Les terrasses de la résidence du Petit Pouillé, aux Ponts-de-Cé où sont installés les sondes pour les VMC, l'ouverture des trappes de désenfumage et les antennes du réseau Qowisio
Le matin en arrivant au bureau nous pouvons, sur notre ordinateur, mais aussi sur notre mobile, vérifier la température de chaque bâtiment, les éventuelles anomalies sur les VMC ou les chaufferies », explique Stanislas Fournier, responsable du service maintenance de l’immobilière Podeliha, à Angers. « Et quand une VMC cesse de fonctionner, nous recevons une alerte sur notre smartphone ».
Cet avantage en termes de maintenance a été rendu possible par l’installation de la solution métier de l’entreprise Qowisio. Celle-ci assure le suivi de bout en bout, de la fourniture des capteurs, en passant par l’envoi de données sur son propre réseau très bas débit, jusqu’à l’application qui permet de suivre en temps réel le fonctionnement des installations.
Un gain de temps, de l’efficacité et surtout des économies pour le gestionnaire de parcs immobiliers. « Quand une VMC cessait de fonctionner, on le savait lors de la visite annuelle. Entre temps, cette défaillance avait entraîné des dégradations dans les logements concernés. Alors, outre le moteur, il fallait revoir les logements », poursuit Stanislas Fournier.
Il en va de même pour le chauffage des appartements qui dépassait régulièrement les 19° et qui entraînait des dépenses qui s'envolaient en matière d’énergie. Grace à l’installation de sondes de température, le gestionnaire peut désormais connaître la température exacte et équilibrer finement son réseau de distribution de chauffage. « Depuis le début de l’année nous avons réalisé une économie de 5000 € sur les 197 logements en test », souligne le responsable de la maintenance. Cette opération est réalisée sur le parc locatif du Petit Pouillé, aux Ponts de Cé, une ville située au sud de l’agglomération angevine.
Pour Qowisio, société française spécialisée dans la réalisation de solutions d’objets connectés, clés en main et à faible coût, dont le siège est installé à Angers, les essais concluants des logements Podeliha, se présentent comme une véritable opportunité. Le parc immobilier des bailleurs sociaux est colossal, tant en France que dans le monde. « Qowisio est la seule société de l’IoT qui propose une offre unique intégrant l’objet, la connectivité et l’applicatif dédié aux données, dans le domaine du bâtiment », explique David Halopé, le Directeur Marketing Opérationnel de Qowisio.
Présente à l’international depuis 2009, avec une filiale à Austin (Texas), la petite entreprise angevine, devenue grande grâce à une levée de fonds de 10 M€ pour lancer son propre réseau public très bas débit partout en France, peut voir l’avenir avec sérénité. « Nous n’utilisons que 20% du champ des possibles en matière d’Internet des objets (IoT) », poursuit David Halopé. « Notre évolution est liée à la révolution smartphone et des réseaux bas débit, permettant d’envoyer des informations de taille réduite sur des grandes distance, grâce à des antennes judicieusement placées ».
Alors qu’elle aurait pu s’appuyer sur le réseau wifi très bas débit de type Lora ou encore Sigfox, l’entreprise a préféré installer ses propres antennes, dans les endroits qui correspondent aux besoins du marché qu’elle fait émerger. Et pour cela elle a étudié toute la chaîne de valeur, des capteurs aux batteries très longue durée en passant par le stockage des informations sur son Cloud et la réalisation d’applicatifs permettant d’exploiter les données tant sur les ordinateurs de bureau que sur les terminaux mobiles.
« Nous avons réduit les intermédiaires et donc les coûts ce qui nous permet de proposer des solutions particulièrement économiques à nos clients, à hauteur de 85 € par objets tout compris pendant 5 ans », poursuit David Halopé. « Les objets connectés tels que nous les voyons ne sont plus de simples gadgets, ils correspondent à un usage et un métier ». Sur ce principe, la société angevine perçoit d’autres usages. Des solutions tout compris, pour d’autres métiers, verront le jour dans les années à venir. D’autant que comme l’explique Cyrille Le Floch, le co-fondateur de Qowisio : « notre solution n’est pas fermée et une interopérabilité avec des systèmes déjà installés reste toujours possible ».
Quant à l’immobilière Podeliha, bailleur social né du rapprochement en 2014 de trois entreprises de l’habitat social : Le Val de Loire, le Toit Angevin et Anjou Castors et qui gère désormais un parc de 20 500 logements en région des Pays de la Loire, l’utilité de cette solution en terme de facilité de suivi, rapidité d'intervention et d’économies est évident.
