En ce 14 février, jour où de nombreux couples échangent des petits messages d’amour, selon le rituel de la Saint Valentin, la LoveBox de la startup éponyme se présente comme une alternative connectée, beaucoup plus romantique que les simples messages SMS.
« Notre boite à amour s’adresse bien sûr aux couples amoureux, mais pas seulement. Ce peut-être pour votre grand-mère, votre mère, toute personne que vous aimez », explique son inventeur, Jean Grégoire, lequel ne se focalise pas seulement sur la Saint Valentin, même si ça reste l’un des moments forts pour la jeune entreprise installée à Grenoble (Isère). « Avec l’application mobile vous êtes le seul à pouvoir envoyer des messages vers la boite à amour. Le petit cœur fixé sur la face avant va s’agiter de plus en plus rapidement jusqu’à ce que son destinataire découvre le(s) message(s) (numérique – NDLR) contenus dans la boite ». Et de poursuivre : « nous sommes vraiment dans le domaine de l’émotionnel, la LoveBox est un cadeau et à chaque fois que vous allez envoyer un message c’est encore un cadeau ». Un véritable objet sentimental qui a pour but d'émouvoir celui ou celle qui le reçoit.
« J’ai créé cette boite à message quand je suis parti un an à Boston, loin de ma petite amie », précise Jean Grégoire. Un idée plus originale et plus rapide qu’une bouteille à la mer. « C’est en la présentant au Fab Lab de Grenoble que j’ai rencontré Marie et que nous avons eu l’idée de créer notre entreprise pour commercialiser la boite à amour. Nous en avons vendu 400 à Noël et autant pour la Saint Valentin. Nous avons beaucoup de demandes de distributeurs et nous ne pouvons tous les satisfaire pour l’instant ».
Assemblée en France et de manière artisanale, la boite est fabriquée en hêtre du Jura, à Saint Amour. Ça ne s’invente pas. Les premières boites ont été assemblées et testées à la Cité de l’Objet Connecté à Angers. La partie électronique repose sur un microcontrôleur ESP8266 Espressif qui se connecte en WiFi aux serveurs de l’entreprise pour générer une connexion temps réel entre l’appli mobile et la LoveBox. Le contenu est gardé secret et n'est donc pas visible par l'entreprise.
« Notre boite à amour s’adresse bien sûr aux couples amoureux, mais pas seulement. Ce peut-être pour votre grand-mère, votre mère, toute personne que vous aimez », explique son inventeur, Jean Grégoire, lequel ne se focalise pas seulement sur la Saint Valentin, même si ça reste l’un des moments forts pour la jeune entreprise installée à Grenoble (Isère). « Avec l’application mobile vous êtes le seul à pouvoir envoyer des messages vers la boite à amour. Le petit cœur fixé sur la face avant va s’agiter de plus en plus rapidement jusqu’à ce que son destinataire découvre le(s) message(s) (numérique – NDLR) contenus dans la boite ». Et de poursuivre : « nous sommes vraiment dans le domaine de l’émotionnel, la LoveBox est un cadeau et à chaque fois que vous allez envoyer un message c’est encore un cadeau ». Un véritable objet sentimental qui a pour but d'émouvoir celui ou celle qui le reçoit.
« J’ai créé cette boite à message quand je suis parti un an à Boston, loin de ma petite amie », précise Jean Grégoire. Un idée plus originale et plus rapide qu’une bouteille à la mer. « C’est en la présentant au Fab Lab de Grenoble que j’ai rencontré Marie et que nous avons eu l’idée de créer notre entreprise pour commercialiser la boite à amour. Nous en avons vendu 400 à Noël et autant pour la Saint Valentin. Nous avons beaucoup de demandes de distributeurs et nous ne pouvons tous les satisfaire pour l’instant ».
