La présentation de Pavic lors du cas pratique intitulé : réussir l'interopérabilité et améliorer le pilotage de la collectivité
Régulièrement, la Gazette des Communes qui s’intéresse tout naturellement au sujet de la Smart City par la publication de dossiers et sujets très documentés, organise des événements à l’attention de ses lecteurs, mais aussi de toutes les structures publiques ou privées qui s’intéressent au développement des collectivités territoriales. L’événement de ce mois de juin, organisé au Centre d’affaires Espace Batignolles, Paris 17e, avait pour sujet « Comment devenir une collectivité « smart » au service de ses usagers ». Vaste programme.
Les gestionnaires de services techniques de collectivités et les opérateurs de services publics, qui se sont lancés dans une démarche d’aménagement intelligent de la ville ou qui envisagent de le faire, avaient tout naturellement répondu présent à l’invitation de la Gazette. D’autant qu’il y avait des sujets intéressants, les intervenants, triés sur le volet avaient des messages importants à faire passer, ne seraient-ce que des retours d’expérience.
Pendant une journée on a débattu sur les objectifs à atteindre en matière de smart cities et sur la mise en œuvre de villes collaboratives et inclusives qui répondent aux besoins réels de leurs habitants. Après une table ronde sur les démarches collaboratives et notamment les diverses expérimentations locales qui impliquent autant les élus locaux, leurs agents que les citoyens, les intervenants ont évoqué le processus d’innovation à mettre en œuvre pour stimuler l’émergence d’une véritable ville intelligente et astucieuse. Un représentant venu des pays nordiques, et plus précisément d’Helsinki (Finlande) a apporté son témoignage, suscitant l’intérêt pour les représentants des collectivités Françaises.
L’après-midi était réservé aux cas pratiques en matière d’objets connectés et interopérabilité, les coûts des solutions et les économies réalisées, la mobilité, les données (data) et leur gouvernance.
C’est dans ce cadre qu’intervenait le directeur opérationnel de Pavic Angers, Reynald Werquin, invité par l’équipe de la Gazette à présenter l’expérience de la ville d’Angers dans les Pays de la Loire, devenue ville laboratoire pour les entreprises de la Smart City.
« C’est toujours intéressant de venir parler de ce que nous faisons à Angers, dans ce genre d’événement qui s’adresse par principe aux collectivités locales », expliquait Reynald Werquin, avant de prendre la parole pour expliquer comment Angers aborde le concept de la Smart City. « Avec Pavic nous apparaissons comme une référence nationale et notre expérience intéresse tous les représentants des villes et les entreprises présentes aujourd’hui. Ça permet de tisser des liens avec d’autres villes qui se lancent dans cette démarche ».
Après avoir déroulé l'objet et le fonctionnement de l’association Pavic et la manière dont la Ville d’Angers s’est hissée dans le peloton des villes qui s’investissent dans le concept de Smart City et des objets connectés, Reynald Werquin a été interrogé sur ce qu’Angers mettait en place pour accueillir les entreprises.
« Nous travaillons d’abord dans la séduction en créant des événements centrés sur la chaîne de valeurs de l’IoT auxquels les entreprises participent », répondait le Directeur opérationnel de Pavic. « On ne le leur trouve pas de l’argent, mais on facilite les essais et les démarches administratives grâce à un accord avec la Ville d’Angers et sa métropole. Ensuite on les mets en contact avec des partenaires locaux, des startups, des entreprises, les écoles d’ingénieurs. Nous créons un terrain favorable qui leur permet de démontrer la faisabilité de leur projet ».
Ambassadeur de la ville intelligente et connectée, le représentant de l’association Pavic a déjà séduit l’auditoire de l’espace Batignolles à Paris, où se déroulait le Forum des villes et territoires intelligents de la Gazette des communes. Son intervention en compagnie Jean-Luc Sallabery, Chef du service numérique de la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR), a été visiblement appréciée des représentants des collectivités et professionnels présents.
Les gestionnaires de services techniques de collectivités et les opérateurs de services publics, qui se sont lancés dans une démarche d’aménagement intelligent de la ville ou qui envisagent de le faire, avaient tout naturellement répondu présent à l’invitation de la Gazette. D’autant qu’il y avait des sujets intéressants, les intervenants, triés sur le volet avaient des messages importants à faire passer, ne seraient-ce que des retours d’expérience.
Pendant une journée on a débattu sur les objectifs à atteindre en matière de smart cities et sur la mise en œuvre de villes collaboratives et inclusives qui répondent aux besoins réels de leurs habitants. Après une table ronde sur les démarches collaboratives et notamment les diverses expérimentations locales qui impliquent autant les élus locaux, leurs agents que les citoyens, les intervenants ont évoqué le processus d’innovation à mettre en œuvre pour stimuler l’émergence d’une véritable ville intelligente et astucieuse. Un représentant venu des pays nordiques, et plus précisément d’Helsinki (Finlande) a apporté son témoignage, suscitant l’intérêt pour les représentants des collectivités Françaises.
L’après-midi était réservé aux cas pratiques en matière d’objets connectés et interopérabilité, les coûts des solutions et les économies réalisées, la mobilité, les données (data) et leur gouvernance.
« On ne le leur trouve pas de l’argent, mais on facilite les essais et les démarches administratives »
C’est dans ce cadre qu’intervenait le directeur opérationnel de Pavic Angers, Reynald Werquin, invité par l’équipe de la Gazette à présenter l’expérience de la ville d’Angers dans les Pays de la Loire, devenue ville laboratoire pour les entreprises de la Smart City.
« C’est toujours intéressant de venir parler de ce que nous faisons à Angers, dans ce genre d’événement qui s’adresse par principe aux collectivités locales », expliquait Reynald Werquin, avant de prendre la parole pour expliquer comment Angers aborde le concept de la Smart City. « Avec Pavic nous apparaissons comme une référence nationale et notre expérience intéresse tous les représentants des villes et les entreprises présentes aujourd’hui. Ça permet de tisser des liens avec d’autres villes qui se lancent dans cette démarche ».
Après avoir déroulé l'objet et le fonctionnement de l’association Pavic et la manière dont la Ville d’Angers s’est hissée dans le peloton des villes qui s’investissent dans le concept de Smart City et des objets connectés, Reynald Werquin a été interrogé sur ce qu’Angers mettait en place pour accueillir les entreprises.
« Nous travaillons d’abord dans la séduction en créant des événements centrés sur la chaîne de valeurs de l’IoT auxquels les entreprises participent », répondait le Directeur opérationnel de Pavic. « On ne le leur trouve pas de l’argent, mais on facilite les essais et les démarches administratives grâce à un accord avec la Ville d’Angers et sa métropole. Ensuite on les mets en contact avec des partenaires locaux, des startups, des entreprises, les écoles d’ingénieurs. Nous créons un terrain favorable qui leur permet de démontrer la faisabilité de leur projet ».
Ambassadeur de la ville intelligente et connectée, le représentant de l’association Pavic a déjà séduit l’auditoire de l’espace Batignolles à Paris, où se déroulait le Forum des villes et territoires intelligents de la Gazette des communes. Son intervention en compagnie Jean-Luc Sallabery, Chef du service numérique de la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR), a été visiblement appréciée des représentants des collectivités et professionnels présents.
