Introduire des véhicules à faible impact environnemental dans la Grande Boucle, l’histoire n’est pas nouvelle, pour Amaury Sports Organisation, l’organisateur du Tour et ses partenaires automobiles. Cela faisait plusieurs années que les équipes organisatrices planchent sur le sujet.
Conscientes du problème environnemental que génère la Grande Boucle, les équipes d’ASO ont déployé, depuis plusieurs années, un plan d’action portant sur plusieurs points : gestion des déchets, restauration, collecte des bidons, retrait des plastiques, protection de la biodiversité… mais aussi la mobilité. ASO fait d’ailleurs partie des signataires de la charte des 15 engagements écoresponsables des organisateurs d’événements à l’horizon 2024-2025. Soutenus par le Ministère en charge des sports, cette initiative tend à bouleverser la conception des grands sportifs en France.
En matière de mobilité, l’édition 2020 a fait l’objet de plusieurs tests pour l’organisation, ses partenaires et sponsors, avec notamment des véhicules de test roulant au GPL ou au GNV, mais aussi des hybrides rechargeables ou tout électriques.
Si les cyclistes engagés dans la compétition ont un faible impact environnemental, il n’en est pas de même pour les véhicules d’assistance qui les accompagnent. Pendant des années, les voitures et camions de l’imposante caravanes roulaient à l’essence et au gasoil. Depuis l’an dernier la plupart des véhicules et notamment ceux fournis par le constructeur automobile tchèque Škoda, roulent à l’électrique.
Partenaire majeur de la Grande Boucle depuis 2004 et jusqu’en 2023 au moins, Škoda intègre l’événement en tant que fournisseur des voitures officielles de toute l’organisation d’A.S.O., dont la voiture rouge du directeur de course Christian Prudhomme. Depuis 2020 ce dernier roule, sur certaines étapes, avec un Enyaq iV rouge, le véhicule électrique phare de la marque tchèque. Comme l’an dernier ce sont au total, ce sont plus de 250 véhicules Škoda (Octavia, Superb, Kodiaq, Karoq, Kamiq et Enyaq) qui vont parcourir le Tour de France entre le Danemark et Paris.
Conscientes du problème environnemental que génère la Grande Boucle, les équipes d’ASO ont déployé, depuis plusieurs années, un plan d’action portant sur plusieurs points : gestion des déchets, restauration, collecte des bidons, retrait des plastiques, protection de la biodiversité… mais aussi la mobilité. ASO fait d’ailleurs partie des signataires de la charte des 15 engagements écoresponsables des organisateurs d’événements à l’horizon 2024-2025. Soutenus par le Ministère en charge des sports, cette initiative tend à bouleverser la conception des grands sportifs en France.
En matière de mobilité, l’édition 2020 a fait l’objet de plusieurs tests pour l’organisation, ses partenaires et sponsors, avec notamment des véhicules de test roulant au GPL ou au GNV, mais aussi des hybrides rechargeables ou tout électriques.
Si les cyclistes engagés dans la compétition ont un faible impact environnemental, il n’en est pas de même pour les véhicules d’assistance qui les accompagnent. Pendant des années, les voitures et camions de l’imposante caravanes roulaient à l’essence et au gasoil. Depuis l’an dernier la plupart des véhicules et notamment ceux fournis par le constructeur automobile tchèque Škoda, roulent à l’électrique.
Partenaire majeur de la Grande Boucle depuis 2004 et jusqu’en 2023 au moins, Škoda intègre l’événement en tant que fournisseur des voitures officielles de toute l’organisation d’A.S.O., dont la voiture rouge du directeur de course Christian Prudhomme. Depuis 2020 ce dernier roule, sur certaines étapes, avec un Enyaq iV rouge, le véhicule électrique phare de la marque tchèque. Comme l’an dernier ce sont au total, ce sont plus de 250 véhicules Škoda (Octavia, Superb, Kodiaq, Karoq, Kamiq et Enyaq) qui vont parcourir le Tour de France entre le Danemark et Paris.
