Basée à Saint-Herblain, (Nantes Métropole), l’entreprise familiale Lacroix Group se décline en trois activités complémentaires : Lacroix Electronics, implanté à St-Pierre-Montlimart (Maine-et-Loire), en Pologne, en Allemagne et en Tunisie pour la sous-traitance d'études et fabrication électronique; Lacroix Sofrel, implantée à Vern-sur-Seiche dans la région de Rennes, en Espagne et en Italie, pour la conception et la commercialisation d'équipements de télégestion pour les réseaux d'eau ; Lacroix City, situé au siège nantais, à Nouméa, en Espagne et Cameroun. De dimension internationale, cette entreprise est également l’un des piliers de l’association PAVIC, installée à Angers et qui agit depuis plusieurs années dans l’accompagnement de projets technologiques et citoyens expérimentaux qui contribuent à aménager et construire des villes qui répondent aux usages et besoins des habitants.
Après la métropole, les territoires d’outre-mer, la Chine et l’Océanie, l’Afrique, pas surprenant que l’entreprise internationale aient des envies d’aller s’implanter outre-Atlantique, sur un continent plutôt attractif en matière de technologie. « Le continent nord-américain, c’est-à-dire le Canada, les Etats-Unis et le Mexique, est devenu un axe stratégique du développement de Lacroix Group », explique Vincent Bedouin, le PDG du groupe Lacroix.
« Nous en sommes à l’étape où nous préparons l’avenir, et des premiers jalons, très prometteurs, sont en train d’être posés. Ainsi, quand les marchés que nous visons seront arrivés à maturité, nous pourrons tirer les bénéfices d’une implantation et d’un réseau de partenaires consolidés ».
Le rapprochement de l’entreprise nantaise avec les USA a démarré en 2017 grâce à son entrée au capital de Firstronic, une société de sous-traitance en électronique, installée dans le Michigan. « Cette entrée nous permet d’apporter une réponse à nos clients industriels et équipementiers, qui disposent d’usines aux Etats-Unis et au Mexique, et qui souhaitent collaborer avec des partenaires de proximité spécialisés dans le design et la fabrication d’ensembles électroniques », poursuit le PDG de Lacroix Group.
Après la métropole, les territoires d’outre-mer, la Chine et l’Océanie, l’Afrique, pas surprenant que l’entreprise internationale aient des envies d’aller s’implanter outre-Atlantique, sur un continent plutôt attractif en matière de technologie. « Le continent nord-américain, c’est-à-dire le Canada, les Etats-Unis et le Mexique, est devenu un axe stratégique du développement de Lacroix Group », explique Vincent Bedouin, le PDG du groupe Lacroix.
« Nous en sommes à l’étape où nous préparons l’avenir, et des premiers jalons, très prometteurs, sont en train d’être posés. Ainsi, quand les marchés que nous visons seront arrivés à maturité, nous pourrons tirer les bénéfices d’une implantation et d’un réseau de partenaires consolidés ».
Le rapprochement de l’entreprise nantaise avec les USA a démarré en 2017 grâce à son entrée au capital de Firstronic, une société de sous-traitance en électronique, installée dans le Michigan. « Cette entrée nous permet d’apporter une réponse à nos clients industriels et équipementiers, qui disposent d’usines aux Etats-Unis et au Mexique, et qui souhaitent collaborer avec des partenaires de proximité spécialisés dans le design et la fabrication d’ensembles électroniques », poursuit le PDG de Lacroix Group.
Déployer le savoir-faire français sur le sol américain
L’équipementier français qui a désormais un pied sur le sol américain, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. « Nous prévoyons une expansion forte du marché des véhicules autonomes Outre-Atlantique dans les années à venir. Notre ambition est donc de déployer dans cette zone nos savoir-faire notamment via l’offre V2X de Lacroix City », insiste Vincent Bedouin.
Une prise de participation au sein de l’entreprise SESA, une entreprise américaine spécialisée dans les Panneaux à Messages Variables (PMV) devrait permettre d’ouvrir le marché nord-américain et notamment dans le domaine de la voirie intelligente. « Nous pourrons leurs apporter cette brique complémentaire et tirer ensemble les bénéfices d’une implantation solide au États-Unis ». De son côté, Phil Perut, PDG de SESA se montre pleinement satisfait de ce rapprochement : « Nous souhaitons particulièrement profiter de ce rapprochement pour accélérer nos innovations et lancer de nouveaux produits. Nous servons de porte d’entrée sur le marché américain très complexe à aborder, avec de nombreuses spécificités, notamment dans le système de réponses aux appels d’offres publics. Ce rapprochement est donc un échange gagnant-gagnant, très prometteur pour nos deux sociétés ».
L’entreprise Lacroix qui ne cesse d’innover accompagne également le Mexique dans le déploiement d’infrastructures routières intelligentes et autonomes.
D’autres secteurs peuvent également s’ouvrir au groupe français sur le sol américain, notamment dans les secteurs de l’eau ou l’énergie. Le savoir-faire européen en matière de smart environnement laisse entrevoir de belles possibilités pour l’entreprise nantaise et ses associés américains.
« Quels que soient les secteurs que nous visons, dans cette conquête américaine, nous ne brûlons pas les étapes et préparons l’avenir petit à petit », conclut avec pragmatisme Vincent Bedouin. « C’est pourquoi nous privilégions la prise de participation minoritaire, qui nous permet de prendre le contact avec ce territoire. Notre ambition est haute : nous préparons une accélération forte et tablons sur une montée en puissance qui interviendra après 2020 ».
Une prise de participation au sein de l’entreprise SESA, une entreprise américaine spécialisée dans les Panneaux à Messages Variables (PMV) devrait permettre d’ouvrir le marché nord-américain et notamment dans le domaine de la voirie intelligente. « Nous pourrons leurs apporter cette brique complémentaire et tirer ensemble les bénéfices d’une implantation solide au États-Unis ». De son côté, Phil Perut, PDG de SESA se montre pleinement satisfait de ce rapprochement : « Nous souhaitons particulièrement profiter de ce rapprochement pour accélérer nos innovations et lancer de nouveaux produits. Nous servons de porte d’entrée sur le marché américain très complexe à aborder, avec de nombreuses spécificités, notamment dans le système de réponses aux appels d’offres publics. Ce rapprochement est donc un échange gagnant-gagnant, très prometteur pour nos deux sociétés ».
L’entreprise Lacroix qui ne cesse d’innover accompagne également le Mexique dans le déploiement d’infrastructures routières intelligentes et autonomes.
D’autres secteurs peuvent également s’ouvrir au groupe français sur le sol américain, notamment dans les secteurs de l’eau ou l’énergie. Le savoir-faire européen en matière de smart environnement laisse entrevoir de belles possibilités pour l’entreprise nantaise et ses associés américains.
« Quels que soient les secteurs que nous visons, dans cette conquête américaine, nous ne brûlons pas les étapes et préparons l’avenir petit à petit », conclut avec pragmatisme Vincent Bedouin. « C’est pourquoi nous privilégions la prise de participation minoritaire, qui nous permet de prendre le contact avec ce territoire. Notre ambition est haute : nous préparons une accélération forte et tablons sur une montée en puissance qui interviendra après 2020 ».