Pour les collectivités territoriales qui se sont dotées depuis longtemps d’un site internet et de services capables de répondre aux questions des citoyens sur les réseaux sociaux, l’arrivée des applications mobiles citoyenne permettant de publier des informations sur le fonctionnement de la ville et de ses services, est apparue comme la panacée.
Mais les récents événements (Covid-19, inondations, menace nucléaire en Ukraine…) nous rappellent qu’un risque majeur est toujours possible. Pour les autorités il est donc important de pouvoir prévenir l’ensemble de la population dans un délai très court sur les mesures qui peuvent être prises pour limiter le risque.
Bien sûr de nombreux moyens d’information existent : journaux, radio, télévision, réseaux sociaux et maintenant applications citoyennes, pour pouvoir toucher une grande partie de la population. Mais comment être sûr de pouvoir informer officiellement tout le monde et éviter le dérives et exploitations de personnes bien intentionnées.
En France, 95% des citoyens sont équipés d'un téléphone mobile, note le site Vie Publique. Cet outil de communication permet donc à priori de toucher tous les foyers, notamment à l’aide d’une application dédiée qui permet d’informer sur les travaux en cours, les problèmes de circulation, les disponibilités des parkings, les événements à venir ou en cours, l’ouverture des équipements publiques… Ces applications qui permettent aux citoyens de dialoguer avec les élus et services, sont désormais capables d’envoyer des alertes par message surgissant ou SMS. Mais ces messages s’adressent aux seules personnes ayant installé l’application sur leur application, ces dernières s’inscrivant le plus souvent de manière anonyme, avec des pseudos.
Selon Ciitélécom, entreprise spécialisée dans les solutions de télécommunications et notamment les automates d’alerte à la population, serveurs vocaux, et solutions d’envoi en masse de SMS…, à ce jour plus de 8000 communes françaises seraient équipées de ces applications citoyennes.
Mais les récents événements (Covid-19, inondations, menace nucléaire en Ukraine…) nous rappellent qu’un risque majeur est toujours possible. Pour les autorités il est donc important de pouvoir prévenir l’ensemble de la population dans un délai très court sur les mesures qui peuvent être prises pour limiter le risque.
Bien sûr de nombreux moyens d’information existent : journaux, radio, télévision, réseaux sociaux et maintenant applications citoyennes, pour pouvoir toucher une grande partie de la population. Mais comment être sûr de pouvoir informer officiellement tout le monde et éviter le dérives et exploitations de personnes bien intentionnées.
En France, 95% des citoyens sont équipés d'un téléphone mobile, note le site Vie Publique. Cet outil de communication permet donc à priori de toucher tous les foyers, notamment à l’aide d’une application dédiée qui permet d’informer sur les travaux en cours, les problèmes de circulation, les disponibilités des parkings, les événements à venir ou en cours, l’ouverture des équipements publiques… Ces applications qui permettent aux citoyens de dialoguer avec les élus et services, sont désormais capables d’envoyer des alertes par message surgissant ou SMS. Mais ces messages s’adressent aux seules personnes ayant installé l’application sur leur application, ces dernières s’inscrivant le plus souvent de manière anonyme, avec des pseudos.
Selon Ciitélécom, entreprise spécialisée dans les solutions de télécommunications et notamment les automates d’alerte à la population, serveurs vocaux, et solutions d’envoi en masse de SMS…, à ce jour plus de 8000 communes françaises seraient équipées de ces applications citoyennes.
Alerter en masse… simplement, rapidement et efficacement
Un marché juteux dans lequel s’investissent les sociétés de développement d’applications digitales. Mais ces applications ne sont pas de véritables solutions d’alerte à la population. Mais celle-ci ne permettent ni l’envoi ciblé d’alerte, ni la remontée de l’accusé de réception de celle-ci et donc le suivi de la population soumise au risque.
« Le marché est porteur mais très volatile du côté des acteurs. Et surtout, il ne faut pas tromper les communes ! Ces solutions sont très intéressantes pour la vie démocratique et quotidienne mais ce ne sont pas des outils performants d’alerte à la population » explique Philippe Jauneau, CEO de ciitélécom qui propose « OyéOyé » une application d’alerte à la population par notification qui s’appuie sur une base de données enrichie. Si cette application propose les mêmes informations publiques que les autres, sans artifices, elle peut aussi s’adresser à un groupe restreint d’usagers.
Règlementairement, pour des questions de respect de la vie privée, l’envoi d’une alerte ne peut pas être adressé à l’ensemble des numéros de téléphone existants sans autorisation des abonnés. Sauf, dans un cas extrême, lequel passerait par la mobilisation de l’ensemble des opérateurs téléphoniques. Les citoyens désireux d’être alerté en cas de risque majeur, doivent donc passer par l’installation gratuite de l’application correspondante, laquelle permettra d’envoyer des alertes sur le téléphone concerné. A charge des collectivités de proposer ce service de prévention, en souscrivant notamment au système de signalement. Actuellement les 36 000 communes de France peuvent essayer gratuitement l’application.
Cette application plutôt classique en matière d’information des citoyens, peut s’interfacer avec une autre, plus complète et spécialisée dans les messages d’alerte : « Téléalerte ». Cette dernière qui est utilisée par des mairies, des préfectures, des sites Seveso, des SDIS, des entreprises, des SAMU, des hôpitaux… et même le ministère de l’Intérieur passe par l’inscription volontaire des personnes désireuses d’être informées en cas de risque majeur. Cette application permet des envois en nombre, pour un territoire, une ville, un quartier, une rue…
Alerter en masse… simplement, rapidement et efficacement, c’est la raison d’être de ciitélécom.
OyéOyé sur AppleStore et sur Google Play
« Le marché est porteur mais très volatile du côté des acteurs. Et surtout, il ne faut pas tromper les communes ! Ces solutions sont très intéressantes pour la vie démocratique et quotidienne mais ce ne sont pas des outils performants d’alerte à la population » explique Philippe Jauneau, CEO de ciitélécom qui propose « OyéOyé » une application d’alerte à la population par notification qui s’appuie sur une base de données enrichie. Si cette application propose les mêmes informations publiques que les autres, sans artifices, elle peut aussi s’adresser à un groupe restreint d’usagers.
Règlementairement, pour des questions de respect de la vie privée, l’envoi d’une alerte ne peut pas être adressé à l’ensemble des numéros de téléphone existants sans autorisation des abonnés. Sauf, dans un cas extrême, lequel passerait par la mobilisation de l’ensemble des opérateurs téléphoniques. Les citoyens désireux d’être alerté en cas de risque majeur, doivent donc passer par l’installation gratuite de l’application correspondante, laquelle permettra d’envoyer des alertes sur le téléphone concerné. A charge des collectivités de proposer ce service de prévention, en souscrivant notamment au système de signalement. Actuellement les 36 000 communes de France peuvent essayer gratuitement l’application.
Cette application plutôt classique en matière d’information des citoyens, peut s’interfacer avec une autre, plus complète et spécialisée dans les messages d’alerte : « Téléalerte ». Cette dernière qui est utilisée par des mairies, des préfectures, des sites Seveso, des SDIS, des entreprises, des SAMU, des hôpitaux… et même le ministère de l’Intérieur passe par l’inscription volontaire des personnes désireuses d’être informées en cas de risque majeur. Cette application permet des envois en nombre, pour un territoire, une ville, un quartier, une rue…
Alerter en masse… simplement, rapidement et efficacement, c’est la raison d’être de ciitélécom.
OyéOyé sur AppleStore et sur Google Play