Chez les Rodriguez, sur les monts du Lyonnais, on est bâtisseur de père en fils. Et tout le monde met la main à l’ouvrage. Tout d’abord les hommes, Serge et Julian, maitres d’œuvre et surtout les femmes, Marie et Sophie, « communicantes hors pair et créatives sans limite ».
Cette famille unie par la construction, a pris conscience que « le défi écologique était vital pour la planète » et que le monde de la maison individuelle ne devait pas passer à côté. Durant une dizaine d’année ils analysé sur le terrain, étudié puis développé leur propre processus de construction de maisons écologiques. Des maisons positives, c'est-à-dire capables de produire de l’énergie plutôt que d’en consommer et qui permettent à ceux qui les habitent de vivre pratiquement en autosuffisance. C’est ainsi qu’est né le projet « New Era » (Nouvelle ère), pour « donner un nouveau souffle à l’habitat en proposant des maisons qui respirent ».
Si le principe semble simple, le pari est osé, car il va jusqu’au bout de leurs convictions en matière de protection de l’environnement. Exception faite de quelques incontournables comme les câbles électriques, le béton et la ferraille des fondations, tout le reste est construit avec des matériaux qui s’affranchissent des énergies fossiles. Exit les moellons, briques et autres plaques de plâtres, la maison imaginée par les fils Rodriguez est construite avec des matériaux 100% recyclables.
« Si nous imaginons devoir un jour démolir ces bâtiments, aucune pollution n’en découlerait car les matériaux sont à 99% biodégradables », expliquent Serge et Julian Rodriguez, co-concepteur et maîtres d’œuvre à Belmont-d'Azergues, une petite bourgade du Rhône.
Construite de bois, de paille et de terre, par simple assemblage, la maison éco-conçue Nouvelle Ere ou plutôt « Nouvelle R » n’a rien à voir avec celle des « trois petits cochons » qui ne résistait pas au souffle du vent. D'ailleurs s’il fallait le démontrer, - les maisons écologiques de ce type ayant déjà fait leurs preuves - la famille Rodriguez est passée du stade de l’idée à la réalisation en construisant plusieurs maison de ce type à Saint Didier de Formans, une petite commune de l’Ain voisin. « Les performances que nous avons obtenues sur cette maison vont au-delà des normes en vigueur en France », poursuivent les concepteurs. Et l’Ain n’est pas une région particulièrement chaude en hiver.
Cette famille unie par la construction, a pris conscience que « le défi écologique était vital pour la planète » et que le monde de la maison individuelle ne devait pas passer à côté. Durant une dizaine d’année ils analysé sur le terrain, étudié puis développé leur propre processus de construction de maisons écologiques. Des maisons positives, c'est-à-dire capables de produire de l’énergie plutôt que d’en consommer et qui permettent à ceux qui les habitent de vivre pratiquement en autosuffisance. C’est ainsi qu’est né le projet « New Era » (Nouvelle ère), pour « donner un nouveau souffle à l’habitat en proposant des maisons qui respirent ».
Si le principe semble simple, le pari est osé, car il va jusqu’au bout de leurs convictions en matière de protection de l’environnement. Exception faite de quelques incontournables comme les câbles électriques, le béton et la ferraille des fondations, tout le reste est construit avec des matériaux qui s’affranchissent des énergies fossiles. Exit les moellons, briques et autres plaques de plâtres, la maison imaginée par les fils Rodriguez est construite avec des matériaux 100% recyclables.
« Si nous imaginons devoir un jour démolir ces bâtiments, aucune pollution n’en découlerait car les matériaux sont à 99% biodégradables », expliquent Serge et Julian Rodriguez, co-concepteur et maîtres d’œuvre à Belmont-d'Azergues, une petite bourgade du Rhône.
