Adapter l'éclairage public aux usages plutôt que l'interrompre, c'est la proposition intelligente de LACROIX City (photo Adobe Stock)
Limiter l’éclairage nocturne, pendant la période de confinement, a permis de faire des économies substantielles, avec un report de celles-ci vers le personnel soignant pour nombre de collectivités. Cela permet également de protéger la faune et de faire des économies d’énergie », déclare Vincent Sabot, Directeur Général de LACROIX City. Pour ce dernier la décision des collectivités était motivée par des enjeux économiques et environnementaux. Si ce choix a permis d’économiser sur le coût de l’énergie, les usagers confinés à leur domicile, n’ayant pas vraiment besoin d’éclairage nocturne, la tentation est grande pour certains élus de poursuivre la démarche.
Mais cette solution est-elle viable à long terme ? « Plonger une agglomération dans l’obscurité favorise l’insécurité et impacte donc le bien-être des habitants », poursuit le directeur de LACROIX City. Selon les données de la Commission de la régulation de l’énergie, la présence d’un éclairage public réduit de 30 à 40 % les accidents routiers et de 50 % les vols et actes de vandalisme.
Pour l’entreprise nantaise, spécialisée dans les équipements connectés et sécurisés pour la gestion des infrastructures de la voirie intelligente, « il faudrait davantage parler d’une « conversion » de l’éclairage que d’une extinction pure et simple. » Pour cette dernière l’éclairage public dit « intelligent » doit permettre d’accompagner cette conversion avec notamment une réduction des coûts énergétiques, des pollutions lumineuses et de l’empreinte carbone. Et justement, pour y voir plus clair, l’éclairage de la ville d’aujourd’hui et de demain se doit d’être efficace et sécurisant, sans pour autant consommer trop d’énergie.
Nul besoin de plonger les villes dans l’obscurité, l’offre « SensyCity », développée par LACROIX City est capable de répondre aux besoins des gestionnaires comme des usagers, grâce à des capteurs intelligents qui permettent d’adapter l’éclairage public à l’activité urbaine. Ces capteurs, judicieusement placés détectent les moindres mouvements afin de faire varier l’intensité lumineuse, sans jamais l’interrompre. Un dispositif qui permet aux gestionnaires de faire des économies tout en assurant la sécurité des citoyens. « Cette offre conçoit l’art d’éclairer juste grâce à un dispositif technologique innovant et efficace » soutient Vincent Sabot.
Selon l’équipementier, cette installation permet d’aller encore plus loin en transformant le réseau d’éclairage public en réseau d’alimentation permanent pour l’ajout de services tiers tels que des panneaux d’information à message variable, des stations d’arrosage, des bornes de recharge des véhicules électriques, des capteurs environnementaux… Le tout sans génie civil.
Et de fait, le réseau d’éclairage public dont certains gestionnaires avait imaginé l’interrompre pour réaliser des économies, devient au contraire le socle de projet de développement de la ville intelligente. « Un atout supplémentaire en cette période où les citoyens se réapproprient l’espace public, qui doit répondre à des exigences pratiques, sanitaires et environnementales », confie Vincent Sabot dont l’objectif est d’accompagner les collectivités dans une démarche d’éclairage plus juste.
Alors, si en période de confinement, l’éclairage public ne se révélait pas vraiment utile, la crise aigüe passée, les collectivités qui ont pu mesurer l’impact sur leurs finances ont l’occasion de s’engager dans une démarche plus respectueuse de l’environnement. L’éclairage public avec la pollution lumineuse qu’il engendre et ses coûts pour la collectivité, peut tout à fait être adapté pour permettre aux noctambules de se sentir en sécurité.
