Privée de Grand Palais, à Paris, la 4eme édition de ChangeNOW a dû se tourner vers le mode digital, comme la majorité des événements organisés pendant la période de pandémie de Covid-19. Grand bien lui en a pris puisque l’événement a pu ainsi bénéficier d’une couverture à l’échelle mondiale. Un choix qui va permettre d’assoir cet événement désormais incontournable pour les acteurs du changement et des solutions pour la sauvegarde de la planète.
Pour les organisateurs cette édition est un véritable tour de force avec 250 heures de contenu exclusif, diffusé via le web, lors des visioconférences et présentations d’entreprises qui agissent pour changer le monde et l’engager dans un nouveau paradigme, plus favorable au climat, à l’environnement, au travail et aux relations humaines. Cette édition totalement digitale a été vue dans 167 pays, avec 600 000 vues et 436 millions d’impression en « reach global », avec à la clé des annonces et des engagements concrets pour améliorer ou tout au moins maintenir l’état de notre planète.
Créé en 2017 par Santiago Lefebvre, Rose-May Lucotte et Kevin Tayebaly, ChangeNOW s’est fixé pour objectif d’éveiller les consciences, faire évoluer la société dans le sens du développement durable, pour faire émerger les solutions et nouveaux modèles pour répondre aux grandes urgences environnementales et sociales. Désormais associés au groupe de presse Les Échos-Le Parisien, les organisateurs espèrent bien amplifier leur action. Et compte tenu des chiffres de cette année, c’est plutôt bien parti.
Pour les organisateurs cette édition est un véritable tour de force avec 250 heures de contenu exclusif, diffusé via le web, lors des visioconférences et présentations d’entreprises qui agissent pour changer le monde et l’engager dans un nouveau paradigme, plus favorable au climat, à l’environnement, au travail et aux relations humaines. Cette édition totalement digitale a été vue dans 167 pays, avec 600 000 vues et 436 millions d’impression en « reach global », avec à la clé des annonces et des engagements concrets pour améliorer ou tout au moins maintenir l’état de notre planète.
Créé en 2017 par Santiago Lefebvre, Rose-May Lucotte et Kevin Tayebaly, ChangeNOW s’est fixé pour objectif d’éveiller les consciences, faire évoluer la société dans le sens du développement durable, pour faire émerger les solutions et nouveaux modèles pour répondre aux grandes urgences environnementales et sociales. Désormais associés au groupe de presse Les Échos-Le Parisien, les organisateurs espèrent bien amplifier leur action. Et compte tenu des chiffres de cette année, c’est plutôt bien parti.
Une édition digitale, mais très prometteuse
Pareil aux précédentes éditions, l’édition digitale de ChnageNOW a apporté son lot d’actions concrètes allant dans le sens d’une amélioration climatique, l’inclusion ou encore l’éducation : le lancement de la plateforme Impact, pour aider concrètement les entreprises à réaliser leur reporting extra-financier et mesurer leur impact environnemental et social, le lancement de la coalition 1000 OCEAN STARTUP, un rassemblement de l’écosystème mondial d’incubateurs, d’accélérateurs et de VC soutenant les start-ups pour l’impact sur l’océan organisé par Blue Oceans Partners, le lancement d'un nouveau programme d'investissement de 350 millions d'euros pour soutenir les innovations positives identifiées par la Fondation Solar Impulse, le lancement du fonds Orange Ventures Impact de 30 millions d’euros dédié aux start-ups qui œuvrent pour le climat, l'inclusion et l'éducation, la présentation de la stratégie de l'ADEME, pour ouvrir la voie vers une transition durable soutenue par l’innovation à l’occasion de la session « financer la transition locale », ou encore le lancement d’une plateforme open source d'alignement des startups permettant de réconcilier business et intérêts de la société et de la planète.
En plus de ces lancements, pour la plupart financiers, ChangeNOW est devenu le vecteur de solutions, proposées par les petites et grandes entreprises qui permettront d’améliorer notre quotidien, en évitant la dégration annoncée de notre environnement. L’exemple avec Opopop un système de consigne appliqué aux colis du e-commerce. Cette solution de consigne 100% digitale, spécifiquement développée pour le e-commerce, est désormais disponible chez une trentaine de e-commerçants. Mais aussi Beyond Leather Materials, une structure basé à Copenhague qui propose LeapTM, une alternative durable au cuir, créée à partir de déchets de pommes recyclés de l'industrie du jus et du cidre, une solution digitale complète dédiée aux études environnementales de la mégafaune marine avec WIPSEA, L'Avion Jaune, Cohabys et Air Périgord, l’avancée de la startup française Urban Canopee, sélectionnée parmi les 20 start-ups prometteuses du programme French Tech for the Planet du Ministère de la Transition écologique et du secrétariat d'État chargé du Numérique. Et bien d’autres qui ont saisi l’occasion de ce rendez-vous international pour proposer des actions encourageantes pour ceux qui doutent de l’impossibilité de freiner la destruction programmée de notre planète terre.
