Angers FrenchTech doit adopter l’attitude startup », a déclaré Michel Perrinet en présentant l’évolution du label Angers FrenchTech. « L’attitude startup c’est voir grand, c’est viser loin, c’est aller vite et c’est résister à nos freins ».
Au premier rang, le Secrétaire d’État au Numérique, Mounir Mahjoubi , qui a passé la nuit à Angers, David Monteau, directeur de la French Tech Nationale, Pascal Cagni, président de Business France, Ludocic Le Moan, CEO de Sigfox, Eric Grellier, président de la CCI de Maine-et-Loire, quoique déjà au courant, étaient suspendus aux lèvres de Michel Perrinet.
« En passant du statut de collectif à celui de coopérative comme nous vous le proposons nous devons adopter cette attitude de jeune pousse en s’appuyant sur ce que nous avons fait depuis deux ans, c'est-à-dire réunir toutes les énergies pour une vision commune du développement du numérique autour de l’IoT », poursuivait le Délégué Territorial.
Le collectif Angers French Tech, dont personne, à part les initiés, n’était vraiment en mesure de connaître les objectifs, va donc adopter une entité juridique qui lui permettra « de porter plus efficacement les projets stratégiques de l’écosystème numérique et démultiplier ses actions », précise Michel Perrinet en ajoutant que cette structure qui prendra la forme d’une SCIC (Société Coopérative d’Intérêt collectif), se concrétisera avant la fin de l’année. « J’appelle toutes les personnes à s’impliquer dans l’écosystème de « Smart World » à nous rejoindre dès maintenant, en devenant membres de notre coopérative, selon le principe d’un homme, une voix ».
Si le montant de la part est relativement ouvert – Michel Perrinet évoquant des montants allant de 100 à plus de 10 000 € -, l’objectif est désormais clair puisqu’il s’agit de faire d’Angers et son territoire, la référence européenne en matière d’Internet des Objets (IoT), c'est-à-dire obtenir une place qui compte dans l’électronique mondiale, pour créer une vraie valeur économique et des emplois dans cette filière prometteuse.
Cette nouvelle entité se fixe également pour objectif d’accélérer les actions de développement en région et dans le monde, tout en stimulant les initiatives comme les expérimentations Smart City de la Plateforme d’Aménagement de la Ville Intelligente et Connectée (PAVIC) qui fait de la ville un laboratoire pour les entreprises de l’IoT et, de la Connected Week dont la première édition avait lieu cette année en marge du WEF.
Michel Perrinet a appelé tous les acteurs économiques, les chefs d’entreprises et créateurs de startups, présent à cette présentation, à devenir des « Fox’Partners », le renard rusé étant l’emblème d’Angers French Tech. Un symbole remis en cause par Pascal Cagni, le président de Business France et angevin d’adoption qui aimerait bien que les différents territoires adoptent un seul emblème, le coq de French Tech France, « pour avoir une visibilité collective à l’international, tout en déclinant le symbole national, sans passer par un véritable bestiaire ».
Un avis personnel qui n’est pas partagé par Mounir Mahjoubi, le Secrétaire d’État au numérique qui se réjouit de l’initiative angevine. « Nous avons un seul objectif, c’est de faire de la France une grande région du numérique, avec nos valeurs en matière de performance et d’humanité. On doit être capable de faire ce qui ne se fait pas ailleurs. Il ne faut pas chercher à se comparer à la côte ouest Américaine, ils auront toujours plus d’argent et seront toujours plus nombreux ».
Et de poursuivre : « Il faut le faire à la française de façon territoriale et locale. L’enjeu d’Angers c’est de savoir comment vous devenez la plateforme industrielle de l’électronique et de l’IoT, de l’Europe. Il y un sujet sur l’étendard, mais j’aime bien le renard, mais ce n’est pas l’essentiel pour se positionner à l’international ».
Au-delà des beaux discours et des ambitions, reste à trouver un lieu facilement identifiable en centre-ville, voire emblématique et fédérateur. « Ce lieu doit pouvoir accueillir les startups, disposer d’un espace de coworking, d’une communauté d’entrepreneurs, toutes les initiatives de l’écosystème qui libèrent les énergies collectives », déclarait à son tour Christophe Béchu, le maire d’Angers et président de la métropole urbaine. « J’ai pensé aux locaux vacants de la Poste centrale, Rue Franklin, à deux pas de la place du Ralliement », tout un symbole pour cet imposant bâtiment du siècle dernier sur lequel on peut lire sur le fronton : « le Nouveau Monde », soulignait le maire.
Cette création se concrétisera également par la poursuite du développement de 18 chaires académiques de recherche et d’enseignement avec établissements universitaires et les grandes écoles d’Angers.
