La fibre optique permet d'accélérer la mutation technologique des territoires et des entreprises (Photo Pixabay)
L’AMIF (Association des Maires d’Ile-de-France) qui regroupe élus locaux de Paris et sa région ainsi que des entreprises publiques et privées, est une structure qui permet , au travers de ses actions, de penser et construire le territoire de demain. C’est un véritable laboratoire d'idées, un réservoir de bonnes pratiques, un lieu d'échanges, de partage d'expérience et d'expertise.
Le dynamisme de cette association est insufflé par son Président, Stéphane Beaudet Maire de Courcouronnes (91) et Vice-président de la région Ile-de-France en charge des transports. C’est un élu à l’écoute de ses citoyens et très engagé sur le territoire.
Au cœur de des villes du Grand Paris, la révolution numérique n’est plus un vain mot et de plus en plus de territoires d’innovation urbaine revendiquent la notion de « territoire intelligent » dès lors que la dynamique de leur développement s’appuie sur une digitalisation accrue des modes de fonctionnement. En toute logique ce développement numérique devra permettre d’aboutir à une meilleure gestion du territoire grâce à la récupération rapide de données permettant, après analyse, d’en optimiser le fonctionnement.
Grace aux plateformes collaboratives qui utiliseront les données fournies par tout ce qui pourra capter de l’information, les principaux acteurs du territoire : citoyens, collectivités, entreprises, sont désormais alertés en temps réel sur les problèmes qu’ils peuvent rencontrer au quotidien.
C’est notamment le cas avec les problèmes de circulation, récurrents au sein de la mégalopole parisienne, avec la prise en compte en temps réel des problèmes de surcharge ou de de pollution de l’air, les accidents et incidents, les attentats, mais aussi les parcours touristiques, les problèmes d’énergie, de distribution des ressources…
En assurant une bonne gestion des informations, ces systèmes devront faciliter la prise de décision aux administrateurs des territoires et permettront ainsi, d’une part, d’améliorer les services existants et d’autre part, de rendre de nouveaux services à la collectivité : la télégestion de l’éclairage public avec son apport intelligent, vidéosurveillance, gestion des péages urbains, stationnement intelligent, alertes civiles, ou encore une meilleure gestion de notre économie. Basée sur la mutualisation de ressources, l’économie collaborative permettra d’optimiser les besoins.
Ces services permettront également de réduire notre consommation d’énergie que ce soit dans les déplacements ou dans notre habitat, mais aussi dans la gestion des ressources et des déchets. Dans un contexte financier très contraint, tant du côté des collectivités, que des entreprises et des ménages, chacun pourra y trouver son compte assez facilement.
Le territoire intelligent qui aboutira c’est celui qui aura réussi à se construire autour de ses habitants en prenant compte ses besoins. Prendre en compte la notion d’usage afin de déterminer la technologie la plus efficiente. Et celle-ci peut-être différente d’un territoire à l’autre.
Il apparaitra donc important de faire en sorte que la dématérialisation des décisions administratives qui s’imposera désormais dans ces communes du futur permette d’accélérer dans le même temps, sa prise de décision.
Le dynamisme de cette association est insufflé par son Président, Stéphane Beaudet Maire de Courcouronnes (91) et Vice-président de la région Ile-de-France en charge des transports. C’est un élu à l’écoute de ses citoyens et très engagé sur le territoire.
Au cœur de des villes du Grand Paris, la révolution numérique n’est plus un vain mot et de plus en plus de territoires d’innovation urbaine revendiquent la notion de « territoire intelligent » dès lors que la dynamique de leur développement s’appuie sur une digitalisation accrue des modes de fonctionnement. En toute logique ce développement numérique devra permettre d’aboutir à une meilleure gestion du territoire grâce à la récupération rapide de données permettant, après analyse, d’en optimiser le fonctionnement.
Grace aux plateformes collaboratives qui utiliseront les données fournies par tout ce qui pourra capter de l’information, les principaux acteurs du territoire : citoyens, collectivités, entreprises, sont désormais alertés en temps réel sur les problèmes qu’ils peuvent rencontrer au quotidien.
C’est notamment le cas avec les problèmes de circulation, récurrents au sein de la mégalopole parisienne, avec la prise en compte en temps réel des problèmes de surcharge ou de de pollution de l’air, les accidents et incidents, les attentats, mais aussi les parcours touristiques, les problèmes d’énergie, de distribution des ressources…
En assurant une bonne gestion des informations, ces systèmes devront faciliter la prise de décision aux administrateurs des territoires et permettront ainsi, d’une part, d’améliorer les services existants et d’autre part, de rendre de nouveaux services à la collectivité : la télégestion de l’éclairage public avec son apport intelligent, vidéosurveillance, gestion des péages urbains, stationnement intelligent, alertes civiles, ou encore une meilleure gestion de notre économie. Basée sur la mutualisation de ressources, l’économie collaborative permettra d’optimiser les besoins.
