Aujourd’hui, force est de constater que le citoyen ne s'exprime plus qu’au travers de l’opinion publique comme s’il en faisait une forme forme de religion. Et si nous remettions les citoyens au coeur des projets urbains et ruraux afin qu’ils puissent faire part de la vision qu’ils ont de leur ville aux élus locaux, pour les aider à agir et décider. Remettre le citoyen au centre du débat, partir des ses besoins, en évitant de décider à sa place, c’est la vision de l’association La Ville Intelligente Citoyenne (LVIC).
Cet objectif passe par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, lesquelles restent le moyen le plus efficace pour construire notre avenir. Mais comment faire en sorte que chacun puisse s’exprimer quand on sait que sur certains territoires la fracture numérique se creuse de plus en plus. Aujourd’hui encore nous devons faire face à des lenteurs administratives, alors que l'enjeu de la ville dite « intelligente », repose plutôt sur la fluidité des informations, la simplicité des accès, la rapidité de l'engagement et la capacité des élus à rendre compte des choix qu’ils sont amenés à faire.
La Smart City doit être une ville /territoire efficace dans le partage des informations, durable et agréable grâce à un panel de services attractifs. Elle doit passer par une gestion des infrastructures communicantes, efficientes, pour améliorer la qualité de vie des citoyens tout en respectant leur environnement.
Selon l’association LVIC, la modification profonde de la ville, mais aussi des territoires ruraux qui l’entourent, touche six domaines clé dans le développement de son intelligence : l'habitat, le mode vie, l'économie, la mobilité, l'environnement et l'administration.
Cet objectif passe par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication, lesquelles restent le moyen le plus efficace pour construire notre avenir. Mais comment faire en sorte que chacun puisse s’exprimer quand on sait que sur certains territoires la fracture numérique se creuse de plus en plus. Aujourd’hui encore nous devons faire face à des lenteurs administratives, alors que l'enjeu de la ville dite « intelligente », repose plutôt sur la fluidité des informations, la simplicité des accès, la rapidité de l'engagement et la capacité des élus à rendre compte des choix qu’ils sont amenés à faire.
La Smart City doit être une ville /territoire efficace dans le partage des informations, durable et agréable grâce à un panel de services attractifs. Elle doit passer par une gestion des infrastructures communicantes, efficientes, pour améliorer la qualité de vie des citoyens tout en respectant leur environnement.
Selon l’association LVIC, la modification profonde de la ville, mais aussi des territoires ruraux qui l’entourent, touche six domaines clé dans le développement de son intelligence : l'habitat, le mode vie, l'économie, la mobilité, l'environnement et l'administration.
L’importance de la mobilité électrique et des réseaux de communication
Parmi ces domaines, la mobilité électrique, se présente comme l’un des enjeux majeurs de la ville de demain et qui devrait permettre d’améliorer sensiblement la santé des habitants. Grace à l’utilisation de véhicules 100% électriques et l’installation de bornes électriques à charge rapide, la pollution des villes devrait s’en trouver améliorée. Les émissions de gaz a effet de serre devrait diminuer et améliorer sensiblement le climat. Nous touchons à la fois à la santé des personnes et à la protection de l'environnement: ce sont autant d'arguments tangibles pour convaincre l'ensemble de nos dirigeants, citoyens et entreprises.
D'après plusieurs études notamment l'institut national de veille sanitaire (INVS), un citadin vie en moyenne 4 mois de moins à cause de la pollution atmosphérique liée en partie au émissions des véhicules automobiles. Ce facteur aggravant pour les maladies pulmonaires et cardio-vasculaires entraine chaque année une dépense évaluée à 5 milliards d’euros. C’est l’une des pistes à explorer laquelle pourrait permettre d’accroitre les investissements en matière d’énergie renouvelable.
Si le développement de la mobilité électrique présente un intérêt évident pour des citoyens qui pourraient faire des économies sur leur dépenses en matière de déplacement, tout en y gagnant sur leur santé, reste a régler la production d’électricité, laquelle est pour une majeure partie nucléaire et, le recyclages des batteries des véhicules dont la durée de vie reste limitée dans le temps.
