Désireux d’être en rupture avec les chefs d’état qui l’ont précédé, Emmanuel Macron souhaitait l’être aussi par la voiture qu’il a choisi lors de son investiture, ce dimanche 14 mai. Finies la limousine ou le monospace qu’il a utilisé lors de son arrivée. C’est désormais le SUV chic et techno de la gamme PSA qu’il a choisi : le « DS7 Crossback ».
Compte tenu de sa jeunesse, « Emmanuel Macron doit incarner la modernité et suivre les tendances du moment. Dès lors, pourquoi ne pas opter pour un SUV ? Un véhicule qui séduit déjà un tiers des Français et dont les ventes ne cessent d’augmenter à l’échelle de la planète », commentaient le jour de l’investiture nos confrères du journal automobile l’Argus.
S’il avait utilisé pendant sa campagne et lorsqu’il a rejoint l’Elysée ce dimanche, un Renault Espace, le nouveau président a préféré se tourner vers un véhicule plus tendance, non seulement pour son style, mais aussi pour tout ce qu’il embarque. Mais si le prédécesseur d’Emmanuel Macron avait pu bénéficier de la DS5 en version hybride, le « DS 7 Crossback présidentiel » a été livré avec un moteur thermique, ce qui va faire tousser les écologistes. Mais sa déclinaison hybride n’est pas encore prête, sa commercialisation étant prévue pour le printemps 2019.
Pour les spécialistes automobiles de l’Argus, « ce véhicule qui sera commercialisé début 2018 est le nec plus ultra du Made in France qui s’attaque sans complexe aux marques premiums allemande. Il est le symbole de la France qui gagne ! »
Si le SUV est désormais le véhicule que choisissent les jeunes cadres branchés pour emmener les enfants à l’école ou pour les sorties dominicales, DS se dote des hautes technologies pour pouvoir asseoir son statut de marque premium. Vision nocturne, conduite et stationnement quasi-autonomes, suspension pilotée par une caméra, un procédé d'assemblage très sophistiqué et un intérieur haute couture, sont les principaux atouts de ce véhicule qui est annoncé à partir de 53 500 € (en précommande). Pas à la portée de tous les budgets, mais pas plus cher que les BMW, Mercedes et autres Audi.
Compte tenu de sa jeunesse, « Emmanuel Macron doit incarner la modernité et suivre les tendances du moment. Dès lors, pourquoi ne pas opter pour un SUV ? Un véhicule qui séduit déjà un tiers des Français et dont les ventes ne cessent d’augmenter à l’échelle de la planète », commentaient le jour de l’investiture nos confrères du journal automobile l’Argus.
S’il avait utilisé pendant sa campagne et lorsqu’il a rejoint l’Elysée ce dimanche, un Renault Espace, le nouveau président a préféré se tourner vers un véhicule plus tendance, non seulement pour son style, mais aussi pour tout ce qu’il embarque. Mais si le prédécesseur d’Emmanuel Macron avait pu bénéficier de la DS5 en version hybride, le « DS 7 Crossback présidentiel » a été livré avec un moteur thermique, ce qui va faire tousser les écologistes. Mais sa déclinaison hybride n’est pas encore prête, sa commercialisation étant prévue pour le printemps 2019.
Pour les spécialistes automobiles de l’Argus, « ce véhicule qui sera commercialisé début 2018 est le nec plus ultra du Made in France qui s’attaque sans complexe aux marques premiums allemande. Il est le symbole de la France qui gagne ! »
Si le SUV est désormais le véhicule que choisissent les jeunes cadres branchés pour emmener les enfants à l’école ou pour les sorties dominicales, DS se dote des hautes technologies pour pouvoir asseoir son statut de marque premium. Vision nocturne, conduite et stationnement quasi-autonomes, suspension pilotée par une caméra, un procédé d'assemblage très sophistiqué et un intérieur haute couture, sont les principaux atouts de ce véhicule qui est annoncé à partir de 53 500 € (en précommande). Pas à la portée de tous les budgets, mais pas plus cher que les BMW, Mercedes et autres Audi.
Conducteur automobile ou pilote de ligne ?
Très pratique pour circuler sur les pavés parisiens, le DS7 est équipée d’un système qui gomme les bosses. La véhicule est équipé d’une caméra située en haut du pare-brise qui détecte les défauts de la route, relayée par quatre capteurs d’assiette et trois accéléromètres. La vitesse du véhicule, l’angle de braquage du volant et la pression exercée sur les freins sont également compilés à l’aide d’un calculateur qui, en fonction de ces paramètres, adapte indépendamment chacune des suspensions.
Le DS7 Crossback quoique doté du système DS connected pilote lequel compile un régulateur de vitesse actif, un analyseur de distance par rapport au véhicule et la gestion de la direction, n’est pas complétement autonome. Toutefois la vitesse et la trajectoire du véhicule sont pilotés automatiquement jusqu’à 180 km/h. Ce qui est bien au-delà de la vitesse autorisée sur les routes françaises.
