Les lunettes immersives de la société coréenne Samsung, au catalogue de nombreuses boutiques High Tech (photo publicité Samsung)
Dans le langage des initiés, ceux qui ne jurent que par les derniers produits high-tech on parle de « l’IoT » pour «Internet of Things » ou internet des objets. Pour faire simple (et tout de même un peu compliqué …), L'internet des objets est « un réseau de réseaux qui permet, via des systèmes d’identification électronique normalisés et sans fil, d’identifier et de communiquer numériquement avec des objets physiques afin de pouvoir mesurer et échanger des données entre les mondes physiques et virtuels. » C’est ainsi que définissent Pierre-Jean Benghozi, Sylvain Bureau, Françoise Massit-Folléa dans un ouvrage intitulé tout simplement « L’internet des objets. Quels enjeux pour l’Europe », publié aux Éditions de la Maison des sciences de l’homme.
Pour faire encore plus simple, un objet connecté c’est un appareil du quotidien, tel au pèse-personne ou un réfrigérateur, capable d’envoyer des informations à votre smartphone, via une connexion Bluetooth, lesquelles sont exploitées par une application spécifique. Celle-ci vous affiche vos courbes de poids au jour le jour, votre masse corporelle, et bien d’autres informations utiles pour des hypocondriaques en devenir.
Poids, tension, rythme cardiaque, autant de contrôle de sa santé et de sa forme que chacun est capable de suivre grâce à des appareils existants que la technologie a rendu communicants ou créés pour l’occasion. C’est le cas des bracelets qui analyse le rythme du sommeil, de l’activité et des temps de repos. Ou encore des lunettes immersives qui permettent de s’immerger dans un film ou des photos.
Désormais les objets connectés sont partout et pas seulement dans le domaine du sport, des loisirs, de la domotique ou de la santé. Les entreprises industrielles ou encore l’agriculture disposent d’appareils capables d’analyser l’environnement, de se géolocaliser et de transmettre des données via internet vers des bases capables d’enrichir des outils d’analyse ou de statistiques. En cette fin d’année les objets connectés sont partout, transmettant à tous va leurs données, en utilisant tous les canaux de transmission à leur disposition, du plus simple au plus complexe.
Les opérateurs téléphoniques, devenus depuis opérateurs internet, par le biais des constructeur ont compris l’enjeu de ces petits appareils, lesquels viennent compléter une offre déjà conséquente de téléphones qui n’en sont plus vraiment puisqu’ils ne servent plus seulement à dialoguer oralement, mais bien à transmettre des données numériques.
C’est le cas de l’opérateur Orange, mais il n’est pas le seul, qui propose désormais des montres connectées, des lunettes immersives, des appareils de domotique, des robots, drones et caméras 360 °, des bracelets santé. Toute une panoplie qui enfle au fil des saisons pour des mobiles qui bientôt ne sauront plus où donner de la tête. Pour s’en sortir, le Père Noël risque bien de devoir faire un stage de remise à niveau, ou consulter le livre « les objets connectés pour les nuls », sorti déjà depuis deux ans de tout de même.
Pour faire encore plus simple, un objet connecté c’est un appareil du quotidien, tel au pèse-personne ou un réfrigérateur, capable d’envoyer des informations à votre smartphone, via une connexion Bluetooth, lesquelles sont exploitées par une application spécifique. Celle-ci vous affiche vos courbes de poids au jour le jour, votre masse corporelle, et bien d’autres informations utiles pour des hypocondriaques en devenir.
Poids, tension, rythme cardiaque, autant de contrôle de sa santé et de sa forme que chacun est capable de suivre grâce à des appareils existants que la technologie a rendu communicants ou créés pour l’occasion. C’est le cas des bracelets qui analyse le rythme du sommeil, de l’activité et des temps de repos. Ou encore des lunettes immersives qui permettent de s’immerger dans un film ou des photos.
Désormais les objets connectés sont partout et pas seulement dans le domaine du sport, des loisirs, de la domotique ou de la santé. Les entreprises industrielles ou encore l’agriculture disposent d’appareils capables d’analyser l’environnement, de se géolocaliser et de transmettre des données via internet vers des bases capables d’enrichir des outils d’analyse ou de statistiques. En cette fin d’année les objets connectés sont partout, transmettant à tous va leurs données, en utilisant tous les canaux de transmission à leur disposition, du plus simple au plus complexe.
Les opérateurs téléphoniques, devenus depuis opérateurs internet, par le biais des constructeur ont compris l’enjeu de ces petits appareils, lesquels viennent compléter une offre déjà conséquente de téléphones qui n’en sont plus vraiment puisqu’ils ne servent plus seulement à dialoguer oralement, mais bien à transmettre des données numériques.
C’est le cas de l’opérateur Orange, mais il n’est pas le seul, qui propose désormais des montres connectées, des lunettes immersives, des appareils de domotique, des robots, drones et caméras 360 °, des bracelets santé. Toute une panoplie qui enfle au fil des saisons pour des mobiles qui bientôt ne sauront plus où donner de la tête. Pour s’en sortir, le Père Noël risque bien de devoir faire un stage de remise à niveau, ou consulter le livre « les objets connectés pour les nuls », sorti déjà depuis deux ans de tout de même.