Montréal en été (photo Adobe Stock)
Fondée en 1919, l’Union des municipalités du Québec (UMQ) représente les municipalités des régions du Québec (Canada) quelle que soit leur taille. Aujourd’hui ses membres représentent plus de 85 % de la population et du territoire du Québec. Au quotidien l’équipe de l’UMQ travaille à la défense des intérêts de ses membres auprès des gouvernements et notamment celui du Canada, tout en offrant un éventail de services utiles aux municipalités et à leurs élus, dont des informations via ses publications, activités et formation.
C’est dans ce cadre que l’UMQ qui s’intéresse au sujet de la Ville Intelligente, via une commission spécialisée présidée par le maire de Shawinigan, Michel Angers, a lancé l’idée d’un outil pouvant aider les municipalités adhérentes dans leur long cheminement qui les conduit vers la ville ingénieuse, créative, innovante, inclusive… bref, vers la ville idéale où chacun se sent heureux de vivre.
Chez nos amis canadiens, l’idée de transformer les villes pour les rendre plus agréables à vivre n’est pas une nouveauté. Depuis 15 ans l’UMQ organise le « mérite Ovation municipale », lequel récompense les municipalités québécoises qui ont su mettre en place des solutions originales et innovantes qui répondent aux besoins de leur communauté.
« Une municipalité innove lorsque, dans la réalisation d’un projet destiné à améliorer la qualité de vie de ses citoyens ou les services qu’elle leur offre, à optimiser ses ressources humaines, matérielles ou financières, ou à répondre à de nouveaux enjeux, elle a su faire preuve de créativité et d’imagination », explique le président de l'UMQ et maire de Drummondville, Alexandre Cusson, sur le site de l'Union.
Parallèlement, le gouvernement Canadien a lancé en novembre 2017, un « Défi des villes intelligentes », richement doté, dont l’objectif est d’aider les municipalités de tout le pays à trouver des idées audacieuses et ambitieuses permettant d'améliorer la qualité de vie de leurs résidents grâce aux données et aux technologies connectées. Plus de 200 collectivités, grandes et petites, ont présenté un projet et le premier juin vingt finalistes, dont certains du Québec, ont été retenus. Les gagnants seront connus en mai 2019.
C’est dans ce cadre que l’UMQ qui s’intéresse au sujet de la Ville Intelligente, via une commission spécialisée présidée par le maire de Shawinigan, Michel Angers, a lancé l’idée d’un outil pouvant aider les municipalités adhérentes dans leur long cheminement qui les conduit vers la ville ingénieuse, créative, innovante, inclusive… bref, vers la ville idéale où chacun se sent heureux de vivre.
Chez nos amis canadiens, l’idée de transformer les villes pour les rendre plus agréables à vivre n’est pas une nouveauté. Depuis 15 ans l’UMQ organise le « mérite Ovation municipale », lequel récompense les municipalités québécoises qui ont su mettre en place des solutions originales et innovantes qui répondent aux besoins de leur communauté.
« Une municipalité innove lorsque, dans la réalisation d’un projet destiné à améliorer la qualité de vie de ses citoyens ou les services qu’elle leur offre, à optimiser ses ressources humaines, matérielles ou financières, ou à répondre à de nouveaux enjeux, elle a su faire preuve de créativité et d’imagination », explique le président de l'UMQ et maire de Drummondville, Alexandre Cusson, sur le site de l'Union.
Parallèlement, le gouvernement Canadien a lancé en novembre 2017, un « Défi des villes intelligentes », richement doté, dont l’objectif est d’aider les municipalités de tout le pays à trouver des idées audacieuses et ambitieuses permettant d'améliorer la qualité de vie de leurs résidents grâce aux données et aux technologies connectées. Plus de 200 collectivités, grandes et petites, ont présenté un projet et le premier juin vingt finalistes, dont certains du Québec, ont été retenus. Les gagnants seront connus en mai 2019.
