Le boitier Uvo Care proposé par la société montpelliéraine T Zic. (photo extraite de la vidéo de présentation)
Contrairement à une idée reçue, les masques chirurgicaux utilisés pour se protéger de la propagation du dernier Coronavirus, ne sont pas forcément jetables après 4h d’utilisation. D’autant que leur coût commence à peser sur les ménages comme sur les finances des entreprises et collectivités qui les fournissent à leur salariés et usagers des services publics.
C’est le magazine « Que Choisir » qui le premier avait indiqué qu’un masque type chirurgical conserve de très bonnes capacités de filtration après 10 lavages en machine à 60°. Fidèle à ses habitudes le magazine qui s’était appuyé sur des données scientifiques a réalisé des tests sur des masques achetés dans les grandes surfaces, afin de valider ses affirmations. Mais si cette solution permet aux ménages de réduire la dépense correspondante, le lavage de ces systèmes de protection est plus difficile à mettre en œuvre dans les entreprises et services publics (mairies, crèches, écoles, salles de sport…). Des solutions alternatives et toutes aussi efficaces sortent sur le marché à l’exemple du boitier innovant Uvo Care de la série Uvoji, développée par la startup françaises « T.zic » installée dans la région de Montpellier.
Ces boitiers qui utilisent des Leds à UV C, une technologie mondialement reconnue, efficace, éprouvée et maîtrisée, pour désinfecter les masques contaminés (chirurgicaux, coton, FFP2, FFP3) en 3 minutes, peuvent aussi servir pour la désinfection de petits objets du quotidien (crayons, clefs…).
Avec des performances validées par un laboratoire indépendant, notamment pour son efficacité sur le SARS-Cov2, ce boitier s’impose, selon la startup qui l’a conçu, comme une « solution simple, rapide pour les collectivités et entreprises dans leur gestion de la crise sanitaire ».
Conçu et assemblé en France, ce boitier démontre une réelle efficacité contre tous les virus existants et pas seulement le dernier Coronavirus. Il permet bien sûr de réduire le budget correspondant à l’achat des masques et lingettes désinfectantes, tout en protégeant l’environnement par le recours à l’usage unique de ces produits de protection et désinfection. « Le produit permet, notamment sur sa durée de vie, d’éviter le recours à l’équivalent de 4 terrains de football de lingettes », appuient ses concepteurs.
La mairie de Cannes (Alpes-Maritimes) est l’une des premières collectivités à faire l’acquisition d’une centaine de ces boitiers pour les installer dans ses services administratifs et techniques, dans les écoles, crèches, médiathèques, Hôtel de Ville et mairies annexes. Ces boitiers de désinfection rapide sont également mis à disposition de la population et des visiteurs.
« Ces différentes solutions technologiques ont pour objectif de désinfecter de façon plus efficace les locaux et matériels publics mais aussi d’apporter des solutions de protection supplémentaires à nos concitoyens en leur permettant de désinfecter leurs masques et objets qui les entourent au quotidien», se félicite le Maire de Cannes, David LISNARD.
La startup T.Zic, créée en 2016 et qui compte une vingtaine de salariés, possède déjà de solides références en la matière (Inserm, EDF, Dassault System, Aquavalley, Groupe Nepsen…) commercialise ses boitiers de désinfection sur son site web au prix de 399 € HT. Un second boitier est également proposé sur commande pour une plus grande puissance de désinfection, requise notamment pour les masques à fenêtre transparente.
C’est le magazine « Que Choisir » qui le premier avait indiqué qu’un masque type chirurgical conserve de très bonnes capacités de filtration après 10 lavages en machine à 60°. Fidèle à ses habitudes le magazine qui s’était appuyé sur des données scientifiques a réalisé des tests sur des masques achetés dans les grandes surfaces, afin de valider ses affirmations. Mais si cette solution permet aux ménages de réduire la dépense correspondante, le lavage de ces systèmes de protection est plus difficile à mettre en œuvre dans les entreprises et services publics (mairies, crèches, écoles, salles de sport…). Des solutions alternatives et toutes aussi efficaces sortent sur le marché à l’exemple du boitier innovant Uvo Care de la série Uvoji, développée par la startup françaises « T.zic » installée dans la région de Montpellier.
Ces boitiers qui utilisent des Leds à UV C, une technologie mondialement reconnue, efficace, éprouvée et maîtrisée, pour désinfecter les masques contaminés (chirurgicaux, coton, FFP2, FFP3) en 3 minutes, peuvent aussi servir pour la désinfection de petits objets du quotidien (crayons, clefs…).
Avec des performances validées par un laboratoire indépendant, notamment pour son efficacité sur le SARS-Cov2, ce boitier s’impose, selon la startup qui l’a conçu, comme une « solution simple, rapide pour les collectivités et entreprises dans leur gestion de la crise sanitaire ».
« Ces différentes solutions technologiques ont pour objectif de désinfecter de façon plus efficace les locaux et matériels publics mais aussi d’apporter des solutions de protection supplémentaires à nos concitoyens ».
Conçu et assemblé en France, ce boitier démontre une réelle efficacité contre tous les virus existants et pas seulement le dernier Coronavirus. Il permet bien sûr de réduire le budget correspondant à l’achat des masques et lingettes désinfectantes, tout en protégeant l’environnement par le recours à l’usage unique de ces produits de protection et désinfection. « Le produit permet, notamment sur sa durée de vie, d’éviter le recours à l’équivalent de 4 terrains de football de lingettes », appuient ses concepteurs.
La mairie de Cannes (Alpes-Maritimes) est l’une des premières collectivités à faire l’acquisition d’une centaine de ces boitiers pour les installer dans ses services administratifs et techniques, dans les écoles, crèches, médiathèques, Hôtel de Ville et mairies annexes. Ces boitiers de désinfection rapide sont également mis à disposition de la population et des visiteurs.
« Ces différentes solutions technologiques ont pour objectif de désinfecter de façon plus efficace les locaux et matériels publics mais aussi d’apporter des solutions de protection supplémentaires à nos concitoyens en leur permettant de désinfecter leurs masques et objets qui les entourent au quotidien», se félicite le Maire de Cannes, David LISNARD.
La startup T.Zic, créée en 2016 et qui compte une vingtaine de salariés, possède déjà de solides références en la matière (Inserm, EDF, Dassault System, Aquavalley, Groupe Nepsen…) commercialise ses boitiers de désinfection sur son site web au prix de 399 € HT. Un second boitier est également proposé sur commande pour une plus grande puissance de désinfection, requise notamment pour les masques à fenêtre transparente.