Magog, une ville à taille humaine qui attire les jeunes entreprises nord-américaines à la recherche d'un lieu propice à la recherche et la création (photo Wikipedia)
Magog, ce nom ne s'est pas encore hissé au plus haut niveau des « Smart Cities » de la planète, mais ça ne saurait tarder, tellement la motivation de la première magistrate, Vicki May Hamm, est forte. « Magog avait besoin de se repositionner et de diversifier son économie afin de compenser le déclin sur son territoire d'industries traditionnelles comme l'automobile, l'imprimerie et le textile », explique Vicki May Hamm. « Nous avons donc cherché à développer un créneau distinctif qui canaliserait nos efforts de revitalisation aux cours des prochaines années ».
Après réflexion, la municipalité de cette ville de 26 500 habitants située dans les Cantons-de-l’Est du Québec, connue pour ses paysages verdoyants, son vignoble et son accueil, s'est alors fixée pour ambition de « devenir la première ville intelligente de type « living lab » au Québec ». Une ville laboratoire qui pourra sans doute en inspirer d'autres et pas seulement au Canada.
Et sans plus attendre Madame le Maire est passée à l'action avec l'implantation d'un puissant réseau de fibres optiques ouvert et à très large bande passante FTTH (Fiber To The Home) qui permet à tout un chacun, particuliers comme entreprises de bénéficier d'un réseau performant qui passe par un réseau WiFi gratuit dans le centre-ville. Un centre-ville en pleine réhabilitation.
Ce réseau ouvert et public, réalisé en partenariat Public-Privé (PPP) avec Cogeco Cable Canada et Bell, permet d'informatiser une large panoplie de services aux citoyens tout en ouvrant de nouvelles possibilités aux entreprises. C'était aussi le vœu de Michel Lamontagne, Président de Magog Métropole, structure qui se charge désormais des projets structurants du territoire.
Mais les élus québecois ont dès le départ, placé la barre au plus haut, puisqu'ils voulaient faire de leur territoire une centre d'excellence des villes durables en misant principalement sur l'éducation, le développement durable et la santé, avec un objectif avoué : attirer les entreprises et les travailleurs. Le développement de la fibre devrait les aider. En tous cas Madame le Maire en est convaincue.
« Il s'agit de faire de Magog un incubateur qui servira à tester et implanter des solutions d'avenir comme la gestion de la circulation, de la consommation énergétique à distance, des soins de santé à domicile, des services de domotique, ... », poursuit l'édile.
Après réflexion, la municipalité de cette ville de 26 500 habitants située dans les Cantons-de-l’Est du Québec, connue pour ses paysages verdoyants, son vignoble et son accueil, s'est alors fixée pour ambition de « devenir la première ville intelligente de type « living lab » au Québec ». Une ville laboratoire qui pourra sans doute en inspirer d'autres et pas seulement au Canada.
Et sans plus attendre Madame le Maire est passée à l'action avec l'implantation d'un puissant réseau de fibres optiques ouvert et à très large bande passante FTTH (Fiber To The Home) qui permet à tout un chacun, particuliers comme entreprises de bénéficier d'un réseau performant qui passe par un réseau WiFi gratuit dans le centre-ville. Un centre-ville en pleine réhabilitation.
Ce réseau ouvert et public, réalisé en partenariat Public-Privé (PPP) avec Cogeco Cable Canada et Bell, permet d'informatiser une large panoplie de services aux citoyens tout en ouvrant de nouvelles possibilités aux entreprises. C'était aussi le vœu de Michel Lamontagne, Président de Magog Métropole, structure qui se charge désormais des projets structurants du territoire.
Mais les élus québecois ont dès le départ, placé la barre au plus haut, puisqu'ils voulaient faire de leur territoire une centre d'excellence des villes durables en misant principalement sur l'éducation, le développement durable et la santé, avec un objectif avoué : attirer les entreprises et les travailleurs. Le développement de la fibre devrait les aider. En tous cas Madame le Maire en est convaincue.
« Il s'agit de faire de Magog un incubateur qui servira à tester et implanter des solutions d'avenir comme la gestion de la circulation, de la consommation énergétique à distance, des soins de santé à domicile, des services de domotique, ... », poursuit l'édile.
