En deux clics trouvez le médecin conventionné le plus proche de chez-vous.
Une fièvre soudaine et une impossibilité de se déplacer pour des raisons diverses. Votre médecin au carnet de rendez-vous bien rempli qui ne peut pas vous prendre de suite. C’est de suite l’angoisse. Une tentation soudaine d’appeler les urgences du service hospitalier le plus proche au risque de se faire mettre en attente, le problème médical auquel vous devez faire face n’étant pas vital.
« Que se passe-t-il quand nous prenons un rendez-vous avec notre médecin traitant », questionnent Charles et Elie Dan Mimouni, co-fondateurs de Medadom. « Souvent il est impossible d’obtenir un rendez-vous dans la journée. Surchargés, les médecins ne peuvent pas toujours répondre à la demander rapidement ». D’autant qu’ils doivent faire face à une population vieillissante en augmentation et qui ne peux pas toujours se déplacer facilement, mais aussi aux obligations familiales et professionnelles des patients plus jeunes. « Des situations qui entraînent du stress pour les malades », analysent les concepteurs de l’application.
Et pourtant les premiers contacts sont les plus importants, car ils rassurent le patient. Alors pourquoi ne pas se saisir de son smartphone et « commander » une visite dans les 90 minutes, presque comme on commanderait un véhicule sur Uber. D’ailleurs l’application y ressemble. Pour le malade c’est la possibilité d’obtenir les premiers soins à la demande et en quelques clics, après avoir répondu aux questions d’usage.
« Les médecins sont de plus nomades et peu d’entre-eux décident à s’installer. Nous avons donc créé Medadom pour faciliter la consultation entre le médecin et le patient et permettre à ce dernier d’obtenir une consultation avec un médecin conventionné en moins de 90 minutes, 24h sur 24 et 7 jours sur 7 », explique Charles Mimouni, co-fondateur de Medadom. « Un système gagnant – gagnant pour le bien-être de tous ».
Pour les concepteurs, cette application géolocalisée qui permet de mettre rapidement un patient en relation avec un médecin, répond à deux constats : il est difficile d’obtenir rapidement une consultation et de ce fait 59 % des patients renoncent aux soins ; pour un jeune médecin, il est très difficile de s’installer. 25% des jeunes diplômés en médecine renonceraient à s’inscrire auprès du Conseil de l’Ordre. Une situation que connaît bien Elie Dan Mimouni puisqu’il est étudiant en sixième année de médecine à Paris.
« Et la demande est grandissante face à un désert médical en expansion », appuie les concepteurs de l’application. « Medadom est une solution qui permet un véritable changement dans la prise en charge des premiers soins ».
Concrètement comment ça fonctionne. Il suffit d’installer l’application sur votre smartphone et de vous inscrire. Une fois connecté, l’application demande s’il s’agit d’un adulte ou d’un enfant et propose également un contact avec un pédiatre, un infirmier-e ou un kiné. L’application demande ensuite s’il s’agit d’une urgence vitale, rappelant au passage que ce type d’urgence n’est pas pris en compte par Medadom. Le patient est amené à décrire le motif de sa demande et l’application recherche le médecin le plus proche, susceptible de répondre à la demande.
Coté médecin, si celui-ci est inscrit auprès de Medadom, il reçoit la demande d’un patient et doit accepter la visite. Il appelle ensuite le malade pour jauger de l’importance des soins. Seule contrainte : le médecin a 90 minutes pour se rendre au chevet du malade. Il se fera régler de sa consultation sur place comme tout médecin conventionné. Les médecins inscrits s’acquittent ensuite de frais fixes de mise en relation auprès de Synapse SAS, la société qui gère l'application.
« Cela permet au médecin de pouvoir exercer son métier tout en gardant sa vocation première d’être utile aux autres et de soigner », soulignent les concepteurs de l’application.
Pour l’instant l’application est en test dans XVIIe arrondissement de Paris, à Neuilly-sur-Seine (92) et à Levallois-Perret (92). Cette phase pilote devrait permettre aux créateurs de la déployer progressivement sur l’ensemble de la région parisienne. Ensuite, ils ambitionnent de la développer sur l’ensemble du territoire français et permettre peut-être de couvrir les déserts médicaux.
