De gauche à droite, Emmanuelle Leclerc : Directrice Marketing & Communication, Sébastien Chatelier : Directeur Général d’Eolane, représentant d’Eolane à la présidence de la Cité de l’Objet Connecté et Sandra Gautret : Développement Business et Communication, les trois représentants de la Cité de l'Objet Connecté au CES de Las Vegas.
Pour ceux qui ne le sauraient pas encore, la métropole d'Angers dont le passé électronique a marqué des décennies d'entreprises et des générations de salariés, s'investit désormais dans l'Internet des Objets (IoT) avec la Cité de l'Objet Connecté, un établissement inauguré en grandes pompes en 2015 et qui propose des prestations pour des entreprises jeunes ou moins jeunes, qui se lancent dans l'innovation technologique. Désormais reconnue par les acteurs nationaux et internationaux, Angers ambitionne de devenir la capitale européenne de l'objet connecté. Normal donc que plusieurs de ses représentants traversent l'Atlantique pour se rendre à l'incontournable Consumer Electronics Show, la place où il faut être en ce début d'année.
« La Cité de l'Objet connecté est une entreprise privée qui se définit comme un accélérateur industriel pour les objets connectés », explique Emmanuelle LECLERC, Directrice Marketing et Communication. « Notre objectif c'est d'aider, en leur proposant des prestations, les porteurs de projets, startups, PME ou grands groupes, à aller de l'idée à la fabrication première série d'un objet connecté ».
Inauguré en juin 2015 par le président de la République François Hollande, et Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie, ce haut lieu de l'IoT, relativement bien équipé, se voyait à l'origine comme un grand « Fab Lab », susceptible d'accueillir des jeunes pousses souhaitant s'investir dans ce nouvel eldorado qu'est l'Internet of Things (IoT). Mais très vite les PME et Grands groupes dont la plupart ne savaient pas comment appréhender ces objets connectés dont on parle tant, se sont intéressés à ce lieu, le rendant depuis incontournable pour celui qui s'intéresse au sujet. Même NUMA, le premier accélérateur français de startups, s'y intéresse en y ouvrant sur place, une antenne spécialisée.
Aujourd'hui, si l'on croise toujours des entreprises émergentes dans les bureaux et ateliers, la Cité de l'Objet Connecté a redéfini son offre pour répondre à la demande d'entreprises plus avancées. Désormais elle propose un package de prestations de services qui permet de suivre un projet à ses différents stades, de l’ingénierie au prototypage, jusqu'au démarrage de l’industrialisation.
Très impliqués dans cette démarche de réindustrialisation de la France voulue par le Président de l'époque et qui se poursuit actuellement avec son successeur, les 11 collaborateurs de cet établissement installé au cœurs de la « Wise'Factory », à Saint Sylvain d'Anjou, dans la banlieue nord-est d'Angers, à coté d'autres acteurs de l'ecosystème tel le cluster de l'électronique WE Network et d'autres entreprises du monde numérique, justifient donc pleinement leur participation au CES de Las Vegas.
« Nous participons depuis trois ans au CES de Lag Vegas, mais nous n'avons pas de stand sur place. On y a va pour faire connaître la Cité de l'Objet Connecté, on y va aussi pour découvrir des produits technologiques et des entreprises », poursuit Emmanuelle LECLERC, une des trois personnes à embarquer pour les USA. « Nous rapportons des informations qui nous permettent tout au long de l'année de parler du CES et des objets connectés avec les entreprises que nous accueillons ici. Car nous avons aussi un rôle d'acculturation aux objets connectés. Nous rencontrons sur place des personnes à qui nous expliquons ce que l'on peut faire. »
Ce séjour qui dure jusqu'au 12 janvier n'est pas de tout repos. « Nous partons en mode sac à dos », s'amuse Emmanuelle Leclerc. « Nous ne couchons pas dans des hôtels somptueux et nous voulons être très mobile, chacun de nous se mobilisant pour un secteur avec l'objectif de ramener le maximum d'informations utiles. C'est une façon de construire notre notoriété. La Cité est aussi une startup, nous n'avons pas de budget publicitaire et nous avons besoin de nous faire connaître ». Et en la matière, ce salon est le lieu idéal.
Les trois représentants de l'IoT Family d'Angers sont partis en même temps que des startups prises en charge par les 18 investisseurs qui fédèrent la Cité (Air Liquide, Bouygues Telecom, Docapost, Enedis, Eolane, Harmonie Mutuelle, Orange, Qowisio, …). Ces derniers leurs permettent par l'intermédiaire de leurs stands et réseaux de se faire connaître à l'international. La région Pays de la Loire qui compte désormais de nombreuses entreprises de la filière sera également très présente à Las Vegas.