Nous tenons à cette fabrication artisanale et française car elle fait partie de nos valeurs
Assemblée en France et de manière artisanale, la boite est fabriquée en hêtre du Jura, à Saint Amour. Ça ne s’invente pas. Les premières boites ont été assemblées et testées à la Cité de l’Objet Connecté à Angers. La partie électronique repose sur un microcontrôleur ESP8266 Espressif qui se connecte en WiFi aux serveurs de l’entreprise pour générer une connexion temps réel entre l’appli mobile et la LoveBox. Le contenu est gardé secret et n'est donc pas visible par l'entreprise.
Marie Poulle et Jean Grégoire devant le Fab Lab de Grenoble
« Nous tenons à cette fabrication artisanale et française car elle fait partie de nos valeurs », précise Jean Grégoire, jeune ingénieur de 28 ans. Mais ce dernier est conscient qu’il va désormais falloir passer à la phase industrielle pour que l’entreprise soit viable. « Nous travaillons sur une production à plus grande échelle et de manière automatisée, pour que ce soit économiquement plus rentable. Mais nous ne voulons pas pour autant rogner sur la qualité ». Donc, pas question de faire fabriquer à bas coût, à l’autre bout du monde, avec des matériaux de synthèse.
Vendue 95 € aux Galeries Lafayette Haussman à Paris, la LoveBox se situe plutôt dans la gamme des produits de luxe. « Nous avons eu une longue discussion sur le prix, mais à l’instar de l’iPhone d’Apple, nous préférons proposer un produit un peu plus cher mais plus beau et de meilleure qualité », ajoute Jean Grégoire. Sachant que le prix reste tout de même abordable.
Ravi de pouvoir apporter du bonheur, en ces temps de morosité ambiante, Jean et Marie, respectivement inventeur-CEO et CMO-Business Développement, n’ont pas l’intention d’en rester à la petite boite à messages. Se positionnant dans le concept de la maison intelligente et de ses objets du quotidien, ils ont l’intention de faire de LoveBox, une véritable entreprise du bonheur et des relations amoureuses. Nous en avons tous besoin, le marché est donc considérable.
« Nous allons créer d’autres objets et surtout des services à valeur ajoutée autour de la LoveBox ». En relation avec la communauté qui s’est pris d’affection pour l’entreprise et ce qu’elle procure, l’entreprise grenobloise devrait donc donner naissance à d’autres objets connectés. La LoveBox ou plutôt sa petite sœur pourrait quitter la maison pour le monde de l’entreprise, un lieu où l’humanité et la sensibilité font cruellement défaut.
Pour en savoir plus www.lovebox.love
Vendue 95 € aux Galeries Lafayette Haussman à Paris, la LoveBox se situe plutôt dans la gamme des produits de luxe. « Nous avons eu une longue discussion sur le prix, mais à l’instar de l’iPhone d’Apple, nous préférons proposer un produit un peu plus cher mais plus beau et de meilleure qualité », ajoute Jean Grégoire. Sachant que le prix reste tout de même abordable.
Ravi de pouvoir apporter du bonheur, en ces temps de morosité ambiante, Jean et Marie, respectivement inventeur-CEO et CMO-Business Développement, n’ont pas l’intention d’en rester à la petite boite à messages. Se positionnant dans le concept de la maison intelligente et de ses objets du quotidien, ils ont l’intention de faire de LoveBox, une véritable entreprise du bonheur et des relations amoureuses. Nous en avons tous besoin, le marché est donc considérable.
« Nous allons créer d’autres objets et surtout des services à valeur ajoutée autour de la LoveBox ». En relation avec la communauté qui s’est pris d’affection pour l’entreprise et ce qu’elle procure, l’entreprise grenobloise devrait donc donner naissance à d’autres objets connectés. La LoveBox ou plutôt sa petite sœur pourrait quitter la maison pour le monde de l’entreprise, un lieu où l’humanité et la sensibilité font cruellement défaut.
Pour en savoir plus www.lovebox.love