Rendre une ville plus inventive, créative, ingénieuse, principes même de la ville intelligente n’est pas l’apanage des seuls gestionnaires de la ville. Des citoyens qu’ils soient chefs d’entreprises, responsables d’association, ou sans responsabilité particulière, peuvent et c’est même conseillé, agir aux côtés de ceux qui siègent au Conseil municipal. C’est, de l’avis des experts en la matière, l’une des conditions pour réussir à transformer une ville et faire en sorte que chacun s’y sente bien. C’est d’ailleurs ce que disait l’universitaire Franco-brésilien Carlos Moreno, lors d’une intervention à Nantes en 2018 : « il n’y a pas d’intelligence de la ville, sans l’intelligence des citoyens ».
Aux Sables d’Olonne (85), ville côtière de l’Atlantique de 43 000 habitants et station balnéaire très prisée, une association : Numerimer, qui « fédère l’ensemble des acteurs économiques et communautés autour du numérique », l’a bien compris. Pour que ça fonctionne il faut que chacun donne du sien pour faire en sorte que le numérique ne soit qu’un outil qui facilite la vie de chacun et permette de mieux vivre au quotidien.
Représentative de la vie économique locale, l’association Numerimer, portée par le conseil de développement du territoire olonnais : Les Sables d’Olonne Développement, anime le campus du même nom, lequel accueille entre autres structures, un espace de coworking et une composante d’une école d’Ingénieur, l’ESAIP, dont le siège est situé à Angers (49). Ce campus maritime est situé à l’entrée est de la ville, à côté du centre hospitalier Côte de Lumière.
Représentative de la vie économique locale, l’association qui regroupe des professionnels investis dans le numérique, s’est fixée pour objectif « d’initier, développer et accompagner l’appréhension du numérique par tous les acteurs de vie économique territoriale ». En clair mettre le numérique au service des collectivités et faire en sorte que les nouvelles technologies ne soient pas un frein, mais au contraire une réelle avancée, c’est donc l’un des principes fondateurs de cette association.
« L’idée est de développer la culture numérique au sein des entreprises des Olonnes », explique Alain Blanchard, président de Les Sables-d’Olonne Développement. Mais pas seulement. Parmi les sujets auxquels s’intéresse l’association, figure en bonne place la notion de Smart City. Et ce n’est pas pour rien que « SUP’ESAIP » organisait le 26 juin dernier une conférence intitulée : « Smart City : Comment faciliter les usages et l'interaction entre les citoyens et les collectivités », ou comment les villes ont recours aux nouvelles technologies pour collecter des données qui permettent d’améliorer les usages et services fournis aux administrés. Un concept qui séduit la collectivité qui voit déjà un moyen d’envisager l’avenir pour la ville, le tourisme et son port de pêche et de plaisance, connu pour être le départ et l’arrivée de la célèbre course en solitaire autour du monde : le « Vendée Globe »
Pour Charles-Alexis MOUTYMBO, enseignant chercheur en systèmes d’information et référent de la majeure transition numérique à SUP’ESAIP, dans Actu. fr « l’idée de smart city a avant tout pour vocation d’apporter des solutions aux problématiques des cités d’aujourd’hui. Cela permet d’être prédictif et de transposer les idées en projets pertinents avec notamment l’optimisation des services assurés par la collectivités ». C’est le cas, notamment pour les Sables d’Olonne, du ramassage des ordures ménagères. D’autant plus pertinent que cette ville voit sa population croitre de manière importante chaque année en été.
C’est pour aller dans ce sens et aider la municipalité et les résidents que l’association Numerimer souhaite s’emparer de trois dossiers importants : « la ville de demain, le port du futur et le tourisme de demain ».
« Le Campus Numerimer est un formidable outil voulu par les entreprises et porté par les Sables Agglomération. Son ambition est de développer le numérique à la mer en affichant un vrai choix de qualité de vie au travail comme au quotidien. Son ambition est de réunir sur un site unique des entreprises, des centres de formation et un pôle de Recherche et de Développement autour du Numérique », affiche l’association à l’attention de celles et ceux qui veulent la rejoindre, sur son site web. Souhaitons lui bon vent...
Aux Sables d’Olonne (85), ville côtière de l’Atlantique de 43 000 habitants et station balnéaire très prisée, une association : Numerimer, qui « fédère l’ensemble des acteurs économiques et communautés autour du numérique », l’a bien compris. Pour que ça fonctionne il faut que chacun donne du sien pour faire en sorte que le numérique ne soit qu’un outil qui facilite la vie de chacun et permette de mieux vivre au quotidien.
Représentative de la vie économique locale, l’association Numerimer, portée par le conseil de développement du territoire olonnais : Les Sables d’Olonne Développement, anime le campus du même nom, lequel accueille entre autres structures, un espace de coworking et une composante d’une école d’Ingénieur, l’ESAIP, dont le siège est situé à Angers (49). Ce campus maritime est situé à l’entrée est de la ville, à côté du centre hospitalier Côte de Lumière.
Représentative de la vie économique locale, l’association qui regroupe des professionnels investis dans le numérique, s’est fixée pour objectif « d’initier, développer et accompagner l’appréhension du numérique par tous les acteurs de vie économique territoriale ». En clair mettre le numérique au service des collectivités et faire en sorte que les nouvelles technologies ne soient pas un frein, mais au contraire une réelle avancée, c’est donc l’un des principes fondateurs de cette association.
« La ville de demain, le port du futur et le tourisme de demain ».
« L’idée est de développer la culture numérique au sein des entreprises des Olonnes », explique Alain Blanchard, président de Les Sables-d’Olonne Développement. Mais pas seulement. Parmi les sujets auxquels s’intéresse l’association, figure en bonne place la notion de Smart City. Et ce n’est pas pour rien que « SUP’ESAIP » organisait le 26 juin dernier une conférence intitulée : « Smart City : Comment faciliter les usages et l'interaction entre les citoyens et les collectivités », ou comment les villes ont recours aux nouvelles technologies pour collecter des données qui permettent d’améliorer les usages et services fournis aux administrés. Un concept qui séduit la collectivité qui voit déjà un moyen d’envisager l’avenir pour la ville, le tourisme et son port de pêche et de plaisance, connu pour être le départ et l’arrivée de la célèbre course en solitaire autour du monde : le « Vendée Globe »
Pour Charles-Alexis MOUTYMBO, enseignant chercheur en systèmes d’information et référent de la majeure transition numérique à SUP’ESAIP, dans Actu. fr « l’idée de smart city a avant tout pour vocation d’apporter des solutions aux problématiques des cités d’aujourd’hui. Cela permet d’être prédictif et de transposer les idées en projets pertinents avec notamment l’optimisation des services assurés par la collectivités ». C’est le cas, notamment pour les Sables d’Olonne, du ramassage des ordures ménagères. D’autant plus pertinent que cette ville voit sa population croitre de manière importante chaque année en été.
C’est pour aller dans ce sens et aider la municipalité et les résidents que l’association Numerimer souhaite s’emparer de trois dossiers importants : « la ville de demain, le port du futur et le tourisme de demain ».
« Le Campus Numerimer est un formidable outil voulu par les entreprises et porté par les Sables Agglomération. Son ambition est de développer le numérique à la mer en affichant un vrai choix de qualité de vie au travail comme au quotidien. Son ambition est de réunir sur un site unique des entreprises, des centres de formation et un pôle de Recherche et de Développement autour du Numérique », affiche l’association à l’attention de celles et ceux qui veulent la rejoindre, sur son site web. Souhaitons lui bon vent...