La notion de ville intelligente n’est pas encore connue de tous. 42% des personnes ayant répondu à notre enquête n’en ont jamais entendu parler », constate André May, président et co-fondateur avec Benoit Waecherlé, de la startup lyonnaise CityLity. « Les citoyens interrogés associent cependant cette notion à celle du progrès et de l’évolution technologique, conscients que leur ville est plus intelligente qu’hier et certainement moins que demain ». Un constat qui permet d’introduire le débat et donne du grain à moudre à la petite entreprise qui s’est mis en tête de développer « une solution de communication innovante », qui met en relation les gestionnaires d’immeubles, logements et bureaux, ou encore de lieux publics avec les occupants et utilisateurs.
« La vocation de CityLity c’est d’être utile partout et tout au long de la journée », précisent les concepteurs. Tous les deux membres d’un conseil syndical bénévole, André May et Benoit Waecherlé ont mis en pratique les principes collaboratifs d’entraide, de communication et de demandes d’intervention au sein de leur copropriété afin de geler pendant près de 5 ans les montants des charges. C’est de cette expérience réussie qu’est née, en mai 2014, la startup CityLily, laquelle a donné son nom à l’application.
Le principe de cette application est donc simple, comme son interface particulièrement sobre et intuitive. Elle doit permettre de gagner du temps, réduire les coûts, valoriser l’image des gestionnaires d’espaces, améliorer les relations avec les usagers.
CityLity s’organise autour de trois grandes familles fonctionnalités : la possibilité de signaler facilement au gestionnaire d’un parc de logements ou de bureau un problème, une demande d’intervention, ou émettre un avis sur le fonctionnement ou la qualité du service ; trouver les points d’intérêts de proximité et recevoir des informations émises par les gestionnaires d’espaces ; bénéficier d’une plateforme d’échanges entre voisins ou collègues, dans un esprit communautaire permettant l’entraide et le partage.
« L’enquête nous a permis de tirer trois enseignements majeurs », ajoute André May. « Le premier c’est que si la ville n’est intelligente que pour un quart des sondés, l’avenir s’annonce riche en innovation, le second c’est que le citoyen souhaite vraiment s’impliquer dans sa ville pour améliorer son quotidien et son environnement, enfin la troisième montre que la première préoccupation des citoyens urbains ce sont les transports, les applications qui les prennent en compte permettraient de rendre la ville plus intelligente ».
Se définissant comme des « citoyens centric », les deux concepteurs qui ambitionnent d’améliorer le monde qui les entourent considèrent désormais que « CityLity est le premier mètre numérique vers tous les services de la ville intelligente ».
Et de poursuivre : « Nous ne partons pas du gestionnaire d’un lieu qui organise son espace avec ses clients, c'est-à-dire du dernier mètre numérique, mais du citoyen qui traverse les lieux gérés par les citoyens. Nous adoptons leur code et leur langage ». Et ça change tout, car cette fois ce sont bien les usages qui sont pris en compte pour aboutir à des solutions plus efficientes et surtout plus astucieuses dont chacun tirera un bénéfice évident.
Pour en savoir plus : www.citylity.com
« La vocation de CityLity c’est d’être utile partout et tout au long de la journée », précisent les concepteurs. Tous les deux membres d’un conseil syndical bénévole, André May et Benoit Waecherlé ont mis en pratique les principes collaboratifs d’entraide, de communication et de demandes d’intervention au sein de leur copropriété afin de geler pendant près de 5 ans les montants des charges. C’est de cette expérience réussie qu’est née, en mai 2014, la startup CityLily, laquelle a donné son nom à l’application.
Le principe de cette application est donc simple, comme son interface particulièrement sobre et intuitive. Elle doit permettre de gagner du temps, réduire les coûts, valoriser l’image des gestionnaires d’espaces, améliorer les relations avec les usagers.
« CityLity est le premier mètre numérique vers tous les services de la ville intelligente »
CityLity s’organise autour de trois grandes familles fonctionnalités : la possibilité de signaler facilement au gestionnaire d’un parc de logements ou de bureau un problème, une demande d’intervention, ou émettre un avis sur le fonctionnement ou la qualité du service ; trouver les points d’intérêts de proximité et recevoir des informations émises par les gestionnaires d’espaces ; bénéficier d’une plateforme d’échanges entre voisins ou collègues, dans un esprit communautaire permettant l’entraide et le partage.
« L’enquête nous a permis de tirer trois enseignements majeurs », ajoute André May. « Le premier c’est que si la ville n’est intelligente que pour un quart des sondés, l’avenir s’annonce riche en innovation, le second c’est que le citoyen souhaite vraiment s’impliquer dans sa ville pour améliorer son quotidien et son environnement, enfin la troisième montre que la première préoccupation des citoyens urbains ce sont les transports, les applications qui les prennent en compte permettraient de rendre la ville plus intelligente ».
Se définissant comme des « citoyens centric », les deux concepteurs qui ambitionnent d’améliorer le monde qui les entourent considèrent désormais que « CityLity est le premier mètre numérique vers tous les services de la ville intelligente ».
Et de poursuivre : « Nous ne partons pas du gestionnaire d’un lieu qui organise son espace avec ses clients, c'est-à-dire du dernier mètre numérique, mais du citoyen qui traverse les lieux gérés par les citoyens. Nous adoptons leur code et leur langage ». Et ça change tout, car cette fois ce sont bien les usages qui sont pris en compte pour aboutir à des solutions plus efficientes et surtout plus astucieuses dont chacun tirera un bénéfice évident.
Pour en savoir plus : www.citylity.com