Le colloque de l'IoT de l'ESEO, l'an dernier, l'un des événements qui se tiendra pendant la Connected Week
En rencontrant Gary Shapiro, le président de la Consumer Technology Association et patron du Consumer Electronics Show, le plus grand rendez-vous de l’innovation électronique de la planète, le maire d’Angers, Christophe Béchu, avait une idée derrière la tête : permettre à sa ville de renouer avec son passé informatique et électronique en accueillant un événement d’envergure internationale capable de doper l’écosystème numérique local, notamment dans la filière des objets connectés.
Cette rencontre se concrétisera le 25 octobre prochain puisque les sommités de l’électronique mondiale et leurs délégations professionnelles, pour la plupart asiatiques, feront étapes à Angers, ou plutôt dans le site exceptionnel de l’abbaye de Fontevraud, pour discuter de l’actualité et de l’avenir de la filière technologique. Une sorte de Davos de l’électronique et de l’innovation. Rien ne devrait filtrer des échanges puisque ces derniers se tiendront à huis clos et les angevins ont peu de chance d’apercevoir ceux qui font la pluie et le beau temps sur les produits « high tech » qu’ils utilisent tous les jours. Sauf s’ils travaillent dans l’une des entreprises que leurs hôtes ont prévu de leur faire visiter le lendemain de leur réunion. Sept itinérances prévues en régions Pays de la Loire et Bretagne, permettront aux leaders mondiaux de l’électronique prendre connaissance du tissu économique local.
« L’idée c’est de capitaliser autour de ce forum international et permettre aux entreprises de l’écosystème numérique d’établir des contacts », explique le conseille du maire d’Angers, Emmanuel Caloyani. « On va en profiter pour leur montrer que sur notre territoire il existe des entreprises de l’électronique et des objets connectés, des pépites, avec lesquelles ils pourraient travailler ». Pour la mairie, il ne s’agit pas d’inciter ces grandes entreprises à délocaliser dans la région, - elles ont déjà pris le chemin opposé, pour des raisons économiques, il y a quelques années -, mais bien de permettre aux petites entreprises installées sur le territoire, de faire apprécier leur savoir-faire et plus si affinité. C’est en ce sens que Gary Shapiro, séduit pas le dynamisme de l’écosystème numérique local et Christophe Béchu ont travaillé pour permettre la tenue du WEF en terre angevine. Un véritable défi pour la 16e ville de France, mais qui peut rapporter gros.
Cette rencontre se concrétisera le 25 octobre prochain puisque les sommités de l’électronique mondiale et leurs délégations professionnelles, pour la plupart asiatiques, feront étapes à Angers, ou plutôt dans le site exceptionnel de l’abbaye de Fontevraud, pour discuter de l’actualité et de l’avenir de la filière technologique. Une sorte de Davos de l’électronique et de l’innovation. Rien ne devrait filtrer des échanges puisque ces derniers se tiendront à huis clos et les angevins ont peu de chance d’apercevoir ceux qui font la pluie et le beau temps sur les produits « high tech » qu’ils utilisent tous les jours. Sauf s’ils travaillent dans l’une des entreprises que leurs hôtes ont prévu de leur faire visiter le lendemain de leur réunion. Sept itinérances prévues en régions Pays de la Loire et Bretagne, permettront aux leaders mondiaux de l’électronique prendre connaissance du tissu économique local.
« L’idée c’est de capitaliser autour de ce forum international et permettre aux entreprises de l’écosystème numérique d’établir des contacts », explique le conseille du maire d’Angers, Emmanuel Caloyani. « On va en profiter pour leur montrer que sur notre territoire il existe des entreprises de l’électronique et des objets connectés, des pépites, avec lesquelles ils pourraient travailler ». Pour la mairie, il ne s’agit pas d’inciter ces grandes entreprises à délocaliser dans la région, - elles ont déjà pris le chemin opposé, pour des raisons économiques, il y a quelques années -, mais bien de permettre aux petites entreprises installées sur le territoire, de faire apprécier leur savoir-faire et plus si affinité. C’est en ce sens que Gary Shapiro, séduit pas le dynamisme de l’écosystème numérique local et Christophe Béchu ont travaillé pour permettre la tenue du WEF en terre angevine. Un véritable défi pour la 16e ville de France, mais qui peut rapporter gros.
Une semaine connectée comme vitrine du savoir-faire local
Mais pour accueillir les grands de l’électronique il faut de l’argent. Le financement qui est assuré par la collectivité mais aussi par les entreprises de « la Tech », invitées à mettre la main à la poche, est loin d’être évident. Si ces dernières ne sont pas insensibles aux propositions de la collectivité, elles ne se pressent pas. Les temps sont durs, même dans cette filière porteuse. Résultat, à un mois de l’événement on n’en sait guère plus sur l’ampleur de l’événement, si ce n’est que la « Connected Week », ouverte aux professionnels et en partie au public, englobera le premier. Le coût de l’ensemble est estimé à 1.3 millions d’euros dont 700 000 pour la seule métropole urbaine d’Angers.
« Nous souhaitons que ce se soit une vitrine du savoir-faire des entreprises de l’ouest, une semaine dédiée à l’Internet des objets (IoT) », poursuit la mairie, « avec des conférences, des rencontres professionnels, des débats, des ateliers … ». La Connected Week sera installé dans le forum des arts vivants et les salles du Quai, du 21 au 28 octobre. Plusieurs événements tels que l’ESAConnect sur l’agriculture connectée, le colloque IoT de l’ESEO, le congrès des Kiné 3.0, un forum médias, un festival de la création et de la fabrication numérique, sont associés à cette semaine technologique. Un ensemble d’événements qui vont agiter la planète numérique angevine et que la mairie souhaite pérenniser, le WEF n’étant cette année que le détonateur de cette fameuse « Connected Week », fusée à plusieurs étages, en cours d’assemblage.
Enfin, plusieurs personnalités pourraient faire le déplacement à Angers pour l’occasion : le secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé du Numérique, Mounir Mahjoubi et peut-être le président de la République Emmanuel Macron, initiateur et soutien de la French Tech. Mais pour l’instant ni l’un ni l’autre n’a confirmé sa présence.
Pour en savoir plus : www.wef-angers.com et www.connectedweek-angers.fr
« Nous souhaitons que ce se soit une vitrine du savoir-faire des entreprises de l’ouest, une semaine dédiée à l’Internet des objets (IoT) », poursuit la mairie, « avec des conférences, des rencontres professionnels, des débats, des ateliers … ». La Connected Week sera installé dans le forum des arts vivants et les salles du Quai, du 21 au 28 octobre. Plusieurs événements tels que l’ESAConnect sur l’agriculture connectée, le colloque IoT de l’ESEO, le congrès des Kiné 3.0, un forum médias, un festival de la création et de la fabrication numérique, sont associés à cette semaine technologique. Un ensemble d’événements qui vont agiter la planète numérique angevine et que la mairie souhaite pérenniser, le WEF n’étant cette année que le détonateur de cette fameuse « Connected Week », fusée à plusieurs étages, en cours d’assemblage.
Enfin, plusieurs personnalités pourraient faire le déplacement à Angers pour l’occasion : le secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé du Numérique, Mounir Mahjoubi et peut-être le président de la République Emmanuel Macron, initiateur et soutien de la French Tech. Mais pour l’instant ni l’un ni l’autre n’a confirmé sa présence.
Pour en savoir plus : www.wef-angers.com et www.connectedweek-angers.fr