Au premier rang, le Secrétaire d’État au Numérique, Mounir Mahjoubi , qui a passé la nuit à Angers, David Monteau, directeur de la French Tech Nationale, Pascal Cagni, président de Business France, Ludocic Le Moan, CEO de Sigfox, Eric Grellier, président de la CCI de Maine-et-Loire, quoique déjà au courant, étaient suspendus aux lèvres de Michel Perrinet.
« En passant du statut de collectif à celui de coopérative comme nous vous le proposons nous devons adopter cette attitude de jeune pousse en s’appuyant sur ce que nous avons fait depuis deux ans, c'est-à-dire réunir toutes les énergies pour une vision commune du développement du numérique autour de l’IoT », poursuivait le Délégué Territorial.
Le collectif Angers French Tech, dont personne, à part les initiés, n’était vraiment en mesure de connaître les objectifs, va donc adopter une entité juridique qui lui permettra « de porter plus efficacement les projets stratégiques de l’écosystème numérique et démultiplier ses actions », précise Michel Perrinet en ajoutant que cette structure qui prendra la forme d’une SCIC (Société Coopérative d’Intérêt collectif), se concrétisera avant la fin de l’année. « J’appelle toutes les personnes à s’impliquer dans l’écosystème de « Smart World » à nous rejoindre dès maintenant, en devenant membres de notre coopérative, selon le principe d’un homme, une voix ».
Si le montant de la part est relativement ouvert – Michel Perrinet évoquant des montants allant de 100 à plus de 10 000 € -, l’objectif est désormais clair puisqu’il s’agit de faire d’Angers et son territoire, la référence européenne en matière d’Internet des Objets (IoT), c'est-à-dire obtenir une place qui compte dans l’électronique mondiale, pour créer une vraie valeur économique et des emplois dans cette filière prometteuse.
« L’enjeu d’Angers c’est de savoir comment vous devenez la plateforme industrielle de l’électronique et de l’IoT, de l’Europe » - Mounir Mahjoubi
Cette nouvelle entité se fixe également pour objectif d’accélérer les actions de développement en région et dans le monde, tout en stimulant les initiatives comme les expérimentations Smart City de la Plateforme d’Aménagement de la Ville Intelligente et Connectée (PAVIC) qui fait de la ville un laboratoire pour les entreprises de l’IoT et, de la Connected Week dont la première édition avait lieu cette année en marge du WEF.
Michel Perrinet a appelé tous les acteurs économiques, les chefs d’entreprises et créateurs de startups, présent à cette présentation, à devenir des « Fox’Partners », le renard rusé étant l’emblème d’Angers French Tech. Un symbole remis en cause par Pascal Cagni, le président de Business France et angevin d’adoption qui aimerait bien que les différents territoires adoptent un seul emblème, le coq de French Tech France, « pour avoir une visibilité collective à l’international, tout en déclinant le symbole national, sans passer par un véritable bestiaire ».
Un avis personnel qui n’est pas partagé par Mounir Mahjoubi, le Secrétaire d’État au numérique qui se réjouit de l’initiative angevine. « Nous avons un seul objectif, c’est de faire de la France une grande région du numérique, avec nos valeurs en matière de performance et d’humanité. On doit être capable de faire ce qui ne se fait pas ailleurs. Il ne faut pas chercher à se comparer à la côte ouest Américaine, ils auront toujours plus d’argent et seront toujours plus nombreux ».
Et de poursuivre : « Il faut le faire à la française de façon territoriale et locale. L’enjeu d’Angers c’est de savoir comment vous devenez la plateforme industrielle de l’électronique et de l’IoT, de l’Europe. Il y un sujet sur l’étendard, mais j’aime bien le renard, mais ce n’est pas l’essentiel pour se positionner à l’international ».
Au-delà des beaux discours et des ambitions, reste à trouver un lieu facilement identifiable en centre-ville, voire emblématique et fédérateur. « Ce lieu doit pouvoir accueillir les startups, disposer d’un espace de coworking, d’une communauté d’entrepreneurs, toutes les initiatives de l’écosystème qui libèrent les énergies collectives », déclarait à son tour Christophe Béchu, le maire d’Angers et président de la métropole urbaine. « J’ai pensé aux locaux vacants de la Poste centrale, Rue Franklin, à deux pas de la place du Ralliement », tout un symbole pour cet imposant bâtiment du siècle dernier sur lequel on peut lire sur le fronton : « le Nouveau Monde », soulignait le maire.
Cette création se concrétisera également par la poursuite du développement de 18 chaires académiques de recherche et d’enseignement avec établissements universitaires et les grandes écoles d’Angers.
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