la ville moderne technologique, connectée, est-elle pour autant une smart city ? (photo LDD Pixabay)
Qu’on se le dise, le territoire du futur, tel que nous pouvons encore l’imaginer, ne naitra pas tout seul. Il découlera de l’emploi que nous ferons des technologies innovantes mais également de notre prise de conscience sur l’importance de l’humain dans la réflexion pour repenser nos territoires.
Ce territoire intelligent tire son origine dans le concept « smart city » omniprésent dans l’industrie du bâtiment, l’urbanisme, les nouveaux médias et également dans le quotidien des citoyens.
De l’anglais intelligent, ingénieux, « smart », appliqué à une cité, est très souvent utilisé pour ce qui se calcule, se connecte et se pilote à distance par le biais d’un ordinateur. Tout a commencé par des systèmes, puis des structures et maintenant ce sont les territoires qui deviennent « smart ».
Au travers des âges nous avons pu constater que la notion de territoire fascine de plus en plus nos concitoyens. « La smart city » est devenue un lieu idéal où chacun se sent obligé de regarder plus loin que le bout de son nez.
Mais l’enjeu auquel nous devons répondre aujourd’hui est double.
En maitrisant le numérique et l’innovation, qui permettront de construire ce territoire durable, l’enjeu auquel nous devons répondre est double, sachant que ces deux outils s’inscrivent complètement dans le développement urbain et économique. Mais comment trouver l’intelligence qui favorisera l’épanouissement des citoyens sur un territoire ?
La toute première réponse, pourrait être « dans la technologie ». Mais de toute évidence, les technologies ne résoudront pas les problèmes énergétiques, environnementaux et sociaux auxquels nous sommes confrontés. La technologie est juste un outil sur lequel nous pourrons poser les jalons des autres solutions. Partant de ce principe on pourrait prendre en exemple un réseau électrique intelligent appliqué à un ensemble de bâtiments pour transformer un lieu d’habitation en producteur d’énergie.
Les technologies de l’information et de la communication (TIC), nous permettront, c’est certain, d’utiliser nos ressources de manière plus efficace et d’administrer nos territoires de façon plus transparente.
Mais si chacun est convaincu que le territoire du futur sera un lieu piloté par les nouvelles technologies, mais pour moi qui rédige cette chronique, l’humain devra rester au cœur de nos préoccupations. Et, pour fonctionner et être accepté, ce « nouveau » monde connecté devra lui être propice. C’est l’idée, et j’espère qu’elle est partagée, du citoyen moderne que je suis.
Par Tony Canadas
Ce territoire intelligent tire son origine dans le concept « smart city » omniprésent dans l’industrie du bâtiment, l’urbanisme, les nouveaux médias et également dans le quotidien des citoyens.
De l’anglais intelligent, ingénieux, « smart », appliqué à une cité, est très souvent utilisé pour ce qui se calcule, se connecte et se pilote à distance par le biais d’un ordinateur. Tout a commencé par des systèmes, puis des structures et maintenant ce sont les territoires qui deviennent « smart ».
Au travers des âges nous avons pu constater que la notion de territoire fascine de plus en plus nos concitoyens. « La smart city » est devenue un lieu idéal où chacun se sent obligé de regarder plus loin que le bout de son nez.
Mais l’enjeu auquel nous devons répondre aujourd’hui est double.
En maitrisant le numérique et l’innovation, qui permettront de construire ce territoire durable, l’enjeu auquel nous devons répondre est double, sachant que ces deux outils s’inscrivent complètement dans le développement urbain et économique. Mais comment trouver l’intelligence qui favorisera l’épanouissement des citoyens sur un territoire ?
La toute première réponse, pourrait être « dans la technologie ». Mais de toute évidence, les technologies ne résoudront pas les problèmes énergétiques, environnementaux et sociaux auxquels nous sommes confrontés. La technologie est juste un outil sur lequel nous pourrons poser les jalons des autres solutions. Partant de ce principe on pourrait prendre en exemple un réseau électrique intelligent appliqué à un ensemble de bâtiments pour transformer un lieu d’habitation en producteur d’énergie.
Les technologies de l’information et de la communication (TIC), nous permettront, c’est certain, d’utiliser nos ressources de manière plus efficace et d’administrer nos territoires de façon plus transparente.
Mais si chacun est convaincu que le territoire du futur sera un lieu piloté par les nouvelles technologies, mais pour moi qui rédige cette chronique, l’humain devra rester au cœur de nos préoccupations. Et, pour fonctionner et être accepté, ce « nouveau » monde connecté devra lui être propice. C’est l’idée, et j’espère qu’elle est partagée, du citoyen moderne que je suis.
Par Tony Canadas