Grace à sa grille d'évaluation, l'application propose les produits qui correspondent aux souhaits des consommateurs.
Nous avons déjà eu l’occasion de présenter dans nos colonnes (voir ICI) l’application MyLabel, laquelle s’est fixée pour objectif d’informer, éduquer, sans pour autant culpabiliser les consommateurs, grâce à une grille de critères de consommation fixés par l'utilisateur. Dans le cadre de sa démarche les développeurs de cette application ont observé que « la juste rémunération des agriculteurs est un critère de plus en plus sélectionné par les utilisateurs de l’application ». C’est le critère qui affiche la plus forte croissance. « Le critère de la juste rémunération des agriculteurs a eu la plus forte croissance, en passant de 34% à 41% des utilisateurs priorisant ce critère », poursuivent les concepteurs de MyLabel.
Pour faire évoluer son application et aller dans ce sens, les concepteurs se sont rapprochés de « FAIR[e] un monde équitable », Mouvement national de citoyens engagés dans une démarche de commerce équitable et une consommation plus responsable et « Agri-Ethique France », acteur majeur du commerce équitable qui a pour vocation à rassembler les professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire et les encourager à évoluer vers de nouvelles pratiques plus équitables.
De toute évidence les consommateurs plébiscitent le commerce équitable, ils seraient même 81% à privilégier une consommation responsable et 59% affichent leur volonté de permettre aux producteurs de vivre de leur travail, selon le dernier baromètre de la transition alimentaire de l'un des principaux acteurs du commerce équitable : Max Havelaar. Une large majorité (91%) pense qu’une meilleure rémunération des agriculteurs conduit à plus de durabilité. C’est même un moyen essentiel de préserver la planète pour 86% d’entre-eux.
« Cet engouement s’explique, entre autres, par la prise de parole des agriculteurs français sur leurs conditions de vie, l’explication des impacts de notre consommation par des associations comme la nôtre, mais aussi l’engagement d’acteurs économiques pour identifier les produits qui offrent de réelles garanties et développer un commerce équitable », explique Estelle Dubreuil, coordinatrice nationale de FAIR[e] un monde équitable. Selon cette dernière des applications comme MyLabel contribuent à cette prise de conscience.
Mais de plus en plus de marque de l’agro-alimentaire et de la grande distribution saisissent l’opportunité de cette prise de conscience des consommateurs pour proposer des produits où le critère d’authenticité est avant tout une opération de marketing. Il apparait donc difficile pour les consommateurs de se retrouver dans la jungle des produits alimentaires et détecter ceux qui ont une véritable démarche éthique vis-à-vis des agriculteurs qui les produisent.
Le mouvement FAIR[e] un monde équitable propose un guide « Se repérer dans la jungle des labels » qui analyse les démarches pour identifier celles qui apportent de réelles garanties économiques, sociales, environnementales et de gouvernance, pour aider les consommateurs à s’y retrouver plus facilement et ne pas se laisser berner par des marques qui pratiquent « l’Ethic washing », pour augmenter leur espace de profit.
De son côté le label Agri-Ethique France, qui regroupe 1361 agriculteurs et 11 industriels, garantit aux agriculteurs français un revenu juste et rémunérateur grâce à un prix sécurisé. Il l’emploi local et accompagne les producteurs dans la mise en place de pratiques respectueuses de l’environnement et du bien-être animal.
En s’associant, ces trois labels mettent à profit leur complémentarité pour agir en faveur d’une juste rémunération des agriculteurs.
En scannant les produits lors de leurs achats avec l’application MyLabel, les consommateurs dont donc informés, grâce aux évaluations de FAIR[e] un monde équitable et Agri-Ethique. « Les Français deviennent acteurs d’un cercle vertueux : ils agissent sur leur consommation et influencent les marques pour faire évoluer les pratiques au bénéfice des agriculteurs français », concluent les concepteurs de l’application.
Ceux qui se rendent au salon de l’Agriculture qui se tient porte de Versailles à Paris, du 22 février au 1er mars, peuvent rencontrer les concepteurs de cette application gratuite sur le stand d’Agri-Ethique (Hall 4, stand D120).
Pour faire évoluer son application et aller dans ce sens, les concepteurs se sont rapprochés de « FAIR[e] un monde équitable », Mouvement national de citoyens engagés dans une démarche de commerce équitable et une consommation plus responsable et « Agri-Ethique France », acteur majeur du commerce équitable qui a pour vocation à rassembler les professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire et les encourager à évoluer vers de nouvelles pratiques plus équitables.
De toute évidence les consommateurs plébiscitent le commerce équitable, ils seraient même 81% à privilégier une consommation responsable et 59% affichent leur volonté de permettre aux producteurs de vivre de leur travail, selon le dernier baromètre de la transition alimentaire de l'un des principaux acteurs du commerce équitable : Max Havelaar. Une large majorité (91%) pense qu’une meilleure rémunération des agriculteurs conduit à plus de durabilité. C’est même un moyen essentiel de préserver la planète pour 86% d’entre-eux.
« Cet engouement s’explique, entre autres, par la prise de parole des agriculteurs français sur leurs conditions de vie, l’explication des impacts de notre consommation par des associations comme la nôtre, mais aussi l’engagement d’acteurs économiques pour identifier les produits qui offrent de réelles garanties et développer un commerce équitable », explique Estelle Dubreuil, coordinatrice nationale de FAIR[e] un monde équitable. Selon cette dernière des applications comme MyLabel contribuent à cette prise de conscience.
« Les Français deviennent acteurs d’un cercle vertueux : ils agissent sur leur consommation et influencent les marques pour faire évoluer les pratiques au bénéfice des agriculteurs français »
Mais de plus en plus de marque de l’agro-alimentaire et de la grande distribution saisissent l’opportunité de cette prise de conscience des consommateurs pour proposer des produits où le critère d’authenticité est avant tout une opération de marketing. Il apparait donc difficile pour les consommateurs de se retrouver dans la jungle des produits alimentaires et détecter ceux qui ont une véritable démarche éthique vis-à-vis des agriculteurs qui les produisent.
Le mouvement FAIR[e] un monde équitable propose un guide « Se repérer dans la jungle des labels » qui analyse les démarches pour identifier celles qui apportent de réelles garanties économiques, sociales, environnementales et de gouvernance, pour aider les consommateurs à s’y retrouver plus facilement et ne pas se laisser berner par des marques qui pratiquent « l’Ethic washing », pour augmenter leur espace de profit.
De son côté le label Agri-Ethique France, qui regroupe 1361 agriculteurs et 11 industriels, garantit aux agriculteurs français un revenu juste et rémunérateur grâce à un prix sécurisé. Il l’emploi local et accompagne les producteurs dans la mise en place de pratiques respectueuses de l’environnement et du bien-être animal.
En s’associant, ces trois labels mettent à profit leur complémentarité pour agir en faveur d’une juste rémunération des agriculteurs.
En scannant les produits lors de leurs achats avec l’application MyLabel, les consommateurs dont donc informés, grâce aux évaluations de FAIR[e] un monde équitable et Agri-Ethique. « Les Français deviennent acteurs d’un cercle vertueux : ils agissent sur leur consommation et influencent les marques pour faire évoluer les pratiques au bénéfice des agriculteurs français », concluent les concepteurs de l’application.
Ceux qui se rendent au salon de l’Agriculture qui se tient porte de Versailles à Paris, du 22 février au 1er mars, peuvent rencontrer les concepteurs de cette application gratuite sur le stand d’Agri-Ethique (Hall 4, stand D120).