A l’instar des villes et villages fleuries qui apposent des petites fleurs, plus ou moins nombreuses, sur les panneaux d’agglomération, attestant de la qualité du fleurissement de la ville, celles qui s’investissent dans une politique numérique à l’attention des citoyens, sont depuis 17 ans labellisés « ville internet ». En fonction des actions menées un jury d’experts attribue de une à cinq arobases, le symbole d’internet. Un panneau comportant ces symboles est apposé aux entrées de ville, signalant aux habitants comme aux touristes le niveau d’investissement de la ville en matière d’équipement, d’accès au réseau internet et d’activités numériques. Ce label est unique en France et en Europe.
L’an dernier, pour sa première inscription au label « Villes Internet », Angers avait obtenu 4 arobases. Ce qui était acceptable pour une première année. Au vu des nouveautés déployées en un an, elle vient de recevoir une cinquième arobase. Une distinction dont s’honore la ville et en particulier Constance Nebbula, conseillère municipale de la Ville d’Angers en charge du numérique.
« Ce label est une très belle récompense de la dynamique engagée depuis près de 3 ans. C'est une reconnaissance pour Angers, qui s'appuie sur le numérique pour moderniser son action », déclarait-elle hier, en apprenant la nouvelle. « La ville de demain, qu'il me tient à cœur de développer, c'est aussi ça : proposer des services innovants, adaptés aux usages des habitants ». Le label a été remis le 1er février lors d’une cérémonie organisée à Lille.
Le déploiement de l'application « Angers l'agenda », la mise en ligne d'une nouvelle plate-forme d'accès aux données publiques Open Data, le développement de la médiation culturelle numérique et plus particulière l’application « patrimoine caché » pour les journées du patrimoine et la BD numérique sur les œuvres spoliées pendant la Seconde Guerre mondiale, la création de la plateforme Angers Smart City Platfom PAVIC pour l'expérimentation des applications Smart City, ont contribué à l’obtention de cette distinction.
Tous les usages du numérique pour la vie municipale et la gestion locale sont pris en compte : des actions pour le numérique à l'école aux projets numériques de coopération décentralisée, de la simplification administrative à l'animation de la relation avec les citoyens, de l'accessibilité des services pour tous à l'accompagnement à l'accès aux droits, de la culture au tourisme, de la gestion des flux urbains au territoire intelligent. « Toute commune participante reçoit au moins une arobase », peut-on lire sur le site web de l’association des villes internet http://dev.villes-internet.net/
En France 38 720 communes et EPCI ont obtenu le label depuis sa création. En Maine-et-Loire et notamment dans la métropole Angevine, deux villes ont désormais 5 arobases, Angers cette année, et Trélazé, depuis l’an dernier. Les Ponts-de-Cé ont obtenu 3 arobases en 2014
L’an dernier, pour sa première inscription au label « Villes Internet », Angers avait obtenu 4 arobases. Ce qui était acceptable pour une première année. Au vu des nouveautés déployées en un an, elle vient de recevoir une cinquième arobase. Une distinction dont s’honore la ville et en particulier Constance Nebbula, conseillère municipale de la Ville d’Angers en charge du numérique.
« Ce label est une très belle récompense de la dynamique engagée depuis près de 3 ans. C'est une reconnaissance pour Angers, qui s'appuie sur le numérique pour moderniser son action », déclarait-elle hier, en apprenant la nouvelle. « La ville de demain, qu'il me tient à cœur de développer, c'est aussi ça : proposer des services innovants, adaptés aux usages des habitants ». Le label a été remis le 1er février lors d’une cérémonie organisée à Lille.
Le déploiement de l'application « Angers l'agenda », la mise en ligne d'une nouvelle plate-forme d'accès aux données publiques Open Data, le développement de la médiation culturelle numérique et plus particulière l’application « patrimoine caché » pour les journées du patrimoine et la BD numérique sur les œuvres spoliées pendant la Seconde Guerre mondiale, la création de la plateforme Angers Smart City Platfom PAVIC pour l'expérimentation des applications Smart City, ont contribué à l’obtention de cette distinction.
Tous les usages du numérique pour la vie municipale et la gestion locale sont pris en compte : des actions pour le numérique à l'école aux projets numériques de coopération décentralisée, de la simplification administrative à l'animation de la relation avec les citoyens, de l'accessibilité des services pour tous à l'accompagnement à l'accès aux droits, de la culture au tourisme, de la gestion des flux urbains au territoire intelligent. « Toute commune participante reçoit au moins une arobase », peut-on lire sur le site web de l’association des villes internet http://dev.villes-internet.net/
En France 38 720 communes et EPCI ont obtenu le label depuis sa création. En Maine-et-Loire et notamment dans la métropole Angevine, deux villes ont désormais 5 arobases, Angers cette année, et Trélazé, depuis l’an dernier. Les Ponts-de-Cé ont obtenu 3 arobases en 2014