Dans une société de plus en plus numérique, l’agriculture va-t-elle connaître une nouvelle révolution, celle de l’Intelligence Artificielle ? C’est la question que se pose l’Ecole Supérieure d’Agriculture d’Angers, organisatrice pour la troisième année d’Esaconnect, une journée de réflexion sur l’agriculture connectée et l’impact de la transition numérique qui s’opère, en lien avec sa mission de formation des acteurs des agricultures et des industries agroalimentaires du futur.
« Les troisièmes rendez-vous de l’agriculture connectée restent centrés sur les enjeux et les effets de la révolution numérique sur le travail dans le secteur agricole », souligne René SIRET, Directeur Général de l’ESA. « Cette année, un focus sera porté sur le phénomène émergent de « l’Intelligence Artificielle », un mythe, une réalité ou des potentialités pour l’agriculture ? »
Pour l’école qui forme les futurs ingénieurs des filières agricoles et agroalimentaires, les ruptures technologiques s'accompagnent de mutations profondes des façons de travailler. Après la mécanisation qui a bouleversé tant les pratiques professionnelles que la productivité, force est de constaté que la petite ferme familiale nichée au fond de la campagne a cédé la place à de véritables entreprises agricoles qui nécessitent une gestion technico-économique de pointe.
Désormais, dans les étables, les prairies et les champs, la numérisation constitue une nouvelle révolution technologique qui transforme en profondeur le travail du secteur agricole avec une modification importante des parts hommes et machines.
Pour l’ESA qui se considère comme un acteur engagé dans ce domaine, ce ne sont plus les opérations techniques qui sont déléguées aux machines, mais la production et la gestion d'informations. Des robots, des capteurs, des drones, … des outils technologiques qui aident à la décision ont pris place dans des exploitations agricoles.
« Elles interrogent des activités jusque-là dévolues aux agriculteurs, techniciens ou autres professionnels du secteur », observent les organisateurs de l’Esaconnect. « L’observation et la surveillance, les diagnostics, les prises de décision sont-elles encore des activités qui nécessitent l'intervention humaine ? ».
Alors dans ce contexte, les derniers développements de l'intelligence artificielle permettent d’aller plus loin et même de supposer un réelle réorganisation du travail. Ce sera le thème principale des troisièmes rendez-vous de l’agriculture connectée, les tables rondes, débats et autres interventions interrogeront les enjeux et les effets de la révolution numérique sur le travail dans le secteur agricole « En quoi ces nouvelles technologies permettent de relever les défis économiques, sociaux et environnementaux auxquels est confrontée aujourd'hui l'agriculture ? » lancent les organisateurs. « Comment transforment-elles les identités et les pratiques professionnelles de l'agriculteur au conseiller et quelles sont les perspectives ouvertes par l'intelligence artificielle ? »
Pareils aux années précédentes, des startups qui s’investissent dans le monde agricole seront invités afin de faire connaître aux visiteurs, toujours très nombreux, leurs innovations.
Pour en savoir plus, connaître le programme détaillé et s’inscrire : www.chaire-mutations-agricoles.com
« Les troisièmes rendez-vous de l’agriculture connectée restent centrés sur les enjeux et les effets de la révolution numérique sur le travail dans le secteur agricole », souligne René SIRET, Directeur Général de l’ESA. « Cette année, un focus sera porté sur le phénomène émergent de « l’Intelligence Artificielle », un mythe, une réalité ou des potentialités pour l’agriculture ? »
Pour l’école qui forme les futurs ingénieurs des filières agricoles et agroalimentaires, les ruptures technologiques s'accompagnent de mutations profondes des façons de travailler. Après la mécanisation qui a bouleversé tant les pratiques professionnelles que la productivité, force est de constaté que la petite ferme familiale nichée au fond de la campagne a cédé la place à de véritables entreprises agricoles qui nécessitent une gestion technico-économique de pointe.
Désormais, dans les étables, les prairies et les champs, la numérisation constitue une nouvelle révolution technologique qui transforme en profondeur le travail du secteur agricole avec une modification importante des parts hommes et machines.
« En quoi ces nouvelles technologies permettent de relever les défis économiques, sociaux et environnementaux auxquels est confrontée aujourd'hui l'agriculture ? »
Pour l’ESA qui se considère comme un acteur engagé dans ce domaine, ce ne sont plus les opérations techniques qui sont déléguées aux machines, mais la production et la gestion d'informations. Des robots, des capteurs, des drones, … des outils technologiques qui aident à la décision ont pris place dans des exploitations agricoles.
« Elles interrogent des activités jusque-là dévolues aux agriculteurs, techniciens ou autres professionnels du secteur », observent les organisateurs de l’Esaconnect. « L’observation et la surveillance, les diagnostics, les prises de décision sont-elles encore des activités qui nécessitent l'intervention humaine ? ».
Alors dans ce contexte, les derniers développements de l'intelligence artificielle permettent d’aller plus loin et même de supposer un réelle réorganisation du travail. Ce sera le thème principale des troisièmes rendez-vous de l’agriculture connectée, les tables rondes, débats et autres interventions interrogeront les enjeux et les effets de la révolution numérique sur le travail dans le secteur agricole « En quoi ces nouvelles technologies permettent de relever les défis économiques, sociaux et environnementaux auxquels est confrontée aujourd'hui l'agriculture ? » lancent les organisateurs. « Comment transforment-elles les identités et les pratiques professionnelles de l'agriculteur au conseiller et quelles sont les perspectives ouvertes par l'intelligence artificielle ? »
Pareils aux années précédentes, des startups qui s’investissent dans le monde agricole seront invités afin de faire connaître aux visiteurs, toujours très nombreux, leurs innovations.
Pour en savoir plus, connaître le programme détaillé et s’inscrire : www.chaire-mutations-agricoles.com