Malgré une réglementation très dissuasive, les drones survolant les zones règlementées ou interdites sont encore nombreux. (Photo Adobe Stock)
Initialement la nouvelle réglementation concernant l’utilisation d’aéronef sans pilote à bord (drone) applicable sur le territoire de l’Union Européenne et donc en France, devait entrer en application le 1er juillet 2020. Si la crise sanitaire liée à la Covid-19 en a repoussée l’application au 1er Janvier 2021, les règles sont inchangées et les propriétaires de drones ont donc moins de 6 mois pour mettre leurs aéronefs en conformité.
Cette nouvelle règlementation qui s’applique aux professionnels comme aux amateur, ne prendra plus en compte les types de missions (S1 à S4) mais les catégories d’opérations, les différents types des risques et sous catégories de drones. La plus contraignante des catégories prévues dans ces nouveaux texte est celle qui concerne les drones dont le poids se situe entre 900 gr et 4 Kg. Ces drones très utilisés par les professionnels de l’imagerie et de la surveillance, devront être équipés d’un système d’identification à distance permettant aux autorités (gendarmerie…) de les identifier à distance en cas de non-respect des autorisations de survol, notamment à proximité des aéroports.
Cette nouvelle règlementation devrait donc permettre de mieux gérer la montée en puissance des drones de loisirs comme des professionnels, de plus en plus nombreux, exerçant dans de nombreux domaines, occupés précédemment par d’autres aéronefs, tels les avions de reconnaissance ou les hélicoptères. « De quoi saturer encore plus l’espace aérien déjà occupé par l’aviation lourde civile et militaire », explique la société Clearance SAS gestionnaire d’une plateforme éponyme de préparation de missions drone et de sécurisation de l’espace aérien utilisée par des télépilotes indépendants, des entreprises et des aéroports, dans un communiqué.
Vu le nombre de télépilotes titulaires d’une certification auxquels s’ajoutent, les pilotes de loisirs, il est donc difficile pour les autorités, notamment les services de la navigation aérienne, d’assurer la sécurité de leurs espaces aériens. Pour résoudre ce problème, une Clearance propose une solution : le tracking en temps réel.
En ajoutant de nouvelles fonctionnalités telles que le décollage et l’atterrissage aux missions enregistrées sur sa plateforme, les chefs de tour des aéroports peuvent un meilleur suivi opérationnel et renforcer la sécurité de l’espace aérien.
En effet, même si la France fait partie des premiers pays à mettre en place une règlementation applicable à tous les aéronefs sans pilote à bord, les actes de malveillance ou les erreurs de vols sont nombreux dans les zones sensibles, soumises à autorisation, ou interdites de vol. Ces vols incontrôlés font peser une menace sur le développement de la filière des drones professionnels, dont les télépilotes sont soumis le plus souvent à déclaration de vol préalable auprès des services de la navigation (DGAC) et sécurité civile (Préfecture).
Avec plus de 2 400 télépilotes utilisateurs, 25 aéroports partenaires et 50 000 missions analysées, Clearance est la solution de gestion de vols de drones la plus utilisée en France. « En travaillant avec nos 25 aéroports partenaires, nous avons remarqué le besoin de plus en plus pressant de pouvoir situer à l’instant T les aéronefs dans leurs zones de contrôle. Le tracking en temps réel va permettre de renforcer encore un peu plus la sécurité des vols » explique Florent Mainfroy, le CEO de Clearance. Pour ce dernier cette innovation en matière de suivi est une « première étape vers le tracking permanent du drone une fois son entrée dans les zones contrôlées des aéroports ». Vraisemblablement grâce au système de signalement embarqué. Mais cette disposition ne concernera malheureusement que les drones de plus de 900 grammes…
Cette nouvelle règlementation qui s’applique aux professionnels comme aux amateur, ne prendra plus en compte les types de missions (S1 à S4) mais les catégories d’opérations, les différents types des risques et sous catégories de drones. La plus contraignante des catégories prévues dans ces nouveaux texte est celle qui concerne les drones dont le poids se situe entre 900 gr et 4 Kg. Ces drones très utilisés par les professionnels de l’imagerie et de la surveillance, devront être équipés d’un système d’identification à distance permettant aux autorités (gendarmerie…) de les identifier à distance en cas de non-respect des autorisations de survol, notamment à proximité des aéroports.
Cette nouvelle règlementation devrait donc permettre de mieux gérer la montée en puissance des drones de loisirs comme des professionnels, de plus en plus nombreux, exerçant dans de nombreux domaines, occupés précédemment par d’autres aéronefs, tels les avions de reconnaissance ou les hélicoptères. « De quoi saturer encore plus l’espace aérien déjà occupé par l’aviation lourde civile et militaire », explique la société Clearance SAS gestionnaire d’une plateforme éponyme de préparation de missions drone et de sécurisation de l’espace aérien utilisée par des télépilotes indépendants, des entreprises et des aéroports, dans un communiqué.
Vu le nombre de télépilotes titulaires d’une certification auxquels s’ajoutent, les pilotes de loisirs, il est donc difficile pour les autorités, notamment les services de la navigation aérienne, d’assurer la sécurité de leurs espaces aériens. Pour résoudre ce problème, une Clearance propose une solution : le tracking en temps réel.
En ajoutant de nouvelles fonctionnalités telles que le décollage et l’atterrissage aux missions enregistrées sur sa plateforme, les chefs de tour des aéroports peuvent un meilleur suivi opérationnel et renforcer la sécurité de l’espace aérien.
En effet, même si la France fait partie des premiers pays à mettre en place une règlementation applicable à tous les aéronefs sans pilote à bord, les actes de malveillance ou les erreurs de vols sont nombreux dans les zones sensibles, soumises à autorisation, ou interdites de vol. Ces vols incontrôlés font peser une menace sur le développement de la filière des drones professionnels, dont les télépilotes sont soumis le plus souvent à déclaration de vol préalable auprès des services de la navigation (DGAC) et sécurité civile (Préfecture).
Avec plus de 2 400 télépilotes utilisateurs, 25 aéroports partenaires et 50 000 missions analysées, Clearance est la solution de gestion de vols de drones la plus utilisée en France. « En travaillant avec nos 25 aéroports partenaires, nous avons remarqué le besoin de plus en plus pressant de pouvoir situer à l’instant T les aéronefs dans leurs zones de contrôle. Le tracking en temps réel va permettre de renforcer encore un peu plus la sécurité des vols » explique Florent Mainfroy, le CEO de Clearance. Pour ce dernier cette innovation en matière de suivi est une « première étape vers le tracking permanent du drone une fois son entrée dans les zones contrôlées des aéroports ». Vraisemblablement grâce au système de signalement embarqué. Mais cette disposition ne concernera malheureusement que les drones de plus de 900 grammes…