Les grandes entreprises ne sont pas en reste. Et même si certaines saisissent l’opportunité d’un « greenwashing », d’autres sont bien décidées à s'investir durablement, ayant compris sans doute que leur avenir en dépendait. C’est le cas de la société foncière GECINA qui a dévoilé, pendant la session sur la ville durable, sa nouvelle stratégie neutre en carbone d’ici 2030, ou encore le lancement de « Open Playground » par Veolia, un nouveau programme d’Open Innovation qui a pour objectif de co-construire les futures innovations du Groupe avec plusieurs start-ups engagées dans la transformation écologique. Remarquée également, l’association avec l’organisation de l’événement du Boston Consulting Group afin de réaliser une étude exclusive intitulée « Biodiversité : un risque majeur et une opportunité immédiate pour les entreprises » appelant les dirigeants économiques à intégrer la préservation de la nature dans leur stratégie d'entreprise au même titre que la lutte contre le réchauffement climatique.
Les différentes conférences, organisées en visioconférence, qui ont traité de l’inclusion et de l’égalité, de l’emploi, de la biodiversité, de la finance durable, et même de l’art et du cinéma, sont disponibles sur la chaine YouTube de l’événement. L’occasion de se plonger dans ces temps forts, avec la présence des invités de renommée internationale qui font le succès de l’événement.
ChangeNOW a démontré, malgré le passage obligé par le tout digital, que tout était encore possible. Les idées de manquent pas et les organiseurs espères que les politiques sauront s’en saisir, pour assurer l’avenir de notre planète et pas uniquement pour leur élection ou réélection.
Pour en savoir plus, prendre conscience et plus si affinité, il suffit de se rendre sur le site web de ChangeNOW.
En plus de ces lancements, pour la plupart financiers, ChangeNOW est devenu le vecteur de solutions, proposées par les petites et grandes entreprises qui permettront d’améliorer notre quotidien, en évitant la dégration annoncée de notre environnement. L’exemple avec Opopop un système de consigne appliqué aux colis du e-commerce. Cette solution de consigne 100% digitale, spécifiquement développée pour le e-commerce, est désormais disponible chez une trentaine de e-commerçants. Mais aussi Beyond Leather Materials, une structure basé à Copenhague qui propose LeapTM, une alternative durable au cuir, créée à partir de déchets de pommes recyclés de l'industrie du jus et du cidre, une solution digitale complète dédiée aux études environnementales de la mégafaune marine avec WIPSEA, L'Avion Jaune, Cohabys et Air Périgord, l’avancée de la startup française Urban Canopee, sélectionnée parmi les 20 start-ups prometteuses du programme French Tech for the Planet du Ministère de la Transition écologique et du secrétariat d'État chargé du Numérique. Et bien d’autres qui ont saisi l’occasion de ce rendez-vous international pour proposer des actions encourageantes pour ceux qui doutent de l’impossibilité de freiner la destruction programmée de notre planète terre.
Les grandes entreprises ne sont pas en reste. Et même si certaines saisissent l’opportunité d’un « greenwashing », d’autres sont bien décidées à s'investir durablement, ayant compris sans doute que leur avenir en dépendait. C’est le cas de la société foncière GECINA qui a dévoilé, pendant la session sur la ville durable, sa nouvelle stratégie neutre en carbone d’ici 2030, ou encore le lancement de « Open Playground » par Veolia, un nouveau programme d’Open Innovation qui a pour objectif de co-construire les futures innovations du Groupe avec plusieurs start-ups engagées dans la transformation écologique. Remarquée également, l’association avec l’organisation de l’événement du Boston Consulting Group afin de réaliser une étude exclusive intitulée « Biodiversité : un risque majeur et une opportunité immédiate pour les entreprises » appelant les dirigeants économiques à intégrer la préservation de la nature dans leur stratégie d'entreprise au même titre que la lutte contre le réchauffement climatique.
Les différentes conférences, organisées en visioconférence, qui ont traité de l’inclusion et de l’égalité, de l’emploi, de la biodiversité, de la finance durable, et même de l’art et du cinéma, sont disponibles sur la chaine YouTube de l’événement. L’occasion de se plonger dans ces temps forts, avec la présence des invités de renommée internationale qui font le succès de l’événement.
ChangeNOW a démontré, malgré le passage obligé par le tout digital, que tout était encore possible. Les idées de manquent pas et les organiseurs espères que les politiques sauront s’en saisir, pour assurer l’avenir de notre planète et pas uniquement pour leur élection ou réélection.
Pour en savoir plus, prendre conscience et plus si affinité, il suffit de se rendre sur le site web de ChangeNOW.