Quelques porteurs de projets, passés par Cité de l’Objet Connecté pour des prestations de prototypage, de pre-série ou d’assemblage, ont un stand au CES. C'est le cas d'EVONE du Groupe Parade Eram, avec ses chaussures e.Vone connectées pour les personnes en perte d'autonomie, EISOX pour le contrôle du chauffage , VELCO, le guidon connecté, SHAPEHEART, le brassard de sport, LOVEBOX, la boite d'amour, et HOLOLAMP la solution holographique qui va révolutionner les restaurants.
« La Cité de l'Objet connecté est une entreprise privée qui se définit comme un accélérateur industriel pour les objets connectés », explique Emmanuelle LECLERC, Directrice Marketing et Communication. « Notre objectif c'est d'aider, en leur proposant des prestations, les porteurs de projets, startups, PME ou grands groupes, à aller de l'idée à la fabrication première série d'un objet connecté ».
Inauguré en juin 2015 par le président de la République François Hollande, et Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie, ce haut lieu de l'IoT, relativement bien équipé, se voyait à l'origine comme un grand « Fab Lab », susceptible d'accueillir des jeunes pousses souhaitant s'investir dans ce nouvel eldorado qu'est l'Internet of Things (IoT). Mais très vite les PME et Grands groupes dont la plupart ne savaient pas comment appréhender ces objets connectés dont on parle tant, se sont intéressés à ce lieu, le rendant depuis incontournable pour celui qui s'intéresse au sujet. Même NUMA, le premier accélérateur français de startups, s'y intéresse en y ouvrant sur place, une antenne spécialisée.
Aujourd'hui, si l'on croise toujours des entreprises émergentes dans les bureaux et ateliers, la Cité de l'Objet Connecté a redéfini son offre pour répondre à la demande d'entreprises plus avancées. Désormais elle propose un package de prestations de services qui permet de suivre un projet à ses différents stades, de l’ingénierie au prototypage, jusqu'au démarrage de l’industrialisation.
« Nous avons aussi un rôle d'acculturation aux objets connectés »
Très impliqués dans cette démarche de réindustrialisation de la France voulue par le Président de l'époque et qui se poursuit actuellement avec son successeur, les 11 collaborateurs de cet établissement installé au cœurs de la « Wise'Factory », à Saint Sylvain d'Anjou, dans la banlieue nord-est d'Angers, à coté d'autres acteurs de l'ecosystème tel le cluster de l'électronique WE Network et d'autres entreprises du monde numérique, justifient donc pleinement leur participation au CES de Las Vegas.
« Nous participons depuis trois ans au CES de Lag Vegas, mais nous n'avons pas de stand sur place. On y a va pour faire connaître la Cité de l'Objet Connecté, on y va aussi pour découvrir des produits technologiques et des entreprises », poursuit Emmanuelle LECLERC, une des trois personnes à embarquer pour les USA. « Nous rapportons des informations qui nous permettent tout au long de l'année de parler du CES et des objets connectés avec les entreprises que nous accueillons ici. Car nous avons aussi un rôle d'acculturation aux objets connectés. Nous rencontrons sur place des personnes à qui nous expliquons ce que l'on peut faire. »
Ce séjour qui dure jusqu'au 12 janvier n'est pas de tout repos. « Nous partons en mode sac à dos », s'amuse Emmanuelle Leclerc. « Nous ne couchons pas dans des hôtels somptueux et nous voulons être très mobile, chacun de nous se mobilisant pour un secteur avec l'objectif de ramener le maximum d'informations utiles. C'est une façon de construire notre notoriété. La Cité est aussi une startup, nous n'avons pas de budget publicitaire et nous avons besoin de nous faire connaître ». Et en la matière, ce salon est le lieu idéal.
Les trois représentants de l'IoT Family d'Angers sont partis en même temps que des startups prises en charge par les 18 investisseurs qui fédèrent la Cité (Air Liquide, Bouygues Telecom, Docapost, Enedis, Eolane, Harmonie Mutuelle, Orange, Qowisio, …). Ces derniers leurs permettent par l'intermédiaire de leurs stands et réseaux de se faire connaître à l'international. La région Pays de la Loire qui compte désormais de nombreuses entreprises de la filière sera également très présente à Las Vegas.
Quelques porteurs de projets, passés par Cité de l’Objet Connecté pour des prestations de prototypage, de pre-série ou d’assemblage, ont un stand au CES. C'est le cas d'EVONE du Groupe Parade Eram, avec ses chaussures e.Vone connectées pour les personnes en perte d'autonomie, EISOX pour le contrôle du chauffage , VELCO, le guidon connecté, SHAPEHEART, le brassard de sport, LOVEBOX, la boite d'amour, et HOLOLAMP la solution holographique qui va révolutionner les restaurants.
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