Enedis et Drop’n Plug, deux partenaires du Tour pour la fourniture d’électricité
« Soucieuse de son environnement, Škoda intensifie ses efforts en matière de développement durable et renforce ses objectifs environnementaux », souligne la marque. Cette dernière a annoncé la réduction de plus de 50% des émissions de sa flotte d'ici 2030 par rapport à 2020. Une démarche qui s’inscrit dans celle de l’organisateur de la Grande Boucle. « Cette année, 100% des voitures utilisées par l’organisation au sein de la course seront des modèles 100% électrifiés : hybrides rechargeables ou électriques », détaille la marque tchèque.
Coté logistique, 50% des véhicules roulent aux biocarburants, à l’exemple des camions de « XPO Logisitics » qui transporte tout le matériel de l’organisation et qui roulent désormais gaz naturel plutôt qu’au gazole. A terme, la flotte de l’organisation roulera sans polluer et avec l’objectif de le faire dès 2024.
Cette année encore, le gestionnaire du réseau de distribution d'électricité Enedis (filiale d’EDF), est présent au sein de la caravane avec des véhicules 100% électriques, ça va de soi, mais aussi pour fournir l’énergie dont ont besoin les véhicules de la caravane. Ces derniers ne s’alimentent plus dans les stations-services environnantes, mais rechargent leurs véhicules sur place grâce à une unité mobile connectée chaque jour au réseau public de distribution.
Pour Enedis il s’agit de faciliter la mobilité durable des équipes et des autres sponsors. Si les différents sites des directions régionales ouvrent leurs portes aux véhicules électriques du Tour, un partenariat a été noué de nouveau avec la start-up « Drop’n Plug » laquelle permet de recharger les véhicules, depuis une unité mobile équipée de points de recharge.
« Cette unité mobile permet aux utilisateurs de ne pas se préoccuper d’aller à la recherche, notamment sur le Tour de France, de points de charge », précise Claude LE BRIZE, concepteur de la remorque Drop’n plug. « En fait c’est nous qui allons qui allons à la rencontre des utilisateurs de véhicules électriques en leur apportant dix charges mobiles simultanées grâce à cette station ». Astucieusement conçue grâce à un partenariat avec Hager une entreprise allemande spécialisée dans les installations électriques, cette station de recharge mobile permet de s’affranchir d’un groupe électrogène, lequel serait alors contreproductif.
Coté logistique, 50% des véhicules roulent aux biocarburants, à l’exemple des camions de « XPO Logisitics » qui transporte tout le matériel de l’organisation et qui roulent désormais gaz naturel plutôt qu’au gazole. A terme, la flotte de l’organisation roulera sans polluer et avec l’objectif de le faire dès 2024.
Cette année encore, le gestionnaire du réseau de distribution d'électricité Enedis (filiale d’EDF), est présent au sein de la caravane avec des véhicules 100% électriques, ça va de soi, mais aussi pour fournir l’énergie dont ont besoin les véhicules de la caravane. Ces derniers ne s’alimentent plus dans les stations-services environnantes, mais rechargent leurs véhicules sur place grâce à une unité mobile connectée chaque jour au réseau public de distribution.
Pour Enedis il s’agit de faciliter la mobilité durable des équipes et des autres sponsors. Si les différents sites des directions régionales ouvrent leurs portes aux véhicules électriques du Tour, un partenariat a été noué de nouveau avec la start-up « Drop’n Plug » laquelle permet de recharger les véhicules, depuis une unité mobile équipée de points de recharge.
« Cette unité mobile permet aux utilisateurs de ne pas se préoccuper d’aller à la recherche, notamment sur le Tour de France, de points de charge », précise Claude LE BRIZE, concepteur de la remorque Drop’n plug. « En fait c’est nous qui allons qui allons à la rencontre des utilisateurs de véhicules électriques en leur apportant dix charges mobiles simultanées grâce à cette station ». Astucieusement conçue grâce à un partenariat avec Hager une entreprise allemande spécialisée dans les installations électriques, cette station de recharge mobile permet de s’affranchir d’un groupe électrogène, lequel serait alors contreproductif.