Fondée en 2012, la Smart Buildings Alliance (SBA), est une association qui regroupe les acteurs de l’industrie du bâtiment et plus particulièrement les fabricants, les énergéticiens, les prestataires de services, la maîtrise d'ouvrage, les investisseurs, les acteurs de la technologie de l’information et les institutions publiques. L'objectif de la SBA est de développer le bâtiment intelligent dans la ville durable de manière transverse, en s’appuyant de manière interopérable sur le numérique. On y parle principalement des infrastructures mutualisées pour la promotion de nouveaux services, autour des usages, générateurs d'efficience et d'une meilleure cohésion sociale. En mars 2017 la SBA a publié son second manifeste : « Des bâtiments intelligents pour des territoires responsables et durables ».
Tous ces acteurs qui sont actuellement 200 étaient invités fin août à Lyon, à l'EM Lyon Business School, pour la 4e édition des « Universités d'été Smart Buildings for Smart Cities ». Cette rencontre très productive était organisée en partenariat avec l'Alliance EnOcean et la Fédération Française de Domotique (FFD). Des sociétés comme Orange, IBM, Renault, BNP Parisbas Real Estate, Engie, Vinci mais aussi des acteurs de collectifs comme la OuiShare ou le PureHouseLab ou encore des figures du territoire comme Bruno Bonnel, Député du Rhône, Christophe Colinet, Directeur de l'aménagement numérique de Bordeaux Métropole... ont participé à ces rencontres et ont fait part de leur point de vue sur la l’évolution de la notion de Smart-City, sur ce que seront nos villes françaises dans 5 ans, et quelle sera selon eux, l’innovation technologique ou/et sociétale qu’il faudra embarquer pour la ville de demain. Vaste programme.
« Cette année j’ai trouvé que l’on était à un point de cristallisation », explique Alain Kergoat Co fondateur du cabinet conseil en smart building et smart city : « Urban Practices » et membre historique de la SBA et des universités d’été lyonnaises. « Ce qui était intéressant cette année c’est que les éclaireurs ont rencontré les décideurs. Avant les universités c’était une réunion d’experts, des vigies au sein de leur entreprise, à l’affut des nouvelles tendances et des nouvelles technologies. Cette année nous avons constaté une harmonie de pensée sur les choses à mettre en œuvre ».
Pour Taoufik Vallipuram Directeur des partenariats OUISHARE, le collectif qui s’intéresse à l’émergence de l’économie collaborative, la démarche se veut plus tournée vers les citoyens. « L’idée que nous avons de la Smart City c’est de faire émerger des projets qui se caractérisent par leur intérêt général ».
L’ex député Luc Belot, auteur d’un rapport sur les territoires d’intelligence, participaient également à ces Universités d’été. « En 2017 nous sommes vraiment à un moment où les enjeux qui sont posés aux territoires, ce que peuvent proposer les entreprises, et l’acceptation possible des élus et des habitants des territoires, sont une réalité », explique l’élu local d’Angers et de sa métropole. « S’il y a autant de monde autour des sujets de smart city et de smart building c’est que l’on a cette capacité à pouvoir agir, faire et être dans du concret ».
La SBA a interrogé 25 personnalités très impliquées dans la démarche de ville et territoires ingénieux. Ces acteurs s’expriment dans des interviewes vidéo, visibles ICI
Tous ces acteurs qui sont actuellement 200 étaient invités fin août à Lyon, à l'EM Lyon Business School, pour la 4e édition des « Universités d'été Smart Buildings for Smart Cities ». Cette rencontre très productive était organisée en partenariat avec l'Alliance EnOcean et la Fédération Française de Domotique (FFD). Des sociétés comme Orange, IBM, Renault, BNP Parisbas Real Estate, Engie, Vinci mais aussi des acteurs de collectifs comme la OuiShare ou le PureHouseLab ou encore des figures du territoire comme Bruno Bonnel, Député du Rhône, Christophe Colinet, Directeur de l'aménagement numérique de Bordeaux Métropole... ont participé à ces rencontres et ont fait part de leur point de vue sur la l’évolution de la notion de Smart-City, sur ce que seront nos villes françaises dans 5 ans, et quelle sera selon eux, l’innovation technologique ou/et sociétale qu’il faudra embarquer pour la ville de demain. Vaste programme.
« En 2017 nous sommes vraiment à un moment où les enjeux qui sont posés aux territoires, ce que peuvent proposer les entreprises, et l’acceptation possible des élus et des habitants des territoires, sont une réalité ».
« Cette année j’ai trouvé que l’on était à un point de cristallisation », explique Alain Kergoat Co fondateur du cabinet conseil en smart building et smart city : « Urban Practices » et membre historique de la SBA et des universités d’été lyonnaises. « Ce qui était intéressant cette année c’est que les éclaireurs ont rencontré les décideurs. Avant les universités c’était une réunion d’experts, des vigies au sein de leur entreprise, à l’affut des nouvelles tendances et des nouvelles technologies. Cette année nous avons constaté une harmonie de pensée sur les choses à mettre en œuvre ».
Pour Taoufik Vallipuram Directeur des partenariats OUISHARE, le collectif qui s’intéresse à l’émergence de l’économie collaborative, la démarche se veut plus tournée vers les citoyens. « L’idée que nous avons de la Smart City c’est de faire émerger des projets qui se caractérisent par leur intérêt général ».
L’ex député Luc Belot, auteur d’un rapport sur les territoires d’intelligence, participaient également à ces Universités d’été. « En 2017 nous sommes vraiment à un moment où les enjeux qui sont posés aux territoires, ce que peuvent proposer les entreprises, et l’acceptation possible des élus et des habitants des territoires, sont une réalité », explique l’élu local d’Angers et de sa métropole. « S’il y a autant de monde autour des sujets de smart city et de smart building c’est que l’on a cette capacité à pouvoir agir, faire et être dans du concret ».
La SBA a interrogé 25 personnalités très impliquées dans la démarche de ville et territoires ingénieux. Ces acteurs s’expriment dans des interviewes vidéo, visibles ICI