Pour en savoir plus : www.medadom.com
« Que se passe-t-il quand nous prenons un rendez-vous avec notre médecin traitant », questionnent Charles et Elie Dan Mimouni, co-fondateurs de Medadom. « Souvent il est impossible d’obtenir un rendez-vous dans la journée. Surchargés, les médecins ne peuvent pas toujours répondre à la demander rapidement ». D’autant qu’ils doivent faire face à une population vieillissante en augmentation et qui ne peux pas toujours se déplacer facilement, mais aussi aux obligations familiales et professionnelles des patients plus jeunes. « Des situations qui entraînent du stress pour les malades », analysent les concepteurs de l’application.
Et pourtant les premiers contacts sont les plus importants, car ils rassurent le patient. Alors pourquoi ne pas se saisir de son smartphone et « commander » une visite dans les 90 minutes, presque comme on commanderait un véhicule sur Uber. D’ailleurs l’application y ressemble. Pour le malade c’est la possibilité d’obtenir les premiers soins à la demande et en quelques clics, après avoir répondu aux questions d’usage.
« Les médecins sont de plus nomades et peu d’entre-eux décident à s’installer. Nous avons donc créé Medadom pour faciliter la consultation entre le médecin et le patient et permettre à ce dernier d’obtenir une consultation avec un médecin conventionné en moins de 90 minutes, 24h sur 24 et 7 jours sur 7 », explique Charles Mimouni, co-fondateur de Medadom. « Un système gagnant – gagnant pour le bien-être de tous ».
« Medadom est une solution qui permet un véritable changement dans la prise en charge des premiers soins ».
Pour les concepteurs, cette application géolocalisée qui permet de mettre rapidement un patient en relation avec un médecin, répond à deux constats : il est difficile d’obtenir rapidement une consultation et de ce fait 59 % des patients renoncent aux soins ; pour un jeune médecin, il est très difficile de s’installer. 25% des jeunes diplômés en médecine renonceraient à s’inscrire auprès du Conseil de l’Ordre. Une situation que connaît bien Elie Dan Mimouni puisqu’il est étudiant en sixième année de médecine à Paris.
« Et la demande est grandissante face à un désert médical en expansion », appuie les concepteurs de l’application. « Medadom est une solution qui permet un véritable changement dans la prise en charge des premiers soins ».
Concrètement comment ça fonctionne. Il suffit d’installer l’application sur votre smartphone et de vous inscrire. Une fois connecté, l’application demande s’il s’agit d’un adulte ou d’un enfant et propose également un contact avec un pédiatre, un infirmier-e ou un kiné. L’application demande ensuite s’il s’agit d’une urgence vitale, rappelant au passage que ce type d’urgence n’est pas pris en compte par Medadom. Le patient est amené à décrire le motif de sa demande et l’application recherche le médecin le plus proche, susceptible de répondre à la demande.
Coté médecin, si celui-ci est inscrit auprès de Medadom, il reçoit la demande d’un patient et doit accepter la visite. Il appelle ensuite le malade pour jauger de l’importance des soins. Seule contrainte : le médecin a 90 minutes pour se rendre au chevet du malade. Il se fera régler de sa consultation sur place comme tout médecin conventionné. Les médecins inscrits s’acquittent ensuite de frais fixes de mise en relation auprès de Synapse SAS, la société qui gère l'application.
« Cela permet au médecin de pouvoir exercer son métier tout en gardant sa vocation première d’être utile aux autres et de soigner », soulignent les concepteurs de l’application.
Pour l’instant l’application est en test dans XVIIe arrondissement de Paris, à Neuilly-sur-Seine (92) et à Levallois-Perret (92). Cette phase pilote devrait permettre aux créateurs de la déployer progressivement sur l’ensemble de la région parisienne. Ensuite, ils ambitionnent de la développer sur l’ensemble du territoire français et permettre peut-être de couvrir les déserts médicaux.
Pour en savoir plus : www.medadom.com