Leader mondial des pontons nautiques en aluminium, la société Poralu Marine, basée à Port (ça ne s’invente pas…), dans l’Ain, s’est lancée depuis l’an dernier, dans la diversification de ses produits, avec notamment une gamme de « Serial Cleaners » (collecteurs de déchets). Parmi ces derniers, le robot télécommandé BeBot, développé par la société italienne Niteko Robotics. Cet engin est représenté aux USA et sur la planète, par l’entreprise de dépollution des océans 4ocean.
Électrique et silencieux, grâce à un panneau solaire, l’engin peut se frayer un chemin au milieu des serviettes de plages pour nettoyer le sable sur une profondeur de 5 à 10 cm, par plus, « pour empêcher les phénomènes d'érosion et préserver la faune, comme les œufs de tortue », précise Jean DEVICTOR, directeur du développement chez Poralu Marine
Le robot, électrique et silencieux, est capable de se frayer un passage entre les serviettes de plage, les tables et autres chaises, afin de nettoyer comme il se doit le terrain. Selon ses concepteurs, ce robot piloté par un humain pour l’instant, est capable de ratisser au peigne fin jusqu’à 3000 m² de plage par heure, selon le terrain. L’engin tamise mécaniquement le sable et récolte dans sa benne située à l’arrière, les déchets deux fois plus petits qu’une pièce d’un centime d’Euros. Le robot cible particulièrement les mégots de cigarettes, les emballages alimentaires, les capsules de bouteilles et autres débris qui sont souvent enfouis dans le sable par des vacanciers peu respectueux de leur environnement. Ces déchets peuvent également être apportés par la mer et échouer sur les plages avant d’être enfouis dans le sable.
Électrique et silencieux, grâce à un panneau solaire, l’engin peut se frayer un chemin au milieu des serviettes de plages pour nettoyer le sable sur une profondeur de 5 à 10 cm, par plus, « pour empêcher les phénomènes d'érosion et préserver la faune, comme les œufs de tortue », précise Jean DEVICTOR, directeur du développement chez Poralu Marine
Le robot, électrique et silencieux, est capable de se frayer un passage entre les serviettes de plage, les tables et autres chaises, afin de nettoyer comme il se doit le terrain. Selon ses concepteurs, ce robot piloté par un humain pour l’instant, est capable de ratisser au peigne fin jusqu’à 3000 m² de plage par heure, selon le terrain. L’engin tamise mécaniquement le sable et récolte dans sa benne située à l’arrière, les déchets deux fois plus petits qu’une pièce d’un centime d’Euros. Le robot cible particulièrement les mégots de cigarettes, les emballages alimentaires, les capsules de bouteilles et autres débris qui sont souvent enfouis dans le sable par des vacanciers peu respectueux de leur environnement. Ces déchets peuvent également être apportés par la mer et échouer sur les plages avant d’être enfouis dans le sable.
Robotisé et propre, BeBot n’est pas encore autonome
Chaque année, entre 8 et 12 tonnes de plastiques et objets divers finissent dans les océans et leurs plages. Un vrai fléau qui nécessite des solutions et les initiatives les plus innovantes. C’est exactement le fruit de la collaboration entre Poralu Marine et l’entreprise américain 4ocean, laquelle lutte contre la pollution des océans partout dans le monde.
La société Aindoise a déjà commercialisé une vingtaine des robots nettoyeur, notamment sur les plages de luxe, au Moyen-Orient et sur la riviera italienne. A 40.000 euros l'exemplaire ce n’est pas à la portée de toutes les petites collectivités qui gère les plages de la Mer du Nord, de la Manche, de l’Atlantique ou encore de la Méditerranée. Mais vu le service rendu, nul doute qu’elles y passeront un jour.
100% propre, le robot est alimenté à la fois par énergie solaire et batterie. Mais il n’est pas encore autonome, il doit être contrôlé à distance par un opérateur humain, jusqu’à une distance de 300 mètres maximum. Outre le nettoyage, l’engin peut également être utilisé pour ramasser les algues, soulever et transporter des charges, par exemple des chaises de plage.
Testé en Floride depuis l’an dernier, le robot pourrait être envoyé à Hawaï en renfort des systèmes de nettoyage locaux.
La société Aindoise a déjà commercialisé une vingtaine des robots nettoyeur, notamment sur les plages de luxe, au Moyen-Orient et sur la riviera italienne. A 40.000 euros l'exemplaire ce n’est pas à la portée de toutes les petites collectivités qui gère les plages de la Mer du Nord, de la Manche, de l’Atlantique ou encore de la Méditerranée. Mais vu le service rendu, nul doute qu’elles y passeront un jour.
100% propre, le robot est alimenté à la fois par énergie solaire et batterie. Mais il n’est pas encore autonome, il doit être contrôlé à distance par un opérateur humain, jusqu’à une distance de 300 mètres maximum. Outre le nettoyage, l’engin peut également être utilisé pour ramasser les algues, soulever et transporter des charges, par exemple des chaises de plage.
Testé en Floride depuis l’an dernier, le robot pourrait être envoyé à Hawaï en renfort des systèmes de nettoyage locaux.