Pour en savoir plus : www.podeliha.fr et www.qowisio.com
Cet avantage en termes de maintenance a été rendu possible par l’installation de la solution métier de l’entreprise Qowisio. Celle-ci assure le suivi de bout en bout, de la fourniture des capteurs, en passant par l’envoi de données sur son propre réseau très bas débit, jusqu’à l’application qui permet de suivre en temps réel le fonctionnement des installations.
Un gain de temps, de l’efficacité et surtout des économies pour le gestionnaire de parcs immobiliers. « Quand une VMC cessait de fonctionner, on le savait lors de la visite annuelle. Entre temps, cette défaillance avait entraîné des dégradations dans les logements concernés. Alors, outre le moteur, il fallait revoir les logements », poursuit Stanislas Fournier.
Il en va de même pour le chauffage des appartements qui dépassait régulièrement les 19° et qui entraînait des dépenses qui s'envolaient en matière d’énergie. Grace à l’installation de sondes de température, le gestionnaire peut désormais connaître la température exacte et équilibrer finement son réseau de distribution de chauffage. « Depuis le début de l’année nous avons réalisé une économie de 5000 € sur les 197 logements en test », souligne le responsable de la maintenance. Cette opération est réalisée sur le parc locatif du Petit Pouillé, aux Ponts de Cé, une ville située au sud de l’agglomération angevine.
Pour Qowisio, société française spécialisée dans la réalisation de solutions d’objets connectés, clés en main et à faible coût, dont le siège est installé à Angers, les essais concluants des logements Podeliha, se présentent comme une véritable opportunité. Le parc immobilier des bailleurs sociaux est colossal, tant en France que dans le monde. « Qowisio est la seule société de l’IoT qui propose une offre unique intégrant l’objet, la connectivité et l’applicatif dédié aux données, dans le domaine du bâtiment », explique David Halopé, le Directeur Marketing Opérationnel de Qowisio.
« Les objets connectés tels que nous les voyons ne sont plus de simples gadgets, ils correspondent à un usage »
Présente à l’international depuis 2009, avec une filiale à Austin (Texas), la petite entreprise angevine, devenue grande grâce à une levée de fonds de 10 M€ pour lancer son propre réseau public très bas débit partout en France, peut voir l’avenir avec sérénité. « Nous n’utilisons que 20% du champ des possibles en matière d’Internet des objets (IoT) », poursuit David Halopé. « Notre évolution est liée à la révolution smartphone et des réseaux bas débit, permettant d’envoyer des informations de taille réduite sur des grandes distance, grâce à des antennes judicieusement placées ».
Alors qu’elle aurait pu s’appuyer sur le réseau wifi très bas débit de type Lora ou encore Sigfox, l’entreprise a préféré installer ses propres antennes, dans les endroits qui correspondent aux besoins du marché qu’elle fait émerger. Et pour cela elle a étudié toute la chaîne de valeur, des capteurs aux batteries très longue durée en passant par le stockage des informations sur son Cloud et la réalisation d’applicatifs permettant d’exploiter les données tant sur les ordinateurs de bureau que sur les terminaux mobiles.
« Nous avons réduit les intermédiaires et donc les coûts ce qui nous permet de proposer des solutions particulièrement économiques à nos clients, à hauteur de 85 € par objets tout compris pendant 5 ans », poursuit David Halopé. « Les objets connectés tels que nous les voyons ne sont plus de simples gadgets, ils correspondent à un usage et un métier ». Sur ce principe, la société angevine perçoit d’autres usages. Des solutions tout compris, pour d’autres métiers, verront le jour dans les années à venir. D’autant que comme l’explique Cyrille Le Floch, le co-fondateur de Qowisio : « notre solution n’est pas fermée et une interopérabilité avec des systèmes déjà installés reste toujours possible ».
Quant à l’immobilière Podeliha, bailleur social né du rapprochement en 2014 de trois entreprises de l’habitat social : Le Val de Loire, le Toit Angevin et Anjou Castors et qui gère désormais un parc de 20 500 logements en région des Pays de la Loire, l’utilité de cette solution en terme de facilité de suivi, rapidité d'intervention et d’économies est évident.
Pour en savoir plus : www.podeliha.fr et www.qowisio.com
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