Construite de bois, de paille et de terre, par simple assemblage, la maison éco-conçue Nouvelle Ere ou plutôt « Nouvelle R » n’a rien à voir avec celle des « trois petits cochons » qui ne résistait pas au souffle du vent. D'ailleurs s’il fallait le démontrer, - les maisons écologiques de ce type ayant déjà fait leurs preuves - la famille Rodriguez est passée du stade de l’idée à la réalisation en construisant plusieurs maison de ce type à Saint Didier de Formans, une petite commune de l’Ain voisin. « Les performances que nous avons obtenues sur cette maison vont au-delà des normes en vigueur en France », poursuivent les concepteurs. Et l’Ain n’est pas une région particulièrement chaude en hiver.
Un projet d'usine de fabrication, écologique, familial et solidaire qui fait appel au financement participatif
La famille Rodriguez réunie autour du projet de construction d'usine écologique
« En plus de ces aspects écologiques et économiques, nos maisons sont un réel atout santé puisqu’elles ne déclenchent, du fait de la nature même des matériaux employés, aucune allergie », ajoutent les maîtres d'oeuvre. Ce qui n’est pas le cas avec les matériaux employés traditionnellement dans la construction.
Une maison, cent, mille maisons positives, voire plus, c’est le projet dans lequel se lancent désormais les Rodriguez avec la construction d’une usine écologique qui pourrait répondre au manque de logements dans le monde, en créant des emplois tout en relevant le défi environnemental. Un modèle d’entreprise novatrice qui pourrait être dupliqué en fonction des besoins.
La construction de cette usine de préfabrication qui s’adresse à un état pour la construction de villes ou de quartiers sera, cela va de soi, écologique. Eco conçue comme les maisons qu’elle produira, elle bénéficiera de tous les moyens qui permettront de recycler les matériaux qu’elle emploie, avec notamment une centrale de gazéification pour l’usine et les véhicules et surtout une finalité : n’importer aucune matière première, mais produire localement.
Mais si l’idée est désormais couchée sur le papier, reste à trouver les fonds. Le prix de cette usine écologique qui pourrait voir le jour au Brésil est estimé à 75 millions d’Euros, ce qui n’est pas une mince affaire. Pour permettre de lancer ce projet écologique et solidaire, ces nouveaux bâtisseurs font appel au financement participatif international via la plateforme de crowdfunding INDIEGOGO . Sachant que 20% de la somme suffisent pour obtenir les aides des banques par la suite. Un projet d’envergure, certes, mais qui est promis à un bel avenir, surtout pour notre planète. A ce jour la souscription n'est pas encore active, mais elle devrait l'être d'ici peu.
Pour en savoir plus : https://new-r.net/
Une maison, cent, mille maisons positives, voire plus, c’est le projet dans lequel se lancent désormais les Rodriguez avec la construction d’une usine écologique qui pourrait répondre au manque de logements dans le monde, en créant des emplois tout en relevant le défi environnemental. Un modèle d’entreprise novatrice qui pourrait être dupliqué en fonction des besoins.
La construction de cette usine de préfabrication qui s’adresse à un état pour la construction de villes ou de quartiers sera, cela va de soi, écologique. Eco conçue comme les maisons qu’elle produira, elle bénéficiera de tous les moyens qui permettront de recycler les matériaux qu’elle emploie, avec notamment une centrale de gazéification pour l’usine et les véhicules et surtout une finalité : n’importer aucune matière première, mais produire localement.
Mais si l’idée est désormais couchée sur le papier, reste à trouver les fonds. Le prix de cette usine écologique qui pourrait voir le jour au Brésil est estimé à 75 millions d’Euros, ce qui n’est pas une mince affaire. Pour permettre de lancer ce projet écologique et solidaire, ces nouveaux bâtisseurs font appel au financement participatif international via la plateforme de crowdfunding INDIEGOGO . Sachant que 20% de la somme suffisent pour obtenir les aides des banques par la suite. Un projet d’envergure, certes, mais qui est promis à un bel avenir, surtout pour notre planète. A ce jour la souscription n'est pas encore active, mais elle devrait l'être d'ici peu.
Pour en savoir plus : https://new-r.net/