La télésurveillance, de plus en plus utilisée dans nos villes (photo d'archive Adobe Stock)
Au-delà des technologies déployées, les collectivités ont désormais la possibilité d’améliorer la qualité de vie.Il ne suffit toutefois pas d’adopter les dernières technologies et de truffer une ville de capteurs connectés pour en faire une Smart City. La démarche doit avoir un but bien précis et répondre à des besoins d’amélioration de la qualité de vie, afin d’attirer sur le territoire de nouvelles entreprises et de nouveaux citoyens.
Les villes ont longtemps abordé ce besoin principalement en luttant contre l’insécurité. Mais aujourd’hui, pour rester attractives, elles doivent également faciliter la vie et réduire le niveau de stress des habitants. La sécurité publique fait bien entendu toujours partie des préoccupations ; s’y ajoutent d’autres attentes, comme l’amélioration des services de transport, les facilités de stationnement ou encore les niveaux de pollution.
Les villes ont longtemps abordé ce besoin principalement en luttant contre l’insécurité. Mais aujourd’hui, pour rester attractives, elles doivent également faciliter la vie et réduire le niveau de stress des habitants. La sécurité publique fait bien entendu toujours partie des préoccupations ; s’y ajoutent d’autres attentes, comme l’amélioration des services de transport, les facilités de stationnement ou encore les niveaux de pollution.
La véritable intelligence de la Smart City
Grâce aux initiatives d’innovation et aux avancées technologiques de ces dernières années, de nombreuses solutions sont désormais disponibles pour répondre à chacun de ces angles d’amélioration. La ville intelligente s’équipe donc aujourd’hui de milliers de capteurs, chacun visant une facette de la qualité de vie des habitants.
Mais pour les villes qui les déploient, ces technologies s’accompagnent bien souvent d’une multiplication des systèmes pour les exploiter. En résultent des processus en silos, où chaque donnée est analysée séparément. Ces technologies isolées ne peuvent pas rendre une ville plus intelligente. Pour ce faire, les données doivent être collectées et analysées en corrélation les unes avec les autres, au sein d’un système intégré ou – mieux – unifié. Ce n’est qu’ainsi qu’elles montreront leur réelle valeur.
Mais pour les villes qui les déploient, ces technologies s’accompagnent bien souvent d’une multiplication des systèmes pour les exploiter. En résultent des processus en silos, où chaque donnée est analysée séparément. Ces technologies isolées ne peuvent pas rendre une ville plus intelligente. Pour ce faire, les données doivent être collectées et analysées en corrélation les unes avec les autres, au sein d’un système intégré ou – mieux – unifié. Ce n’est qu’ainsi qu’elles montreront leur réelle valeur.
Les bénéfices d’un système fédérateur
De nombreux acteurs sont capables de répondre avec précision à un besoin spécifique de la Smart City, que cela soit en termes de parking, de qualité de l’air, de gestion des bâtiments, etc. Mais à l’heure d’intégrer tous ces systèmes afin de gagner en visibilité et en pertinence, peu sont en mesure d’aller plus loin que leur seule solution.
Les systèmes de sécurité physique à architecture ouverte s’imposent ici naturellement comme un système central et fédérateur, capable d’aller chercher, d’analyser et de mettre en corrélation les données de toutes sortes de capteurs dans la ville. Par la nature de leur mission, ils ont en effet d’ores et déjà cartographié l’ensemble de la ville ; et parce qu’ils sont ouverts, ils sont également en mesure de prendre en charge une large gamme de technologies tierces.
Prenons l’exemple de la gestion de trafic. Les capteurs dédiés peuvent être couplés aux caméras de vidéoprotection et à l’analyse vidéo. Les causes d’un ralentissement peuvent ainsi plus facilement être identifiées et les premiers secours être plus rapidement prévenus. En y intégrant également la gestion des panneaux de signalisation, les automobilistes peuvent être prévenus d’un incident en quasi temps-réel et des itinéraires alternatifs peuvent leur être proposés.
