnent l'accès à Internet à tous et dans la plupart des zones urbaines. « Ces villes sont conscientes qu'il ne peut y avoir de services connectés sans réseau de qualité » conclut le JDN.
Source Journal du Net
les réalisations smart city en France ( Source Journal du Net)