Une voiture qui voit mieux que nos propres yeux. Le système DS Night Vision dont est équipé le DS7 repose sur une caméra infrarouge située dans la calandre, au-dessus du logo DS. Ce système détecte les piétons et les gros animaux sur une distance de 100 mètres devant le véhicule, qu’ils soient situés sur la chaussée ou ses abords, et renvoie des informations de couleur sur le tableau de bord en fonction de la situation de l’objet et son importance.
En plus de ce système de vision nocturne, le DS 7 Crossback est doté de phares Full Led, d’une portée de 200 à 500 mètres et d’une largeur évolutive pour éclairer les intersections, est pilotés par plusieurs modules qui permettent de choisir six modes d’éclairage en fonction de la zone de circulation : parking, ville, campagne, autoroute, averse et pleine puissance.
Utile pour les longues distances, le DS7 est également équipé d’une caméra infrarouge positionnée au-dessus du volant et une seconde caméra placée en haut du pare-brise, lesquelles détectent la baisse de vigilance du conducteur. Clignement des paupières, orientation du regard, mouvement de la tête et maintien ou non des trajectoires, sont analysés en permanence et déclenchent un système sonore pour avertir le conducteur.
Enfin ce SUV haut de gamme est équipé d’un système de stationnement en bataille ou en créneau, complètement automatisé. Plus besoin de toucher les pédales ou le volant. Il suffit d’être présent sur le siège conducteur et d’enfoncer la touche Park. Toutefois, ses concurrentes allemandes, les BMW série 7 et Mercedes Classe E peuvent stationner sans personne à bord…
En plus de son système d’assemblage « soudo-collé » qui rend le véhicule plus résistant aux chocs, tout en améliorant le comportement routier et l’acoustique, le véhicule présidentiel est équipé d’un blindage pour lui permettre de résister aux éventuels attaques armées. Reste qu’avec tous les équipements électroniques dont dispose ce véhicule et ceux qui suivront désormais, on peut se demander s’il ne va pas être nécessaire de posséder un brevet de pilote d’avion en lieu et place du banal permis de conduire … Le modèle présidentiel est de couleur bleu encre. Il dispose d'un toit découvrable réalisé sur mesure (pour saluer le public) et des éléments identitaires de la fonction (porte drapeaux et signatures République Française).
Le DS7 Crossback quoique doté du système DS connected pilote lequel compile un régulateur de vitesse actif, un analyseur de distance par rapport au véhicule et la gestion de la direction, n’est pas complétement autonome. Toutefois la vitesse et la trajectoire du véhicule sont pilotés automatiquement jusqu’à 180 km/h. Ce qui est bien au-delà de la vitesse autorisée sur les routes françaises.
Une voiture qui voit mieux que nos propres yeux. Le système DS Night Vision dont est équipé le DS7 repose sur une caméra infrarouge située dans la calandre, au-dessus du logo DS. Ce système détecte les piétons et les gros animaux sur une distance de 100 mètres devant le véhicule, qu’ils soient situés sur la chaussée ou ses abords, et renvoie des informations de couleur sur le tableau de bord en fonction de la situation de l’objet et son importance.
En plus de ce système de vision nocturne, le DS 7 Crossback est doté de phares Full Led, d’une portée de 200 à 500 mètres et d’une largeur évolutive pour éclairer les intersections, est pilotés par plusieurs modules qui permettent de choisir six modes d’éclairage en fonction de la zone de circulation : parking, ville, campagne, autoroute, averse et pleine puissance.
Utile pour les longues distances, le DS7 est également équipé d’une caméra infrarouge positionnée au-dessus du volant et une seconde caméra placée en haut du pare-brise, lesquelles détectent la baisse de vigilance du conducteur. Clignement des paupières, orientation du regard, mouvement de la tête et maintien ou non des trajectoires, sont analysés en permanence et déclenchent un système sonore pour avertir le conducteur.
Enfin ce SUV haut de gamme est équipé d’un système de stationnement en bataille ou en créneau, complètement automatisé. Plus besoin de toucher les pédales ou le volant. Il suffit d’être présent sur le siège conducteur et d’enfoncer la touche Park. Toutefois, ses concurrentes allemandes, les BMW série 7 et Mercedes Classe E peuvent stationner sans personne à bord…
En plus de son système d’assemblage « soudo-collé » qui rend le véhicule plus résistant aux chocs, tout en améliorant le comportement routier et l’acoustique, le véhicule présidentiel est équipé d’un blindage pour lui permettre de résister aux éventuels attaques armées. Reste qu’avec tous les équipements électroniques dont dispose ce véhicule et ceux qui suivront désormais, on peut se demander s’il ne va pas être nécessaire de posséder un brevet de pilote d’avion en lieu et place du banal permis de conduire … Le modèle présidentiel est de couleur bleu encre. Il dispose d'un toit découvrable réalisé sur mesure (pour saluer le public) et des éléments identitaires de la fonction (porte drapeaux et signatures République Française).