Les robots, ces objets technologiques, connectés ou non, qui permettent d’automatiser les tâches, les plus pénibles et les plus répétitives, sans se tromper et sans se mettre en arrêt de travail, sont devenus les préférés des entreprises. D’autant que certains sont désormais dotés d’une intelligence artificielle qui leur permet d’anticiper certaines situations qui mettaient en état de stress le premier employé venu.
Mais ces engins qui sont installés depuis des années dans l’industrie, commencent à faire leur entrée en des lieux où on ne les attendait pas. Qu’ils soient garçons d’étage dans un hôtel comme c’est le cas dans la Smart City de Singapour, rédacteurs de news dans certains journaux américains ou encore développeurs de programmes informatiques, ces robots qui prennent de plus en plus une forme humaine, commencent vraiment à inquiéter les salariés. « Ils ne tombent pas malades et ne prennent pas de congés. En plus ils travaillent nuit et jour, sans se rebeller », disait un gérant d’hôtel sur une chaîne TV, il y a quelques jours. Et ce n’est pas fini !
Alors vont-ils prendre la place des ouvriers, des employés de bureau, des serveurs de magasin ? C’est la question que l’on peut légitimement se poser. Certaines tâches, trop ingrates ou trop pénibles, sont progressivement remplacées par des robots. Travailler sans stress et sans se fatiguer, personne ne s’en plaindra. L’homme ayant toujours su s’adapter aux diverses révolutions industrielles et technologiques, d’autres métiers voient et verront le jour. Les PC (personal computer) n’ont pas jeté à la rue des masses de salariés. Certains métiers ont disparu c’est vrai, mais d’autres ont évolué vers des taches nobles où se sont créés. Fini le chef d’entreprise qui rédigeait une note sur papier, pour une dactylo qui devait la reprendre à la machine à écrire. Désormais il prépare lui-même ses documents sur son notebook et sa secrétaire esclave est devenue une assistante, plus impliquée et capable de préparer ses dossiers plus complexes et organiser ses réunions. Pareil dans les grandes surfaces où les caissières, remplacées par des caisses automatiques, évoluent vers des rôles de conseillère.
Mais ces engins qui sont installés depuis des années dans l’industrie, commencent à faire leur entrée en des lieux où on ne les attendait pas. Qu’ils soient garçons d’étage dans un hôtel comme c’est le cas dans la Smart City de Singapour, rédacteurs de news dans certains journaux américains ou encore développeurs de programmes informatiques, ces robots qui prennent de plus en plus une forme humaine, commencent vraiment à inquiéter les salariés. « Ils ne tombent pas malades et ne prennent pas de congés. En plus ils travaillent nuit et jour, sans se rebeller », disait un gérant d’hôtel sur une chaîne TV, il y a quelques jours. Et ce n’est pas fini !
Alors vont-ils prendre la place des ouvriers, des employés de bureau, des serveurs de magasin ? C’est la question que l’on peut légitimement se poser. Certaines tâches, trop ingrates ou trop pénibles, sont progressivement remplacées par des robots. Travailler sans stress et sans se fatiguer, personne ne s’en plaindra. L’homme ayant toujours su s’adapter aux diverses révolutions industrielles et technologiques, d’autres métiers voient et verront le jour. Les PC (personal computer) n’ont pas jeté à la rue des masses de salariés. Certains métiers ont disparu c’est vrai, mais d’autres ont évolué vers des taches nobles où se sont créés. Fini le chef d’entreprise qui rédigeait une note sur papier, pour une dactylo qui devait la reprendre à la machine à écrire. Désormais il prépare lui-même ses documents sur son notebook et sa secrétaire esclave est devenue une assistante, plus impliquée et capable de préparer ses dossiers plus complexes et organiser ses réunions. Pareil dans les grandes surfaces où les caissières, remplacées par des caisses automatiques, évoluent vers des rôles de conseillère.
De nouveaux métiers vont voir le jour dans les années à venir
Certes, les robots intelligents nécessitent moins de salariés dans une entreprise, mais derrière d’autres métiers se créent ou restent à inventer pour prendre en compte cette évolution technologique. C’est en tout cas ce qu’avance Maddyness, le magazine de l’économie et de l’innovation, en présentant des métiers qui sont en train de voir le jour. Mais il y en aura certainement d’autres.
- Designer sonore pour objets connectés : Les robots n’ont pas besoin de se lancer dans de longues phrases pour s’exprimer. Un langage sonore permet aux humains d’interagir avec les robots. Il faut donc concevoir cette panoplie de sons nécessaires aux les robots et objets connectés qui voient le jour
- Formateur d’intelligence artificielle : Pour l’instant les robots n’apprennent pas seuls. Ils ont besoin d’un apprentissage. Des ingénieurs se chargent de concevoir des algorithmes et d’entraîner les robots à exécuter leurs tâches.
- Designer d’objets virtuel : Les jeux et la réalité augmentée qui commence à envahir nos catalogues nécessitent de concevoir des objets tridimensionnels qui n’existent pas réellement.
- Fermier high-tech : Même le monde agricole s’automatise. Les animaux sont gérés par des robots et les salades poussent dans des serres qui fournissent l’eau et la lumière nécessaire, en s’affranchissant des saisons et de la météo.
- Dialoguiste pour agent conversationnel : Les opératrices téléphoniques et autres hôtesses d’accueil disparaissent des entreprises. Elles sont désormais remplacées par des ordinateurs qui répondent à nos questions et nous dirigent vers notre correspondant. Mais les réponses possibles, d’origine humaine, doivent être préalablement synthétisées.
- Coach de données : comment allons-nous gérer toutes les données que nous fournissent désormais nos objets connectés ? Des coachs d’un genre nouveaux ayant des compétences en statistiques et en psychologie vont débarquer sur le marché.
- Réparateur de drones : La multitude de machines volantes sans pilotes qui risquent d’envahir le ciel risque d’entraîner des collisions. Des réparateurs, mais aussi des développeurs capables d’améliorer leur système de navigation seront donc très utiles. Un métier qui concerne également les robots.
Alors faut-il avoir peur des robots ? Certainement. Mais le temps n’est pas encore venu, sauf dans les films de science-fiction, où les robots seront suffisamment doués pour s’autoproduire. L’humain a donc encore de beaux jours devant lui, avec des métiers liés à la technologie, tous plus passionnants les uns que les autres.
Pour plus de détails, sur les métiers, lire sur Madyness
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