Depuis plusieurs années, les abeilles sont en déclin car elles sont directement impactées par de multiples facteurs allant des phénomènes météorologiques violents, des problématiques sanitaires, aux intoxications et à la réduction de la biodiversité.
Chaque jour, les abeilles sortent prélever du pollen, de l’eau et du nectar, et les ramènent dans les ruches pour nourrir la colonie. Leur activité et leur santé donnent des indications en termes d'abondance de nourriture pour la biodiversité ou de pollutions éventuelles, qui vont avoir une incidence sur leur vie.
En butinant différents végétaux sur un rayon d’action de 3 km, les abeilles réalisent gratuitement le service le plus important pour notre humanité : la pollinisation. Les abeilles effectuent ainsi des prélèvements dans l'environnement, qui renseignent sur l'état de la biodiversité pour les pollinisateurs, premiers maillons de la chaine des écosystèmes terrestres, à une échelle localisée. L'analyse de ces données va permettre de guider et prouver l'efficacité actions de services environnementaux que les agriculteurs, entreprises ou pouvoirs publics peuvent engagés.
« La biosurveillance, c’est décoder ce que les abeilles savent déjà de notre environnement », explique Christian Lubat, fondateur de la startup toulousaine BeeGuard.
Ainsi, BeeGuard a développé une solution de biosurveillance grâce à des ruches « intelligentes » : des ruches existantes témoins sont ainsi augmentées avec différents types de capteurs qui permettent de mesurer l’activité des butineuses, l’élevage, ou encore les variations de populations.
« L’abeille est plus qu’un symbole : elle est l’élément central de la transition écologique. Soutenir BeeGuard, c’est donc participer à la création des outils de demain, pour agir plus concrètement et plus efficacement pour la transition écologique, à tous niveaux », précise Christian Lubat.
« Pour nous, en tant qu’entreprise, cela a du sens d’ouvrir son capital à tout à chacun, pour que tous puissent prendre part à cette aventure, en donnant du sens à leur investissement et à leur épargne », poursuit le chef d’entreprise qui vient de lancer un campagne de financement participatif sur la plateforme WiSEED, afin d’aider la jeune pousse à financer son programme de recherche et développement mais aussi sa présence nationale et internationale.
BeeGuard qui équipe plus de 4000 ruches en France et à l’étranger, fait partie des 20 projets sélectionnés et en cours de financement via le programme Épargne Occitanie lancé par la Région Occitanie en partenariat avec WiSEED.
Plusieurs fois distinguée, l’essentiel des ventes de BeeGuard s'effectue dans l'Hexagone mais la solution s’exporte également dans près 12 pays à travers le monde, en particulier en Italie, mais aussi en Espagne, au Portugal, en Suisse, en Belgique, au Luxembourg, en Suède, à Malte, Israël, République Dominicaine et en Nouvelle-Zélande.
Chaque jour, les abeilles sortent prélever du pollen, de l’eau et du nectar, et les ramènent dans les ruches pour nourrir la colonie. Leur activité et leur santé donnent des indications en termes d'abondance de nourriture pour la biodiversité ou de pollutions éventuelles, qui vont avoir une incidence sur leur vie.
En butinant différents végétaux sur un rayon d’action de 3 km, les abeilles réalisent gratuitement le service le plus important pour notre humanité : la pollinisation. Les abeilles effectuent ainsi des prélèvements dans l'environnement, qui renseignent sur l'état de la biodiversité pour les pollinisateurs, premiers maillons de la chaine des écosystèmes terrestres, à une échelle localisée. L'analyse de ces données va permettre de guider et prouver l'efficacité actions de services environnementaux que les agriculteurs, entreprises ou pouvoirs publics peuvent engagés.
« La biosurveillance, c’est décoder ce que les abeilles savent déjà de notre environnement », explique Christian Lubat, fondateur de la startup toulousaine BeeGuard.
Ainsi, BeeGuard a développé une solution de biosurveillance grâce à des ruches « intelligentes » : des ruches existantes témoins sont ainsi augmentées avec différents types de capteurs qui permettent de mesurer l’activité des butineuses, l’élevage, ou encore les variations de populations.
L’apiculteur, partie prenante et utilisateur de la chaine de données, va renseigner ses évaluations et toute la gestion de l’élevage. L’Intelligence Artificielle (IA) va ensuite traiter l’ensemble des données collectées pour obtenir des indicateurs, notamment le bol alimentaire des pollinisateurs autour des ruches et le suivi de mortalité journalière des abeilles.« L’abeille est plus qu’un symbole : elle est l’élément central de la transition écologique »
« L’abeille est plus qu’un symbole : elle est l’élément central de la transition écologique. Soutenir BeeGuard, c’est donc participer à la création des outils de demain, pour agir plus concrètement et plus efficacement pour la transition écologique, à tous niveaux », précise Christian Lubat.
« Pour nous, en tant qu’entreprise, cela a du sens d’ouvrir son capital à tout à chacun, pour que tous puissent prendre part à cette aventure, en donnant du sens à leur investissement et à leur épargne », poursuit le chef d’entreprise qui vient de lancer un campagne de financement participatif sur la plateforme WiSEED, afin d’aider la jeune pousse à financer son programme de recherche et développement mais aussi sa présence nationale et internationale.
BeeGuard qui équipe plus de 4000 ruches en France et à l’étranger, fait partie des 20 projets sélectionnés et en cours de financement via le programme Épargne Occitanie lancé par la Région Occitanie en partenariat avec WiSEED.
Plusieurs fois distinguée, l’essentiel des ventes de BeeGuard s'effectue dans l'Hexagone mais la solution s’exporte également dans près 12 pays à travers le monde, en particulier en Italie, mais aussi en Espagne, au Portugal, en Suisse, en Belgique, au Luxembourg, en Suède, à Malte, Israël, République Dominicaine et en Nouvelle-Zélande.