La gestion de la qualité de l’air peut également en bénéficier. En intégrant les capteurs de présence de particules polluantes ou explosives dans l’air et en définissant des seuils d’alerte, des événements spécifiques peuvent être déclenchés dans la solution de sécurité physique, comme la diffusion d’alertes pollution. Les données collectées et analysées peuvent ainsi servir pour des prises de décision immédiates, mais également à alimenter des plans d’urbanisation plus larges pour améliorer la qualité de vie dans la ville aujourd’hui et demain.
La gestion énergétique des bâtiments est encore un autre aspect de la Smart City qui peut bénéficier des données de sécurité physique. La gestion de la température intérieure, par exemple, peut être améliorée en la couplant au contrôle d’accès ou à la gestion vidéo. En adaptant la température en fonction de la présence ou de l’absence d’employés dans les bâtiments, la ville peut ainsi optimiser sa consommation énergétique et réduire son impact sur le climat.
Les exemples sont encore très nombreux. Pour la Smart City, l’exploitation plus intelligente des données des capteurs, c’est-à-dire en corrélation les unes avec les autres et non en silos, permet d’atteindre des niveaux inédits de qualité de vie, de service rendu aux habitants et donc d’attractivité. Parce qu’ils sont compatibles avec un grand nombre de technologies tierces, les systèmes de sécurité physique à architecture ouverte représentent la meilleure façon d’y parvenir.
Les systèmes de sécurité physique à architecture ouverte s’imposent ici naturellement comme un système central et fédérateur, capable d’aller chercher, d’analyser et de mettre en corrélation les données de toutes sortes de capteurs dans la ville. Par la nature de leur mission, ils ont en effet d’ores et déjà cartographié l’ensemble de la ville ; et parce qu’ils sont ouverts, ils sont également en mesure de prendre en charge une large gamme de technologies tierces.
Prenons l’exemple de la gestion de trafic. Les capteurs dédiés peuvent être couplés aux caméras de vidéoprotection et à l’analyse vidéo. Les causes d’un ralentissement peuvent ainsi plus facilement être identifiées et les premiers secours être plus rapidement prévenus. En y intégrant également la gestion des panneaux de signalisation, les automobilistes peuvent être prévenus d’un incident en quasi temps-réel et des itinéraires alternatifs peuvent leur être proposés.
La gestion de la qualité de l’air peut également en bénéficier. En intégrant les capteurs de présence de particules polluantes ou explosives dans l’air et en définissant des seuils d’alerte, des événements spécifiques peuvent être déclenchés dans la solution de sécurité physique, comme la diffusion d’alertes pollution. Les données collectées et analysées peuvent ainsi servir pour des prises de décision immédiates, mais également à alimenter des plans d’urbanisation plus larges pour améliorer la qualité de vie dans la ville aujourd’hui et demain.
La gestion énergétique des bâtiments est encore un autre aspect de la Smart City qui peut bénéficier des données de sécurité physique. La gestion de la température intérieure, par exemple, peut être améliorée en la couplant au contrôle d’accès ou à la gestion vidéo. En adaptant la température en fonction de la présence ou de l’absence d’employés dans les bâtiments, la ville peut ainsi optimiser sa consommation énergétique et réduire son impact sur le climat.
Les exemples sont encore très nombreux. Pour la Smart City, l’exploitation plus intelligente des données des capteurs, c’est-à-dire en corrélation les unes avec les autres et non en silos, permet d’atteindre des niveaux inédits de qualité de vie, de service rendu aux habitants et donc d’attractivité. Parce qu’ils sont compatibles avec un grand nombre de technologies tierces, les systèmes de sécurité physique à architecture ouverte représentent la meilleure façon d’y parvenir.
Tribune proposée par Guillaume CHARON
Sté Genetec
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