Une centaine de coursiers sillonne désormais la ville de Nantes pour livrer les repas (Photo UberEATS)
Le principe d’UberEATS est simple. En quelques clics le consommateur qui ne souhaite pas se déplacer dans un restaurant peut commander son repas et se le faire livrer sur le lieu de son choix. Ce service est disponible sur l’ensemble de la ville de Nantes depuis ce jeudi. Il suffit au préalable d’installer l’application UberEATS sur son smartphone (iPhone et Androïd) et de créer son compte.
Selon la société Uber qui gère l’application de mise en relation d’utilisateurs et de conducteurs pour des opérations de transport, un service qui fait polémique en France, UberEATS compte déjà une soixantaine de restaurants partenaires à Nantes tels que Suppli Factory, Bysance ou encore Oh Petit Plaisir. Le service est disponible tous les jours de 11h à 23h, sans minimum de commande.
« Déjà présent dans quatre villes de France, le service UberEATS connaît une croissance impressionnante », explique Stéphane Ficaja, General Manager France Expansion d’ UberEATS. « Désormais les utilisateurs peuvent se faire livrer les meilleurs restaurants en quelques clics, sans minimum et en moins de 30 minutes ». Les gastronomes nantais vont donc pouvoir vivre, selon la formule consacrée de la marque, « une expérience culinaire simplifiée, efficace et accessible. « Nous sommes très heureux de mettre notre technologie au service des amateurs de la gastronomie nantaise », poursuit le manager général.
Uber veut faire la différence en s’appuyant sur son expertise dans le transport pour organiser au mieux ses livraisons. La marque travaille donc avec une nouvelle catégorie de partenaires livreurs dédiée à UberEATS et notamment des livreurs à scooter et à vélo. C’est notamment le cas à Nantes, où une centaine de coursiers indépendants ont été recrutés pour l’occasion.
« Avec le transport, nous avons ouvert un marché. Cette fois-ci, nous nous posons en challenger. Nous voulons convaincre les restaurants de travailler avec nous parce que notre service plaît, pas du fait d'une clause d'exclusivité », expliquait lors du lancement parisien, Thibaud Simphal, directeur général d'Uber France. Le coût de la course est fixé à 2.5 € en plus du prix du repas, quels que soit la distance ou le nombre de plats commandés.
Afin de répondre à la demande croissante des utilisateurs et des restaurants partenaires, Uber envisage d’ouvrir ce nouveau service dans 7 nouvelles villes d’ici la fin de l’année.
Selon la société Uber qui gère l’application de mise en relation d’utilisateurs et de conducteurs pour des opérations de transport, un service qui fait polémique en France, UberEATS compte déjà une soixantaine de restaurants partenaires à Nantes tels que Suppli Factory, Bysance ou encore Oh Petit Plaisir. Le service est disponible tous les jours de 11h à 23h, sans minimum de commande.
« Déjà présent dans quatre villes de France, le service UberEATS connaît une croissance impressionnante », explique Stéphane Ficaja, General Manager France Expansion d’ UberEATS. « Désormais les utilisateurs peuvent se faire livrer les meilleurs restaurants en quelques clics, sans minimum et en moins de 30 minutes ». Les gastronomes nantais vont donc pouvoir vivre, selon la formule consacrée de la marque, « une expérience culinaire simplifiée, efficace et accessible. « Nous sommes très heureux de mettre notre technologie au service des amateurs de la gastronomie nantaise », poursuit le manager général.
Avec ce nouveau service testé début 2016 à Paris, Uber s’attaque au marché très concurrentiel de la commande de restauration livrée. Outre les opérateurs classiques sur internet tels Allo Resto, des petites entreprises organisent déjà la livraison de repas dans de nombreuses villes de France. Et Nantes n’y échappe pas. Pour se distinguer de l’offre existante, Uber mise plutôt sur un partenariat avec des restaurants branchés, très prisés par les jeunes cadres ou les « startupers » qui déjeunent au bureau, en centre-ville.« Cette fois-ci, nous nous posons en challenger »
Uber veut faire la différence en s’appuyant sur son expertise dans le transport pour organiser au mieux ses livraisons. La marque travaille donc avec une nouvelle catégorie de partenaires livreurs dédiée à UberEATS et notamment des livreurs à scooter et à vélo. C’est notamment le cas à Nantes, où une centaine de coursiers indépendants ont été recrutés pour l’occasion.
« Avec le transport, nous avons ouvert un marché. Cette fois-ci, nous nous posons en challenger. Nous voulons convaincre les restaurants de travailler avec nous parce que notre service plaît, pas du fait d'une clause d'exclusivité », expliquait lors du lancement parisien, Thibaud Simphal, directeur général d'Uber France. Le coût de la course est fixé à 2.5 € en plus du prix du repas, quels que soit la distance ou le nombre de plats commandés.
Afin de répondre à la demande croissante des utilisateurs et des restaurants partenaires, Uber envisage d’ouvrir ce nouveau service dans 7 nouvelles villes d’ici la fin de l’année.