Pour le secteur automobile le développement de la voiture électrique présente un marché d'environ 10 millions de véhicules et qui pourraient constituer 25 à 30 % du parc automobile des ménages d'ici 2030. Ajoutons à cela d’autres moyens qui se développement au coeur des villes comme les transports en commun plus économes, les vélos en accès libre, ou encore l’auto partage. Avec ces nouveaux moyens auxquels s’ajoutent la voiture en location, plus qu’en achat propre, on peut raisonnablement penser que la voiture sera de plus en plus considérée comme un service, nécéssaire à notre mobilité, plutôt qu’un bien personnel.
La transition énergétique dans laquelle s’engage notre pays, le véhicule connecté et l'évolution des réseaux d’information et de communication n'annoncent pas la fin de la filière automobile française. Bien au contraire, c'est la mise en place d’un extraordinaire réservoir pour l'innovation qui pourrait permettre aux constructeurs de tirer leur épingle du jeu s'ils acceptaient de proposer des services de mobilité plutôt que de vendre des voitures.
Autre exemple qui préfigure l’avenir, celui du groupe TDF (Télédiffusion de France) lequel s'inscrit dans cette démarche. Leader européen des services de gestion, de transport et de livraison de contenus multimédia et données linéaires et non linéaires, adossé à un engagement de qualité de services élevé, ce groupe met en évidence les défis à relever et les opportunités à saisir pour repenser la ville et son environnement, en adéquation avec les besoins des citoyens.
Avec des citoyens qui s'engagent pour améliorer leur ville et des élus et des entreprises à leur l'écoute, on peut imaginer que le résultat serait une ville plus accueillante, plus sûre et donc plus attractive . Une ville dans laquelle les citoyens prendraient en charge eux-mêmes l'amélioration de leur quotidien. Une ville meilleure, pour une vie meilleure, un pari osé que dans lequel notre association souhaite s’engager et partager avec le plus grand nombre.
D'après plusieurs études notamment l'institut national de veille sanitaire (INVS), un citadin vie en moyenne 4 mois de moins à cause de la pollution atmosphérique liée en partie au émissions des véhicules automobiles. Ce facteur aggravant pour les maladies pulmonaires et cardio-vasculaires entraine chaque année une dépense évaluée à 5 milliards d’euros. C’est l’une des pistes à explorer laquelle pourrait permettre d’accroitre les investissements en matière d’énergie renouvelable.
Si le développement de la mobilité électrique présente un intérêt évident pour des citoyens qui pourraient faire des économies sur leur dépenses en matière de déplacement, tout en y gagnant sur leur santé, reste a régler la production d’électricité, laquelle est pour une majeure partie nucléaire et, le recyclages des batteries des véhicules dont la durée de vie reste limitée dans le temps.
Pour le secteur automobile le développement de la voiture électrique présente un marché d'environ 10 millions de véhicules et qui pourraient constituer 25 à 30 % du parc automobile des ménages d'ici 2030. Ajoutons à cela d’autres moyens qui se développement au coeur des villes comme les transports en commun plus économes, les vélos en accès libre, ou encore l’auto partage. Avec ces nouveaux moyens auxquels s’ajoutent la voiture en location, plus qu’en achat propre, on peut raisonnablement penser que la voiture sera de plus en plus considérée comme un service, nécéssaire à notre mobilité, plutôt qu’un bien personnel.
La transition énergétique dans laquelle s’engage notre pays, le véhicule connecté et l'évolution des réseaux d’information et de communication n'annoncent pas la fin de la filière automobile française. Bien au contraire, c'est la mise en place d’un extraordinaire réservoir pour l'innovation qui pourrait permettre aux constructeurs de tirer leur épingle du jeu s'ils acceptaient de proposer des services de mobilité plutôt que de vendre des voitures.
Autre exemple qui préfigure l’avenir, celui du groupe TDF (Télédiffusion de France) lequel s'inscrit dans cette démarche. Leader européen des services de gestion, de transport et de livraison de contenus multimédia et données linéaires et non linéaires, adossé à un engagement de qualité de services élevé, ce groupe met en évidence les défis à relever et les opportunités à saisir pour repenser la ville et son environnement, en adéquation avec les besoins des citoyens.
Avec des citoyens qui s'engagent pour améliorer leur ville et des élus et des entreprises à leur l'écoute, on peut imaginer que le résultat serait une ville plus accueillante, plus sûre et donc plus attractive . Une ville dans laquelle les citoyens prendraient en charge eux-mêmes l'amélioration de leur quotidien. Une ville meilleure, pour une vie meilleure, un pari osé que dans lequel notre association souhaite s’engager et partager avec le plus grand nombre.