Faire de Magog la ville de toutes les ambitions
«C'est beaucoup plus facile pour nous d’offrir un accompagnement et un laboratoire urbain que ce ne l’est pour une trop grosse ou une trop petite ville », souligne Vicki May Hamm. « Tous les services sont là, mais on préserve l’échelle humaine. Puis, c’est relativement facile de faire un maillage entre les entreprises et nos équipes.»
Point fort de la ville : sa proximité avec l'université de Sherbrooke, un des plus grands campus canadien, qui se classe dans le top 20 mondial en matière de développement durable. Cette dernière fournit dès lors un bassin intéressant de professionnels et d'entrepreneurs en matière de technologies de l'information. Plus gros employeur de la ville, l'hôpital est également mis à contribution dans le domaine de la santé.
A ce jour plus de 45 entreprises et non des moindres ont élu domicile dans les centres d'activité de la ville et une pépinière d'entreprises, ouvert aux jeunes pousses, une quinzaine, lui redonnent la prospérité escompté lors du lancement de l'opération, faisant même de « Magog la ville de toutes les ambitions ».
« Magog est l’endroit idéal pour implanter une entreprise », ajoutent les élus, la maire et le président de la métropole . La région offre une main-d’œuvre qualifiée, un emplacement géographique privilégié au bord du grand lac de Memphrémagog, la mise a disposition de services d'affaires, la proximité de sous traitant, et, cerise sur le gâteau un support technique très dynamique, qui assiste les candidats à l'installation dans toutes les étapes de l’implantation d’un projet industriel « Choisir Magog, c'est un choix stratégique », appuient les élus.
« L'idée était audacieuse », convient Madame le Maire. Développer une nouvelle filière, dans le secteur des technologies de l'information et de la communication, pour propulser Magog à un autre niveau économique avec un modèle unique, basé sur les forces de la région et notamment son environnement naturel et son esprit communautaire, n'était pas chose aisée. Force est de constater que la cité industrielle revient de loin en y gagnant en qualité de vie. A ce jour plus de 200 emplois ont été créés. Certes ont est encore loin des 4 000 perdus, mais les élus locaux, aidés par toutes les forces vives ne ménagent pas leurs efforts pour diversifier l'économie de la ville et lui redonner un avenir.
Pour en savoir plus : https://magogtechnopole.com/
Point fort de la ville : sa proximité avec l'université de Sherbrooke, un des plus grands campus canadien, qui se classe dans le top 20 mondial en matière de développement durable. Cette dernière fournit dès lors un bassin intéressant de professionnels et d'entrepreneurs en matière de technologies de l'information. Plus gros employeur de la ville, l'hôpital est également mis à contribution dans le domaine de la santé.
A ce jour plus de 45 entreprises et non des moindres ont élu domicile dans les centres d'activité de la ville et une pépinière d'entreprises, ouvert aux jeunes pousses, une quinzaine, lui redonnent la prospérité escompté lors du lancement de l'opération, faisant même de « Magog la ville de toutes les ambitions ».
« Magog est l’endroit idéal pour implanter une entreprise », ajoutent les élus, la maire et le président de la métropole . La région offre une main-d’œuvre qualifiée, un emplacement géographique privilégié au bord du grand lac de Memphrémagog, la mise a disposition de services d'affaires, la proximité de sous traitant, et, cerise sur le gâteau un support technique très dynamique, qui assiste les candidats à l'installation dans toutes les étapes de l’implantation d’un projet industriel « Choisir Magog, c'est un choix stratégique », appuient les élus.
« L'idée était audacieuse », convient Madame le Maire. Développer une nouvelle filière, dans le secteur des technologies de l'information et de la communication, pour propulser Magog à un autre niveau économique avec un modèle unique, basé sur les forces de la région et notamment son environnement naturel et son esprit communautaire, n'était pas chose aisée. Force est de constater que la cité industrielle revient de loin en y gagnant en qualité de vie. A ce jour plus de 200 emplois ont été créés. Certes ont est encore loin des 4 000 perdus, mais les élus locaux, aidés par toutes les forces vives ne ménagent pas leurs efforts pour diversifier l'économie de la ville et lui redonner un avenir.
Pour en savoir plus : https://magogtechnopole.com/