Ces services permettront également de réduire notre consommation d’énergie que ce soit dans les déplacements ou dans notre habitat, mais aussi dans la gestion des ressources et des déchets. Dans un contexte financier très contraint, tant du côté des collectivités, que des entreprises et des ménages, chacun pourra y trouver son compte assez facilement.
Le territoire intelligent qui aboutira c’est celui qui aura réussi à se construire autour de ses habitants en prenant compte ses besoins. Prendre en compte la notion d’usage afin de déterminer la technologie la plus efficiente. Et celle-ci peut-être différente d’un territoire à l’autre.
Il apparaitra donc important de faire en sorte que la dématérialisation des décisions administratives qui s’imposera désormais dans ces communes du futur permette d’accélérer dans le même temps, sa prise de décision.
La révolution digitale passe par la confiance, l’autonomie et la reconnaissance.
Nous pouvons également reproduire ce même schéma dans le monde de l’entreprise qui devra s’orienter de plus en plus vers la transformation digitale pour accroître ses performances, en développant communément l’expérience client et l’expérience collaborateur.
Les entreprises devront prendre ces deux virages pour faire face aux nouvelles révolutions digitales : IoT, impression 3D, smart data, Intelligence artificielle, blockchain… Mais pour réussir à se transformer, elles devront avant tout être plus efficaces en interne.
Le numérique sera en effet plus bénéfique pour les entreprises, il apportera de nouvelles méthodes de travail mais aussi de nouvelles réflexions avec une organisation plus fluide. Les collaborateurs devront apprendre à se familiariser avec le nouveau monde du digital qui devra forcement passer par un accompagnement.
Enfin, pour réussir sa transformation digitale, l’entreprise comme la collectivité le fera pour les usagers, devra considérer ses collaborateurs comme de véritables ambassadeurs, incarnant la marque, les valeurs, la notoriété et le respect. Pour cela elle devra faciliter leur épanouissement par la confiance, l’autonomie et la reconnaissance.
Nous parlons là d’un mode « collaboratif » et « agile » avec une organisation interne simplifiée. Pour illustrer mes propos je cite le groupe TDF, Opérateur d'infrastructures ( radio et TNT, couverture Très Haut Débit, mobile ou encore le déploiement de la fibre) neutre et ouvert, accompagnant, depuis plus de quatre décennies, les acteurs du numérique dans leurs enjeux stratégiques de connectivité, en Métropole comme en Outre-Mer.
L’opérateur TDF a pris le virage de la transformation digitale en travaillant avec des start-ups telle Coppelis, spécialisée dans les solutions digitales innovantes. Cette start-up accompagne les entreprises dans la transformation digitale et l’optimisation de leurs processus en mettant fin aux traitements manuels des donnés, aux partages des fichiers Excel et aux échanges d’information par mails. Les facteurs de succès d’une telle démarche reposeront notamment sur une gouvernance transparente et participative au sein de laquelle l’implication citoyenne devra être centrale.
Les entreprises devront prendre ces deux virages pour faire face aux nouvelles révolutions digitales : IoT, impression 3D, smart data, Intelligence artificielle, blockchain… Mais pour réussir à se transformer, elles devront avant tout être plus efficaces en interne.
Le numérique sera en effet plus bénéfique pour les entreprises, il apportera de nouvelles méthodes de travail mais aussi de nouvelles réflexions avec une organisation plus fluide. Les collaborateurs devront apprendre à se familiariser avec le nouveau monde du digital qui devra forcement passer par un accompagnement.
Enfin, pour réussir sa transformation digitale, l’entreprise comme la collectivité le fera pour les usagers, devra considérer ses collaborateurs comme de véritables ambassadeurs, incarnant la marque, les valeurs, la notoriété et le respect. Pour cela elle devra faciliter leur épanouissement par la confiance, l’autonomie et la reconnaissance.
Nous parlons là d’un mode « collaboratif » et « agile » avec une organisation interne simplifiée. Pour illustrer mes propos je cite le groupe TDF, Opérateur d'infrastructures ( radio et TNT, couverture Très Haut Débit, mobile ou encore le déploiement de la fibre) neutre et ouvert, accompagnant, depuis plus de quatre décennies, les acteurs du numérique dans leurs enjeux stratégiques de connectivité, en Métropole comme en Outre-Mer.
L’opérateur TDF a pris le virage de la transformation digitale en travaillant avec des start-ups telle Coppelis, spécialisée dans les solutions digitales innovantes. Cette start-up accompagne les entreprises dans la transformation digitale et l’optimisation de leurs processus en mettant fin aux traitements manuels des donnés, aux partages des fichiers Excel et aux échanges d’information par mails. Les facteurs de succès d’une telle démarche reposeront notamment sur une gouvernance transparente et participative au sein de laquelle l’implication citoyenne devra être centrale.