En 2050, plus de deux tiers de l'humanité vivra en ville. (photo Adobe Stock)
L’urbanisation de la ville de demain est au cœur des enjeux environnementaux, sociaux et économiques actuels. Son impact sur l’environnement, la qualité de vie et le développement économique en font l’une des principales clés pour opérer la transition écologique et solidaire et atteindre les objectifs de développement durables fixés par l’ONU d’ici 2030. C’est pour partager des retours d’expérience, montrer des solutions tangibles et co-construire les territoires de demain que des professionnels de la construction et de l’aménagement des villes, venus du monde entier vont se retrouver, pendant deux jours à Angers, dans le cadre du 8ème congrès international du bâtiment durable : « Cities to Be ».
Ce congrès qui va placer Angers, 16e ville de France, reconnue pour sa qualité de vie, au coeur de l’aménagement de la ville du futur, est organisé par l’Alliance HQE-GBC, regroupement des professionnels, syndicats, fédérations professionnelles, sociétés en direct, collectivités et professionnels à titre individuel, pour un cadre de vie durable et, Novabuild, cluster du BTP en Pays de la Loire, porté par plus de 380 adhérents, depuis 2003. Son objectif est d’être « l’accélérateur des transitions du Bâtiment, des travaux publics et de l’immobilier en Pays de la Loire, vers une construction positive ».
Aujourd’hui 55% de la population mondiale vit en zone urbaine. A l’horizon 2050 ce chiffre devait approcher les 70%, ce qui intéressent au plus haut point les aménageurs et professionnels de la construction, lesquels devront prendre en compte ces données pour faire en sorte que malgré cet accroissement, les métropoles restent agréables à vivre. Mais les territoires urbains représentent aujourd’hui plus de 70% des émissions de carbone et consomment entre 60 et 80% de l’énergie mondiale. Pour la filière de la construction, les bâtiments et l’aménagement constituent donc un levier essentiel pour répondre au défi du changement climatique.
Dans ce contexte, Cities to Be s’impose comme un temps fort, un élément fédérateur, pour les secteurs de la construction durable. Pour les organisateurs de cet événement, l’Alliance HQE-GBC et Novabuild, « Cities to Be entend donc être le Congrès de la mobilisation, des solutions concrètes et du passage à l’action ». Ce grand rassemblement professionnel permettra de découvrir des retours de terrain, de s’informer des projets innovants, de mutualiser les expériences, de partager de bonnes pratiques et des solutions performantes, de valoriser les savoir-faire régionaux, nationaux et internationaux. « Cet événement entend susciter et simplifier l’engagement volontaire des acteurs de toute la chaîne de valeur de la construction, de l’aménagement et de l’immobilier », poursuivent les organisateurs.
Cities to Be veut saisir l’occasion pour créer une dynamique, fédérer les réseaux régionaux, nationaux et internationaux. Le Réseau Bâtiment Durable, le réseau FAIRE créé par l’ADEME, les organismes certificateurs Certivéa, Cerqual Qualitel Certification et Cerway, le réseau du WorldGBC dont l’Alliance HQE-GBC est le membre français, la Global Alliance for Buildings and Construction, la DENA (l’agence allemande de l’environnement) ... ou encore le Hub Innovation TP, sont également partenaire de l’événement.
Ce rendez-vous interprofessionnel qui se déroulera dans le Centre de Congrès Jean Monnier, tout juste rénové, et situé au cœur d’une ville en pleine transformation, affiche déjà un programme riche et varié pour les 1000 participants, acteurs du bâtiment, de l’immobilier, de l’aménagement, des infrastructures et des collectivités, attendus pendant deux jours.
Douze thématiques attendent les congressistes : Performance environnementale et neutralité carbone, économie circulaire, rénovation et exploitation des bâtiments, nouveaux modèles : valeur et finance verte, santé et confort, mobilité et infrastructures, territoire positif et autonome, climat chaud …
3 plénières les sujets suivants sont également prévues : « A la rescousse de la construction durable : comprendre la magie du cerveau pour (enfin !) tous passer à l’action», « Ils ont gagné le pari de la transition, ils vous donnent les solutions, à vous de jouer ! » et, « Money, money, money : pour que les projets ne s’arrêtent pas faute de financements ». A cela s’ajouteront près de 50 ateliers, 5 visites de chantiers ou réalisations dans la métropole angevine, 27 pitch-solutions et 9 revues de projet. De quoi aiguiser l’appétit des professionnels de la construction et de l’aménagement de la ville.