Un outil d’aide à la réflexion stratégique
Pour les membres de l’UMQ, « une ville intelligente cherche à augmenter son attractivité en réduisant son empreinte écologique et en offrant une meilleure qualité de vie à travers la fluidité de ses services et une gouvernance partagée ».
Pour les élus concernés et notamment pour Michel Angers, président de la commission villes intelligentes « il ne s’agit pas uniquement d’une affaire de technologie, ni d’un concept réservé aux grandes villes. C’est une façon de repenser l’offre municipale de services de manière plus cohérente, plus intégrée et mieux adaptée, en privilégiant la participation des parties prenantes (citoyens, entreprises et organisations) ».
Le principe est séduisant et va dans le sens de ce que l’on peut imaginer aujourd'hui : des villes à taille humaine, quelle que soit la surface du territoire, qui apportent du service aux usagers, tout en respectant la place de chacun. Pour aider les municipalités adhérentes dans leurs projets, l’IMQ a eu l’idée de lancer en 2017, avec la collaboration du CEFRIO, un organisme partenaire du ministère de l'Économie et de l'Innovation qui soutient et accélère l'innovation et l'appropriation du numérique dans les petites et grandes entreprises, les services publics ainsi que les grands réseaux, un outil d’autodiagnostic des villes intelligentes. Depuis le 12 avril dernier, cet outil est ouvert à tous, canadiens, mais pas que. Il peut constituer une excellente piste de travail.
Facilement accessible, cet outil permet, en moins de 20 minutes, après avoir répondu à un questionnaire, de découvrir le niveau de maturité numérique d’une municipalité, cibler les zones d’action et les leviers, s’inspirer d’actions conduites dans des villes de taille équivalente, et enfin amorcer une réflexion stratégique sur les orientations et les actions à mettre en place pour aboutir à un projet cohérent. Bien sûr il s’agit d’actions vues du coté canadien et qui ne sont pas obligatoirement transposables dans l’état, mais elles permettent d’appréhender plus facilement les sujets et de se poser les bonnes questions avant de se lancer.
Pour en savoir plus et utiliser l'outil d'autodiagnostic : diagnostic.umq.qc.ca
Pour les élus concernés et notamment pour Michel Angers, président de la commission villes intelligentes « il ne s’agit pas uniquement d’une affaire de technologie, ni d’un concept réservé aux grandes villes. C’est une façon de repenser l’offre municipale de services de manière plus cohérente, plus intégrée et mieux adaptée, en privilégiant la participation des parties prenantes (citoyens, entreprises et organisations) ».
Le principe est séduisant et va dans le sens de ce que l’on peut imaginer aujourd'hui : des villes à taille humaine, quelle que soit la surface du territoire, qui apportent du service aux usagers, tout en respectant la place de chacun. Pour aider les municipalités adhérentes dans leurs projets, l’IMQ a eu l’idée de lancer en 2017, avec la collaboration du CEFRIO, un organisme partenaire du ministère de l'Économie et de l'Innovation qui soutient et accélère l'innovation et l'appropriation du numérique dans les petites et grandes entreprises, les services publics ainsi que les grands réseaux, un outil d’autodiagnostic des villes intelligentes. Depuis le 12 avril dernier, cet outil est ouvert à tous, canadiens, mais pas que. Il peut constituer une excellente piste de travail.
Facilement accessible, cet outil permet, en moins de 20 minutes, après avoir répondu à un questionnaire, de découvrir le niveau de maturité numérique d’une municipalité, cibler les zones d’action et les leviers, s’inspirer d’actions conduites dans des villes de taille équivalente, et enfin amorcer une réflexion stratégique sur les orientations et les actions à mettre en place pour aboutir à un projet cohérent. Bien sûr il s’agit d’actions vues du coté canadien et qui ne sont pas obligatoirement transposables dans l’état, mais elles permettent d’appréhender plus facilement les sujets et de se poser les bonnes questions avant de se lancer.
Pour en savoir plus et utiliser l'outil d'autodiagnostic : diagnostic.umq.qc.ca