« Adapter l’éclairage public aux besoins des collectivités est un défi majeur répondant à une triple nécessité : garantir le bien-être des citoyens, maîtriser les budgets et réduire l’impact environnemental », conclut Vincent Sabot. « En favorisant l’éclairage public intelligent, nous accompagnons les collectivités dans la redéfinition des politiques publiques territoriales dans ce contexte inédit où réactivité et agilité sont de mises. » Si le concept est bien antérieur à la crise sanitaire que nous traversons, sa pertinence est décuplée à l’heure où la crise économique qui lui est liée bouleverse les finances locales avec une augmentation croissante des dépenses des collectivités.
Mais cette solution est-elle viable à long terme ? « Plonger une agglomération dans l’obscurité favorise l’insécurité et impacte donc le bien-être des habitants », poursuit le directeur de LACROIX City. Selon les données de la Commission de la régulation de l’énergie, la présence d’un éclairage public réduit de 30 à 40 % les accidents routiers et de 50 % les vols et actes de vandalisme.
Pour l’entreprise nantaise, spécialisée dans les équipements connectés et sécurisés pour la gestion des infrastructures de la voirie intelligente, « il faudrait davantage parler d’une « conversion » de l’éclairage que d’une extinction pure et simple. » Pour cette dernière l’éclairage public dit « intelligent » doit permettre d’accompagner cette conversion avec notamment une réduction des coûts énergétiques, des pollutions lumineuses et de l’empreinte carbone. Et justement, pour y voir plus clair, l’éclairage de la ville d’aujourd’hui et de demain se doit d’être efficace et sécurisant, sans pour autant consommer trop d’énergie.
Nul besoin de plonger les villes dans l’obscurité, l’offre « SensyCity », développée par LACROIX City est capable de répondre aux besoins des gestionnaires comme des usagers, grâce à des capteurs intelligents qui permettent d’adapter l’éclairage public à l’activité urbaine. Ces capteurs, judicieusement placés détectent les moindres mouvements afin de faire varier l’intensité lumineuse, sans jamais l’interrompre. Un dispositif qui permet aux gestionnaires de faire des économies tout en assurant la sécurité des citoyens. « Cette offre conçoit l’art d’éclairer juste grâce à un dispositif technologique innovant et efficace » soutient Vincent Sabot.
« Adapter l’éclairage public aux besoins des collectivités est un défi majeur »
Selon l’équipementier, cette installation permet d’aller encore plus loin en transformant le réseau d’éclairage public en réseau d’alimentation permanent pour l’ajout de services tiers tels que des panneaux d’information à message variable, des stations d’arrosage, des bornes de recharge des véhicules électriques, des capteurs environnementaux… Le tout sans génie civil.
Et de fait, le réseau d’éclairage public dont certains gestionnaires avait imaginé l’interrompre pour réaliser des économies, devient au contraire le socle de projet de développement de la ville intelligente. « Un atout supplémentaire en cette période où les citoyens se réapproprient l’espace public, qui doit répondre à des exigences pratiques, sanitaires et environnementales », confie Vincent Sabot dont l’objectif est d’accompagner les collectivités dans une démarche d’éclairage plus juste.
Alors, si en période de confinement, l’éclairage public ne se révélait pas vraiment utile, la crise aigüe passée, les collectivités qui ont pu mesurer l’impact sur leurs finances ont l’occasion de s’engager dans une démarche plus respectueuse de l’environnement. L’éclairage public avec la pollution lumineuse qu’il engendre et ses coûts pour la collectivité, peut tout à fait être adapté pour permettre aux noctambules de se sentir en sécurité.
« Adapter l’éclairage public aux besoins des collectivités est un défi majeur répondant à une triple nécessité : garantir le bien-être des citoyens, maîtriser les budgets et réduire l’impact environnemental », conclut Vincent Sabot. « En favorisant l’éclairage public intelligent, nous accompagnons les collectivités dans la redéfinition des politiques publiques territoriales dans ce contexte inédit où réactivité et agilité sont de mises. » Si le concept est bien antérieur à la crise sanitaire que nous traversons, sa pertinence est décuplée à l’heure où la crise économique qui lui est liée bouleverse les finances locales avec une augmentation croissante des dépenses des collectivités.