Le 12 et 13 septembre prochain, Angers sera donc la capitale mondiale de la construction durable, l’opportunité pour les acteurs économiques et institutionnels de la région Pays de la Loire d’illustrer leur volonté de favoriser un modèle de croissance verte et de faire naître des initiatives concrètes en faveur de la transition écologique.
Plus d’informations sur citiestobe.eu
Ce congrès qui va placer Angers, 16e ville de France, reconnue pour sa qualité de vie, au coeur de l’aménagement de la ville du futur, est organisé par l’Alliance HQE-GBC, regroupement des professionnels, syndicats, fédérations professionnelles, sociétés en direct, collectivités et professionnels à titre individuel, pour un cadre de vie durable et, Novabuild, cluster du BTP en Pays de la Loire, porté par plus de 380 adhérents, depuis 2003. Son objectif est d’être « l’accélérateur des transitions du Bâtiment, des travaux publics et de l’immobilier en Pays de la Loire, vers une construction positive ».
Aujourd’hui 55% de la population mondiale vit en zone urbaine. A l’horizon 2050 ce chiffre devait approcher les 70%, ce qui intéressent au plus haut point les aménageurs et professionnels de la construction, lesquels devront prendre en compte ces données pour faire en sorte que malgré cet accroissement, les métropoles restent agréables à vivre. Mais les territoires urbains représentent aujourd’hui plus de 70% des émissions de carbone et consomment entre 60 et 80% de l’énergie mondiale. Pour la filière de la construction, les bâtiments et l’aménagement constituent donc un levier essentiel pour répondre au défi du changement climatique.
« Susciter et simplifier l’engagement volontaire des acteurs de toute la chaîne de valeur de la construction, de l’aménagement et de l’immobilier. »
Dans ce contexte, Cities to Be s’impose comme un temps fort, un élément fédérateur, pour les secteurs de la construction durable. Pour les organisateurs de cet événement, l’Alliance HQE-GBC et Novabuild, « Cities to Be entend donc être le Congrès de la mobilisation, des solutions concrètes et du passage à l’action ». Ce grand rassemblement professionnel permettra de découvrir des retours de terrain, de s’informer des projets innovants, de mutualiser les expériences, de partager de bonnes pratiques et des solutions performantes, de valoriser les savoir-faire régionaux, nationaux et internationaux. « Cet événement entend susciter et simplifier l’engagement volontaire des acteurs de toute la chaîne de valeur de la construction, de l’aménagement et de l’immobilier », poursuivent les organisateurs.
Cities to Be veut saisir l’occasion pour créer une dynamique, fédérer les réseaux régionaux, nationaux et internationaux. Le Réseau Bâtiment Durable, le réseau FAIRE créé par l’ADEME, les organismes certificateurs Certivéa, Cerqual Qualitel Certification et Cerway, le réseau du WorldGBC dont l’Alliance HQE-GBC est le membre français, la Global Alliance for Buildings and Construction, la DENA (l’agence allemande de l’environnement) ... ou encore le Hub Innovation TP, sont également partenaire de l’événement.
Ce rendez-vous interprofessionnel qui se déroulera dans le Centre de Congrès Jean Monnier, tout juste rénové, et situé au cœur d’une ville en pleine transformation, affiche déjà un programme riche et varié pour les 1000 participants, acteurs du bâtiment, de l’immobilier, de l’aménagement, des infrastructures et des collectivités, attendus pendant deux jours.
Douze thématiques attendent les congressistes : Performance environnementale et neutralité carbone, économie circulaire, rénovation et exploitation des bâtiments, nouveaux modèles : valeur et finance verte, santé et confort, mobilité et infrastructures, territoire positif et autonome, climat chaud …
3 plénières les sujets suivants sont également prévues : « A la rescousse de la construction durable : comprendre la magie du cerveau pour (enfin !) tous passer à l’action», « Ils ont gagné le pari de la transition, ils vous donnent les solutions, à vous de jouer ! » et, « Money, money, money : pour que les projets ne s’arrêtent pas faute de financements ». A cela s’ajouteront près de 50 ateliers, 5 visites de chantiers ou réalisations dans la métropole angevine, 27 pitch-solutions et 9 revues de projet. De quoi aiguiser l’appétit des professionnels de la construction et de l’aménagement de la ville.
Le 12 et 13 septembre prochain, Angers sera donc la capitale mondiale de la construction durable, l’opportunité pour les acteurs économiques et institutionnels de la région Pays de la Loire d’illustrer leur volonté de favoriser un modèle de croissance verte et de faire naître des initiatives concrètes en faveur de la transition écologique.
Plus d’informations sur citiestobe.eu